col de la bataille (26 190) Dimanche 23 septembre Fête du vent

Balades découvertes nature :

Pas besoin de réserver auprès de la personne contact : rendez-vous directement sur place le jour J.

RANDONNÉE N°1 :

Heure & point de départ : 8h30 au Parking de l’Aubasse (retour environ 11h30)

Distance : 3 km

Itinéraire : Sentier brame du cerf Ambel

Thématique : Faune sauvage / Brame du cerf

Difficultés éventuelles : Aucune

Équipement : Chaussures de marche, vêtements discrets, eau et jumelles.

Contact : Romain RIBEIRO

ribeiroromain8@gmail.com / 06.17.21.03.14

RANDONNÉE N°2 :

Heure & point de départ : 10h00 au Grand Echaillon (retour environ 12h15 au Col de la Bataille)

Itinéraire : Col du Lion, Gampaloux, Bois de Comblézine

Difficultés éventuelles : Aucune

Équipement : Chaussures de marche, eau.

Contact : Nicole (obrego@club.fr)

RANDONNÉE N°3 :

Heure & point de départ : 08h00 à l’Abbaye de Léoncel (retour vers midi au Col de la Bataille : covoiturage pour retrouver sa voiture au village)

Itinéraire : Nombreux arrêts comprenant arrêt boisson au Grand Echaillon

Difficultés éventuelles : Dénivelé de 300m

Thématique : Observation sensible de la nature, arbres, plantes, et signes de vie animale

Équipement : Chaussures de marche, eau.

Contact : Michel MONNIER (michelcharousse@gmail.com)

RANDONNÉE N°4 :

Heure & point de départ : 08h00 au Col de la Bataille (retour environ midi au Col de la Bataille pour pique-nique en commun)

Distance : 9 km

Itinéraire : Roc de Toulau

Difficultés éventuelles : 300m de dénivelé & passages un peu raides

Thématique : Belvédère sur le Vercors

Équipement : Chaussures de marche et batons indispensables.

Contact : Bernard BOUTIN

bernard.boutin@gmail.com / 06.42.40.33.03

Publication, France : Ma peste de vie, de Claudio Lavazza

Qui est Claudio Lavazza se comprend dès la première page de ce livre : les actions dont il est accusé parlent clairement. Un rebelle, un guerrier, qui a participé, ensemble avec tant de jeunes de sa génération, à la tentative de changer la société et le monde, assumant l’entière responsabilité de l’avoir fait avec tous les moyens adéquats.
Son autobiographie n’est pas seulement un témoignage de plus sur la lutte armée de la fin des années 1970 et du début des années 1980, mais c’est aussi le portrait d’un homme qui, cas plutôt rare pendant les périodes de répression impitoyable de l’insurrection armée en Italie, ne s’est pas enfui à l’étranger pour se satisfaire des promesses de gouvernements plus ou moins protecteurs, n’a pas accepté la condition de réfugié politique, mais a poursuivi la lutte au-delà des Alpes, mettant en pratique avec une cohérence lucide les principes de l’internationalisme prolétarien et démontrant que, comme l’injustice et l’inégalité, l’urgence même de les combattre ne connaît pas de frontière.

Avec une discipline de fer et une détermination consciente, Claudio ne pense pas à s’enrichir ou à se ranger, même si les expropriations pour lesquelles il a été condamné ont rapporté des butins plus que confortables. Il poursuit la lutte, affrontant les difficultés de tout exilé et de tout persécuté. Claudio ne prétend pas tirer des conclusions de son expérience parce qu’il ne la considère jamais terminée, même quand, en décembre 1996 à Cordoue, il est blessé dans une fusillade et arrêté : sa bataille continue aussi en prison, et aussi dans cette « prison dans la prison » qu’est le régime FIES de l’État espagnol, auquel il sera soumis pour une très longue période.
Une expérience de plus de trente ans, qui unit sans regrets les luttes d’hier et celles d’aujourd’hui, avec une vision concrètement internationaliste et obstinément radicale. Radicale comme ces valeurs et ces désirs qui, malgré la peur et la résignation qui semblent régner souverainement sur notre coin du monde, restent encore aujourd’hui indispensables et chaque jour plus urgents à assouvir.
À travers ses récits, encore une fois, Claudio nous transmet la force qui a animé ses batailles, mises à dure épreuve par l’exil au début et par la prison jusqu’à maintenant, sans perdre l’enthousiasme qui lui a permis d’affronter, jour après jour, l’isolement et la torture de l’enfermement.
Un enfant pestiféré, Claudio. Un rebelle, un anarchiste, un guerrier, un expropriateur qui, dans l’ardeur d’une bataille sans trêve, a su conjuguer ses vertus aux durs temps présents.

283 pages, format A5, 10 €

Commandes à :
lassoiffe[at]riseup.net
lassoiffe.noblogs.org
(Comptez 30 % en moins à partir de cinq copies)

Le catalogue complet de l’Assoiffé.

Valence [26000] : Cédric Herrou enfariné devant le cinéma

face à ce texte du dauphiné libéré paru le 17/:09/:2018 « Cédric Herrou le passeur de migrant voit blanc à Valence, enfariné par des nervis d’extrême droite »

la publication de ce texte  ci dessous parait importante

 luhttps://souslaplagelespaves.noblogs.org

Texte au format PDF : Qui aide qui en Roya ?

 

 

Présentation

Nous avons choisi de publier ce texte car ses auteurs ont eu la conséquence de faire une critique nécessaire de la prise en charge des migrants par des militants citoyennistes des Alpes-Maritimes.

Ou comment à travers les rapports entretenus avec les médias ou la stratégie de dialogue avec les institutions, dans la pure logique citoyenniste, certains finissent par faire, plus ou moins volontairement, le jeu de l’État dans le tri des migrants, sous couvert de protéger et d’aider ces derniers.

Il ne peut y avoir de lutte digne de ce nom autour de la situation des migrants sans la relier à la question désormais globale des frontières.

La « simple » solidarité humaine envers les migrants est évidemment à saluer ; mais dès lors que l’aide fournie aux migrants ne débouche pas sur une critique des institutions, et sur le refus de transiger avec la logique générale du pouvoir, le risque est grand d’en arriver à des situations telles que celle vécue par les individus actifs dans les Alpes-Maritimes qui s’expriment dans ce texte.

En effet, quoi de plus facile pour l’État que d’établir des ponts avec des « citoyens » ? Lorsqu’on admet que l’on est un « citoyen », un administré, on reconnaît dès lors une légitimité aux institutions en place. Il n’est par la suite même plus question pour le Pouvoir de récupérer les luttes ou les dynamiques de mobilisation, dans la mesure où elles n’ont pas la prétention de s’opposer franchement à lui. Il s’agit simplement de les diriger dans le sens qui lui convient, comme cela se fait aujourd’hui, au moins en partie, dans la Roya.

Il est nécessaire d’ajouter que nous ne partageons pas les revendications exprimées à la fin du texte. Poser comme enjeux d’une lutte des revendications, donc des demandes à l’État, c’est non seulement le reconnaître, au moins jusqu’à un certain point, comme interlocuteur, mais aussi accepter de poser des limites aux luttes, avec des objectifs précis que l’on sait parfaitement impossibles à atteindre.

Il nous semble aussi important de critiquer les rôles militants, en particulier celui de soutien aux migrants, pour ce que tous les rôles représentent en termes de spécialisation et de séparation. Si nous sommes bien évidemment solidaires des migrants, nous sommes avant tout des individus opposés à cette société pour mille et une raisons, et nous ne nous reconnaissons pas dans l’activité spécialisée et séparée du militant. La critique de cette société et de ses frontières doit nécessairement se jouer au quotidien, au-delà de la seule question des migrants.

 

 

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Une figure locale en compagnie de deux rebelles désintéressés

Parution: Avis de tempête N°9 bulletin anarchiste pour la guerre sociale

Avis de tempêtes #9

Pour lire, imprimer et diffuser ce petit bulletin autour de soi (il est
en format A5, et celui-ci fait 20 pages), on pourra retrouver chaque
nouveau numéro tous les 15 du mois, ainsi que les précédents, sur le
blog :
https://avisdetempetes.noblogs.org

« De la même façon que les restructurations du marché du travail et la
technologie ont transformé les anciennes formes d’exploitation en
multipliant flexibilité, auto-entrepreneuriat et auto-contrôle, le
nouveau plan de gestion carcérale de l’Etat présenté en septembre entend
accentuer le processus de différenciation entre la plupart des
prisonniers, en se basant non plus uniquement sur la peine ou le délit
initial, mais sur une participation et une collaboration accrues à son
propre enfermement. Un peu comme si tout ce système de réclusion, de
dépendance, d’arbitraires et de torture n’était qu’un vaste cadre
contractuel. Un cadre où on est sommé de devenir toujours plus «
responsable » d’une peine à exécuter et cogérer avec l’administration,
en étant paradoxalement parcellisé à l’intérieur d’une structure de
masse, en devenant le maton des autres au nom de l’évolution de son
propre parcours carcéral. Il va sans dire qu’un tel processus de
totalitarisme démocratique où participer c’est diviser, n’ira pas non
plus sans une répression supplémentaire contre la minorité de rebelles
qui n’accepte pas de collaborer. »

Après les journées du Patrimoine l’archéologie préventive?

Ces 15 et 16 septembre 2018 ont lieu les Journées  du Patrimoine. Parmi les sites ouverts au public, de nombreuses fouilles archéologiques vont attirer les foules, et vendre l’image d’un patrimoine vivant, sauvegardé, choyé. Sous le vernis des communicants c’est pourtant une tout autre histoire

  Depuis la loi Carcopino de 1941 promulguée sous Pétain qui confie à ces seuls fonctionnaires l’étude des vestiges et témoignages matériels et spirituels de l’histoire et de la préhistoire. Bouillonnante au XIXème siècle. L’archéologie est devenu une marchandise  elle ne l’ est que trop souvent. Et cette logique économique totalitaire inclut la marchandisation des travailleuses et des travailleurs de cette branches et leur extrême précarisation…Les fonctionnaires de la culture et des administrations territoriales ont, depuis plus de 30 ans, constamment  rapprochés?

Le trou des Halles, 1973

on peut lire bulletin du secteur archéo de la CNT  ici

 

Grenoble ( 38000) La boutique de la CCI Shop Tour part en fumée

« un message inscrit dans les cendres du « Shop Tour connecté ».

Le Shop Tour connecté incendié rue Félix-Poulat à Grenoble © Florent Mathieu - Place Gre'net

 15/09, Grenoble (France). Juste après son inauguration,
la boutique éphémère mobile de la Chambre de commerce et d’industrie(CCI), dénommée Shop Tour et dédiée aux nouvelles technologies est incendiée : écrans connectés,étiquettes intelligentes,modules de réalité virtuelle ou
augmentée, tout est parti en fumée.

Le "Shop tour connecté" est parti en fumée dans la nuit de vendredi à samedi

 

information trouvée  sur France  bleu isère

 

Forêt de hambach( allemagne) Des expulsions et des blessé-e-s

comme disait le blog zad.nadir.org

Les expulsions ont commencé le 13 septembre

le 16 septembre les médias claironnent des expulsions et des blessé-s

 note :Neuf militants écologistes ont été légèrement blessés et 34 au total interpellés lors de l’évacuation d’une forêt occupée pour y bloquer l’agrandissement d’une mine de charbon. Des dizaines de militants écolos s’y étaient installés, parfois dans des constructions situées à la cime d’arbres, certaines à 25 mètres du sol. Das ist ein « Bereich Zu Verteidigen ». Une « zone à défendre » si vous préférez…


le monde.fr  16.09.2018 à 11h55

Neuf militants écologistes ont été légèrement blessés et 34 ont été interpellés lors de l’évacuation de la forêt de Hambach, en Allemagne, a annoncé la police, dimanche 16 septembre. L’opération de police durait depuis plusieurs jours déjà dans cette forêt proche d’Aix-La-Chapelle dans l’ouest du pays, près de la frontière avec la Belgique et les Pays-Bas.

Des dizaines de militants écologistes s’y étaient installés, parfois dans des constructions situées à la cime d’arbres, certaines à 25 mètres du sol. Leur objectif : empêcher des coupes d’arbres prévues par le groupe de production d’électricité RWE, et autorisées par l’administration, pour permettre l’expansion d’une mine de lignite, un charbon brun très polluant extrait à ciel ouvert sur de très vastes surfaces.

La présence des militants écologistes était  constante depuis des années, mais RWE a décidé récemment de faire valoir ses droits sur cette zone.

Lire aussi :   En Allemagne, la laborieuse sortie du charbon

La forêt de Hambach est devenue en Allemagne le symbole des adversaires du charbon, qui reste une source importante de la production d’électricité du fait notamment de la sortie du nucléaire décidée par le pays en 2011 pour 2022.

Même si le charbon paraît condamné à terme, le gouvernement n’a pas fixé à ce jour de date de sortie et l’exploitation de ce combustible continue notamment dans l’ouest et l’est du pays. Elle représente aussi dans ces régions un enjeu important sur le plan de l’emploi.

La forêt espace de promenades et de cueillettes, de glanage, est un enjeu pour la « transition écologique » comme le montre RWE et sa filiale E.on

Paris et sa banlieue, France : Perquis’ et GAV pour sept personnes accusées des incendies de véhicules de matons de la prison de Fresnes

Lundi 10 septembre au petit matin, les policiers du SDPJ 94 ont débarqué chez des personnes soupçonnées d’être les auteures des incendies ayant visé depuis mai dernier des surveillants de la prison de Fresnes.

« Six jeunes ont été interpellés tôt dans la matinée. Un septième a été extrait d’un établissement pénitentiaire. Quatre jeunes majeurs et trois mineurs ont ainsi été placés en garde à vue pour destruction de biens privés et publics par incendie en bande organisée. » nous dit Le Parisien. On n’en sait pas davantage pour le moment.

Depuis mai dernier à Fresnes, douze véhicules de matons ont cramé sous leur nez en quatre temps [cf les articles qui parlent de ces incendies ici et ]

Pour rappel, plusieurs incendies ont frappé l’institution pénitentiaire et ses serviteurs zélés au cours du mois de juillet. A Lille, les matons de la prison de Séquedin ont vu brûler leurs véhicules garés devant la taule, tandis qu’à Besançon, cinq voitures du SPIP sont partis en fumée en une nuit.

Dans le même temps, l’Etat, à travers la voix de sa ministre Nicole Belloubet, annonce son « plan prison », mettant en place diverses mesures pour étendre la prison au-delà de ses murs (plus d’assignations à résidence, plus de ports de bracelets électroniques, etc…)