Festival Vulvizar à Roybon et procès pour mutinerie à Grenoble

Bonjour,

 

ACAB sur la ZAD de Roybon vous invite les 9 et 10 juin au festival Vulvizar.

Au programme : musique, lectures, discussion anti-carcérale (le 10 juin avec Christophe Soulié auteur du livre Liberté sur parole : Contribution à l’histoire du Comité d’action des prisonniers où il est question également de la lutte contre les QHS).

 

Cette discussion anti-carcérale  est organisée en soutien à Romain Leroy qui sera jugé en appel à Grenoble le 14 juin suite à la mutinerie de novembre 2016 au Quartier Maison Centrale de la prison de Valence. En premier instance, Romain Leroy et José Torres avaient été condamnés à 5 ans de prison ferme. (cf. pièce jointe)

 

Vous trouverez en lien une émission radiophonique « Retour sur l’Histoire du Comité d’Action des Prisonniers 1972-1980 » sur Canal Sud avec Christophe Soulié :

http://www.sonsenluttes.net/?Retour-sur-l-histoire-du-Comite-d-Action-des-Prisonniers-1972-1980

 

Vous trouverez les affiches de ce festival en suivant le lien : https://zadroybon.wordpress.com/

 

Merci de faire suivre,

 

HM

en pièce jointe procès en mutinerie en PDF ici et pour permettre d’alimenter la  discussion

valence (drome)des véhicules de la mairie incendiés

Policiers caillassés et série de feux volontairesfrance bleu drome ardèche  5 juin 2017 à 17:06

Six voitures au moins ont encore brûlé quartier Fontbarlettes à Valence dans la nuit de lundi à mardi. Déjà la veille, une trentaine de jeunes du quartier avaient pris à partie les policiers. Le calme était revenu vers trois heures du matin.

Les nuits se suivent et se ressemblent à Valence, quartier Fontbarlettes.

Selon nos informations, six véhicules au moins ont encore brûlé dans la nuit de lundi à mardi. La moitié appartiendrait à la ville, plus précisément aux services techniques municipaux, déjà touchés par des incendies volontaires la semaine dernière.

La veille, les policiers avaient déjà été pris a partie durant plusieurs heures dans la nuit de dimanche à lundi , toujours dans ce même quartier Fontbarlettes à Valence.

Le premier incident s’est produit aux alentours de 22 heures 30 : une voiture de police qui faisait sa ronde a été caillassée . Une vitre du véhicule a été brisée mais personne n’a été blessé. D’autres agents sont alors arrivés en renfort pour tenter de ramener le calme mais la situation a empiré : une trentaine de jeunes leur ont lancé des pierres et ont incendié plusieurs poubelles avant de les mettre au milieu de la route pour empêcher la circulation. Un des containers a été projeté contre une voiture, garée a proximité et qui s’est enflammée à son tour. Le calme n’est revenu que vers trois heures du matin. Les policiers n’ont pas réussi à interpeller les auteurs, très mobiles, de ces incidents.

Représailles ?

Ces affrontements en tout cas pourraient représenter des représailles après le renforcement du dispositif de sécurisation mis en place dans le quartier Fontbarlettes il y a quelques jours. Grâce à des renforts venus de Lyon , il y a davantage de policiers pour faire des rondes chaque nuit . Cette décision avait été prise après l’incendie volontaire de voiture et d’un camion nacelles garées devant le centre technique municipal la semaine dernière.


.ledauphine.com

valence – Violences urbaines dans la nuit de dimanche … Policiers caillassés et série de feux volontaires

Des amas de conteneurs de poubelles en plastique brûlés et de déchets réduits en cendres… À quelques mètres, un véhicule carbonisé.

Chabeuil : quatre mois ferme pour les deux « car-jackers »

note : encore une fois personne au tribunal pour dénoncer et témoigner

 

reçu par mail:

 .ledauphine.com    31/05/2017 à 06:05

Ils semblent à peine sortis de l’adolescence. 19 et 20 ans, et derrière eux une enfance triste en foyers d’accueil.

L’un est sans domicile fixe, et a déjà été condamné une fois, l’autre vit chez sa sœur, n’a pas de casier judiciaire et est placé sous curatelle avec suivi psychiatrique, avec altération possible de ses facultés. Il est aussi un gros consommateur de cannabis.

Tous deux comparaissaient hier devant le tribunal correctionnel de Valence pour des faits de vols avec violence et, pour l’un, de conduite sans permis. Deux soirs de suite, les 26 et 27 mai, entre Chabeuil et Charpey, les deux auto-stoppeurs arrêtent un automobiliste, choisi au hasard, se font emmener sur des chemins isolés de Charpey et là, sous la menace d’un couteau (réel ou imaginaire, difficile à savoir pour le premier soir), réclament les clefs du véhicule.

Le premier soir, l’automobiliste, décrit comme psychologiquement fragile et lui-même placé sous curatelle, aura une telle peur qu’il s’enfuira sans demander son reste. La voiture sera retrouvée le lendemain à Savasse. Conduisant sans permis, le plus âgé l’avait mise au fossé en voulant se saisir d’une cigarette.

Le deuxième soir, l’automobiliste, âgée de 73 ans, leur abandonne son véhicule et son téléphone portable. Les deux copains lui permettent de conserver sa carte SIM avec toutes les photos de ses petits-enfants mais l’abandonnent tout de même en pleine nature !

« Deux personnes paumées »

Pour le procureur, les deux individus, décrits en « situation d’errance » et « sans projet d’insertion professionnelle ou sociale » ont commis des « faits graves » en s’en prenant de plus à des personnes vulnérables et en ayant élaboré une certaine stratégie. Il réclame des peines différenciées de 30 mois dont 12 ou 6 avec sursis, obligation de soins et mandat de dépôt.

La défense parle de « deux personnes paumées, n’ayant jamais obtenu d’attention de personne » ; « N’en faites pas des bombes à retardement ! » lance-t-elle au tribunal. Celui-ci l’entendra, les condamnant tous deux à 12 mois dont 8 avec sursis, obligation de soins, de travail et d’indemnisation. Ils sont partis directement en prison, ne présentant pas suffisamment de garanties de présentation.

Appel à mobilisation contre les expulsions et l’isolement

mars-infos.org

Depuis 2016, l’utilisation de la force lors de la prise d’empreintes des personnes migrantes, dans les territoires aux frontières internes de l’Europe (Italie, Hongrie, Grèce, …) devient quotidienne.
Contre les expulsions, brisons l’isolement !
Rassemblement le 7 Juin à 17h30 devant la Préfecture Place Félix Baret

La machine à expulser devient de plus en plus organisée :

La prise d’empreintes violente et forcée qui est imposée dans les « pays d’entrée » en Europe coupe de fait l’accès aux droit des demandeurs d’asile.

Depuis 2016, l’utilisation de la force lors de la prise d’empreintes des personnes migrantes, dans les territoires aux frontières internes de l’Europe (Italie, Hongrie, Grèce, …) devient quotidienne. Du fait du Règlement Européen Dublin III, qui prévoit le renvoi des migrant-e-s vers les premiers pays d’Europe où ils et elles ont été enregistré-e-s, cette pratique de fichage forcé empêche les personnes fuyant guerres et dictatures de pouvoir déposer une demande d’asile dans le pays de leur choix. En effet, les renvois des personnes dans les pays dits « d’entrée » deviennent désormais systématiques en France. Cette situation laisse nombre de personnes dans des conditions de vie insupportables, quand elles ne vire pas au cauchemar puisque, sous la pression de l’Union Européenne, les pays d’entrée – tout comme les pays avec un haut quota de refus de demandes d’asile – renvoient les personnes concernées vers leur pays d’origine, ceux-là mêmes que ces personnes ont fui. Ainsi, la Norvège a déjà approuvé des renvois en Afghanistan, l’Italie – et aujourd’hui la France – expulse vers le Soudan, sous l’aile des accords stipulés dernièrement entre chefs d’état européens et dictatures d’Afrique.

Les outils de contrôle des personnes « non-souhaitées » sur le territoire français se fondent sur une politique de dispersion et de non-transparence pour faciliter la mise en pratique des expulsions.

Cette politique d’enfermement et d’isolement mise discrètement en place par l’État permet donc, à la fois, de limiter le contact et la communication entre personnes illégalisées et soutiens solidaires, de dissimuler sa sinistre politique de rejet et aussi de masquer les révoltes et protestations qui peuvent s’en suivre. Ce système coercitif destiné à maintenir dans l’ombre les personnes en attente de décision se matérialise physiquement partout sur le territoire dans ces divers lieux d’enfermement : centres de rétention, zones d’attentes aux frontières, aéroports et gares, prisons de droit commun pour les personnes refusant leur expulsion… Les nouveaux centres créés, tels les CAO ou les PRAHDA, remplissent également ces fonctions de concentration, contrôle et dissimulation. Leur gestion, déléguée à des associations concourantes sur des marchés publics, peut bien s’apparenter, pour ces dernières, à une collaboration, à un rôle de « tampon » entre les publics et l’État.

Les expulsions vers les pays d’origine augmentent. Depuis décembre 2016, une 30taine de Soudanais se sont vus menacés d’expulsion vers le Soudan, et certains d’entre eux l’ont effectivement été. En effet, les autorités françaises ont entamé ces derniers mois des procédures d’expulsion pour un nombre croissant de demandeurs d’asile en provenance du Soudan sans prendre en compte la situation de guerre qui sévit dans plusieurs régions de ce pays et notamment au Darfour, dans les Monts Nouba, dans le Nil Bleu (le Quai d’Orsay déconseille fortement au ressortissants français de se rendre dans ces zones), ni les atteintes graves contre les droits de l’Homme dans l’ensemble du pays. La France semble ignorer que le général Omar El Bechir est le seul chef d’État en exercice qui soit poursuivi par le Tribunal Pénal International (TPI) pour des accusations de génocide, de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité. La France ne semble plus se souvenir non plus que les dispositions des conventions internationales interdisent le renvoi d’un demandeur d’asile dans son pays d’origine, si cela doit mettre sa vie en danger.

On peut alors se demander pourquoi, alors que les conditions de vie dans les pays fuis par les demandeurs et demandeuse d’asile ne se sont pas améliorées voire ont même empiré, les expulsions vers leurs pays d’origines continuent d’augmenter.

LA RÉPONSE C’EST LE PROFIT !

Les profits de quelques uns à la tête des États européens et de certains des pays où les populations souffrent et qu’elles quittent en traversant les frontières les plus mortellles du monde.
Le profit au détriment des gens qui arrivent en France et en Europe après une traversée périlleuse de la Méditerranée et un voyage long et éprouvant à travers plusieurs pays avec les conséquences physiques et psychologiques que l’on peut imaginer sur ces personnes quittant leurs pays et leurs familles.
Arrivés en France, ils sont contraints de dormir dans les rues des grandes villes et déposent leur demande d’asile dans des conditions indignes malgré l’aide et les efforts déployés par les ONG. Dans cette logique de profit, la politique des expulsions est donc intégrée dans une politique beaucoup plus large d’externalisation des frontières européennes dans des pays tiers (Lybie, Turquie…) et les pays d’origine des demandeuses et demandeurs d’asile.
Des accords (Accord de la Valette, Processus de Khartoum, Accord avec l’Afghanistan) facilitent les expulsions des demandeuses et demandeurs d’asile depuis l’Europe et donnent des fonds européens directement aux dictateurs de l’Afrique pour contrôler leurs frontières. L’exemple du financement direct d’une ancienne milice de Djanjawids (les acteurs principaux des violences au Darfour) qui contrôle la frontière du Soudan avec la Libye.
Les dictateurs de ce monde en profitent bien : sous couvert d’accords et des fonds européens ils peuvent cacher les violences contre leur population et améliorer leur image auprès de la communauté internationale. Cela va se traduire cette année lors du G20 à Hambourg en Juillet et lors de la « Conference d’Afrique » à Berlin en Juin. Ces deux évènements ciblent officiellement « le partenariat international », ce qui signifie : plus de fonds et d’accords pour fermer les frontières.

MOBILISONS-NOUS CONTRE CETTE POLITIQUE
LIBRE CIRCULATION ET INSTALLATION POUR TOU.TE.S !!

Cette mobilisation n’entend pas se fixer sur des moyens d’actions, ou sur un discours politique particulier. La diversité des réalités locales engendre la diversité des pratiques, retrouvons nous autour d’un mot d’ordre clair et fort :

Contre les expulsions, brisons l’isolement !

Nous appelons à une journée d’action le 7 Juin, qui prendra la forme que chaque collectif ou individu jugera la plus opportune (manifestation, rassemblement, retransmission directe de témoignages de détenus à la radio, diffusion de lettres, collage d’affiches…).

les Vans (07140) Carte postale de par ici.

.aubanar.lautre.net

Moi, le matin quand je me regarde dans un miroir, quand je me mets à réfléchir avec lui… je me trouve une tête de bavure. C’est plus fort que moi.

Alors, quand je déambule sur la voie publique, c’est épidermique, la présence de nobles représentants des forces d’un ordre ne me rassure pas du tout. Difficile de se sentir en sécurité avec des gus arme à la bretelle. Et puis, sûr que nous ne sommes pas dans le même camp…les vans 2 masqué

Quand il était tout môme, j’avais voulu apprendre à mon fils à reconnaître un CRS.

« Papa, papa ! t’as vu, t’as vu… Ya un méchant !

– Pourquoi dis-tu que c’est un méchant ?

– Il a un pistolet… Tu m’as dit que c’est les méchants qui ont des pistolets… C’est un méchant ?

– Ça dépend… Tu te caches derrière, c’est un gentil. Tu cours devant, c’est un méchant… »Les Vans 3 masqué

 

Perso, j’ai toujours eu à courir devant…

Merci à C² pour ces photos

Merci à C² pour ces photos…

Alors, difficile de me sentir en sécurité avec des gus arme à la bretelle…. Comme ce samedi 3 juin sur le marché des Vans, un jour comme un autre.

Les Vans, charmante bourgade du sud de l’Ardèche avec son centre d’accueil et surtout d’orientation pour migrants…les vans (1)les vans (2)les vans (3)les vans (4)Un grand salut aux écrivains de la nuit…

Affaire Machine à expulser : Réunion publique

reçu par mail:

Après sept ans et demi d’instruction, des milliers de pages de dossier, une quinzaine de personnes perquisitionnées, arrêtées, filaturées, écoutées, filmées, mises en examen, incarcérées, assignées à résidence, maintenues sous des contrôles judiciaires variés pendant plus de sept ans, l’État et la justice passeront finalement quatre personnes en procès, le 23 juin 2017 à Paris.
Cette répression judiciaire, policière et politique est intervenue en réponse au mouvement d’agitation qui s’est développé à l’extérieur des centres de rétention, à partir de 2008, en solidarité avec les révoltes qui avaient lieu alors à l’intérieur (en juin 2008, le centre de rétention de Vincennes est incendié).Quelles que soient les expériences des uns et des autres, que nous ayons participé ou pas à tel ou tel moment de ces luttes – et ceux qui n’ont pas connu ou pas pu connaître ces épisodes sont tout autant concernés-, ce procès est l’occasion de réfléchir à ce que ces luttes ont pu avoir de commun ou à ce qui les a séparé, réflexion qui peut s’avérer utile, voire nécessaire, notamment dans la perspective d’intervenir contre la machine à expulser et donc sur les questions migratoires.
Il est aussi nécessaire de se réunir pour partager les informations autour de ce procès et de cette affaire, ainsi que pour réfléchir à ce qui pourrait l’accompagner, avant, pendant, après, là ou ailleurs : les initiatives de soutien financier comme la solidarité sont aujourd’hui nécessaires pour ne laisser personne seul face à la justice.

Réunion publique le 9 juin 2017 aux condensateurs (43 rue de Stalingrad à Montreuil, Métro Croix de Chavaux)

document en PDF

Valence Solidarité avec les inculpé-e-s de l’Affaire Machine à Expulser

 le mercredi 7 juin à 18h30 au laboratoire anarchiste.

– Soirée de soutien aux exilé-e-s,  ceux qui squattent les bâtiments publics depuis plus de 20 jours à valence, aux  exilée-s qui sont frappé-e- s par une Obligation de Qitter  le Territoire Français

 

et l’Affaire Machine à Expulser

Après plus de sept ans d’instruction,

Quatre personnes passent en procès le 23 juin

Le 23 juin 2017 4 personnes  »anarcho-autonomes  »passent en procès à la 12E chambre du tribunal de Grande instance de Paris pour des faits de résistance et de solidarité aux émeutiers du centre de rétention de Vincennes ( juin 2008)

En butte depuis 2010 d’un acharnement obsessionnel politico- judiciaire , ces personnes vont être jetées en pâture pour satisfaire au nom du sécuritaire , la volonté manipulatrice du patronat et de l’État de briser la résistance sociale prochaine.

Effectivement on agite un chiffon rouge et noir pour masquer la destruction programmée du code du travail.

Refusons cette logique et montrons notre solidarité pour les inculpé-e-s du 23 juin dans ces batailles.

Liberté pour tous et toutes, avec ou sans papiers

Feu aux centres de rétention !

 

Portes- les- Valence [ (26800), Drôme] Arrestation d’un évadé de saint quentin-Fallavier ( mise à jour)

 note :
ledauphine.com   02/06/2017 à 10:38

ST-QUENTIN-FALLAVIER / PORTES-LES-VALENCE Le prisonnier évadé de l’Isère, interpellé hier dans la Drôme

Le 15 mai dernier, alors qu’il participait à une sortie en forêt à Lieudieu (Nord-Isère), un détenu s’était fait la belle. Âgé de 23 ans et originaire de la Drôme,  il purgeait une peine pour vol au centre pénitentiaire de Saint-Quentin Fallavier. Depuis, il était activement recherché.
Il a été interpellé hier à Portes-les-Valence après une enquête menée par les policiers du groupe des atteintes aux biens de la sureté départementale de la Drôme. Les enquêteurs ont retrouvé sa trace suite à plusieurs faits de vols de voitures, de cambriolages commis entre l’Isère et la Drôme.
L’évadé a été placé en garde-à-vue au commissariat de Valence , avant sa présentation aujourd’hui au parquet.

le dauphiné.com

Photo Le DL

le prisonnier est incarcéré actuellement au centre pénitentiaire de valence.. il passera en procès le  4 juillet au tribunal de cette ville..


 » c’est la société  qui fait les criminels , et vous , jurés , au lieu de les frapper, vous devriez employer votre intelligence à transformer  la société: vous supprimeriez tous les crimes, et votre œuvre,   en s’attaquant  aux causes, serait plus féconde  que n’est votre justice qui s’amoindrit à punir les effets » Ravachol

 

Paris : Enfermer ?

/attaque.noblogs.org

Indymedia Nantes / jeudi 1er juin 2017

A Montmartre, Rue Tholozé, se trouve l’imprimerie l’Artésienne – Si l’on se penche un peu sur cette entreprise, on apprend que parmi leurs clients se trouve l’Administration Pénitentiaire – C’est inacceptable, alors sa vitrine et sa porte devaient partir en éclats dans la nuit du 29 au 30 mai 2017 – En juin prochain, la justice s’apprête à juger la solidarité offensive avec la révolte generalisée des sans papiers du CRA de Vincennes réduit en cendres de rétention en 2008, et ça aussi, c’est inacceptable – Il faut le faire entendre

Sabotons la machine à enfermer – Sabotons la machine à expulser

Liberté pour tous et toutes, avec ou sans papiers

Dans la forêt du côté de Roybon le 9 et 10 juin 2017 – Festival Vulvizare à ACAB

/zadroybon.wordpress.com

Les camarades de ACAB organisent un festival musical et une bouffe vegan sur la Zone ! Une première affiche a été éditée, et la programmation ne va pas tarder à arriver. Prévoyez tente, bonne humeur et paillettes pour venir festoyer.
En attendant les détails, vous pouvez retrouver la carte de la Zone ici pour vous rendre à ACAB.
A très vite !

Vulvizare