Nice : La tentative d’évasion laisse quelques bobos aux matons

attque .nobloggs.org

Nice Matin / Lundi 2 octobre 2017

l’appel de l’intersyndicale UFAP-FO-CGT, le personnel pénitentiaire de la maison d’arrêt de Nice est mobilisé ce lundi matin. Un appel au « blocage de l’établissement et de l’institution » a été lancé par les trois organisations. La raison? L’agression de trois surveillants dimanche matin par un détenu. Ce dernier, transféré à l’hôpital Pasteur après s’être « un peu coupé » les veines, avait réussi à dissimuler de la vaseline et une lame en céramique, indécelable au détecteur de métaux.
La vaseline lui ayant permis d’ôter ses menottes, il a pris en otage l’un des gardiens. Avant que ces derniers aient pu le contenir, il a eu le temps d’en blesser un d’un coup de couteau au-dessus du genou. Le surveillant a également été blessé au doigt […].

terrorisme d’État :loi de « l’État d’urgence permanent »?(MAJ)

note:  ce qui se prépare  dans cette loi est , depuis le début de la cinquième république, la plus répressive en dépassant largement  «  la loi anticasseur »

On peut revenir à un livre « le coup d’État permanent » en n’ oubliant pas le rôle dans l’appareil d’état qu’a tenu cet homme qui a écrit ce livre  alors  qu’il a occupé les fonctions de ministre de l’intérieur(1954 à 1955) , garde des Sceaux. ministre de la justice.(1956-57). Pendant cette période combien de peines de mort exécutées? . Il a publié deux livres sur ces questions coloniales, François Mitterrand publiera : « Aux Frontières de l’Union française », en 1953, et « Présence française et abandon », en 1957.  Ceci pour donner toutes les pistes aux lectrices , lecteurs du blog..


Les échos    du 3 octobre
Les députés doivent voter mardi le projet de loi porté par Gérard Collomb. Aucune consigne de vote n’a été donnée chez Les Républicains.

C’est presque une formalité. Les députés de La République En marche (LREM), qui disposent d’une confortable majorité, ont fait bloc lors des débats, la semaine dernière. Les rares inconnues de la séance du vote solennel en première lecture du

    projet de loi antiterroriste

, mardi à l’Assemblée, tiennent à l’attitude des élus Les Républicains (LR), divisés sur ce texte. Si l’hostilité contre le texte domine en leur sein, elle est loin d’être aussi franche et massive que chez leurs homologues de La France insoumise (FI), unanimes à dénoncer son caractère liberticide.L’absence de consigne de vote illustre cette incertitude, et ce alors même que Christian Jacob, le président du groupe LR, milite contre l’adoption d’une loi dont les mesures doivent dispenser l’exécutif de proroger l’état d’urgence. « Pour la première fois depuis 2015, nous aurons un dispositif plus bas, plus faible, moins protecteur », a fustigé ce lundi sur France Inter Eric Ciotti, partisan de le rétablir pour au moins six mois. Le député LR des Alpes-Maritimes et son homologue de l’Yonne, Guillaume Larrivé, présenteront, mardi matin, une proposition de loi visant à durcir le texte porté par Gérard Collomb, le ministre de l’Intérieur.

Des périmètres de protection

Ce dernier va pourtant assez loin. Il prévoit notamment que des périmètres de protection seront décidés par les préfets pour sécuriser la tenue d’événements dont l’accès donnera obligatoirement lieu à des vérifications (palpations de sécurité, inspection visuelle et fouille des bagages).

Autre mesure phare : les assignations à résidence. Toute personne dont le comportement donne « des raisons sérieuses de penser [qu’il] constitue une menace d’une particulière gravité pour la sécurité » pourra faire l’objet d’une interdiction de se déplacer à l’extérieur d’un périmètre qui ne peut être inférieur à la commune. Elle devra se présenter à la police une fois par jour (trois sous l’état d’urgence) et donner ses numéros de téléphone et identifiants de communication électronique. Décidée par le ministre de l’Intérieur, cette assignation est renouvelable dans la limite totale d’un an. Le contrôle d’un juge a priori n’est pas prévu.

Fermeture de lieux de culte

Les préfets pourront par ailleurs procéder à la fermeture des lieux de culte si des « écrits », « propos », « activités », « théories » et « idées », appelant au terrorisme, « à la haine » ou à la « discrimination » y sont tenus.

Autre nouveauté : les « visites domiciliaires ». C’est la transposition des « perquisitions administratives » qui s’appliquent sous l’état d’urgence. Ces « visites » restent à l’initiative du préfet, mais elles devront recevoir l’aval du juge des libertés et de la détention (JLD). La personne dont le domicile est « visité » pourra être retenue quatre heures.

Les possibilités de contrôles d’identité vont être élargies « dans un rayon de 20 kilomètres autour des ports et aéroports constituant des points de passage frontaliers ». Pour l’exécutif, il s’agit de répondre à la fin de la dérogation de deux ans au code Schengen accordée à la France pour rétablir ses contrôles aux frontières intérieures et qui expire le 31 octobre.

G20 à Hambourg, Allemagne : La répression n’est pas finie – Manifs de solidarité après une nouvelle vague de perquisitions

Ce mercredi 27 septembre, plus de 100 flics ont perquisitionné 14 appartements et un magasin à Hambourg et dans le land de Schleswig-Holstein. Les flics ont embarqué 7 I-phones durant la perquisition. Ils prétendent que ces portables ont été volés lors d’un pillage d’un magasin de téléphonie mobile le 7 juillet lors des émeutes anti-G20.

Lors d’une conférence de presse mardi, les flics ont également précisé que 2000 personnes étaient sous enquête mais que ce nombre pourrait grimper rapidement à 3000. Une équipe « spéciale G20 » de 180 enquêteurs continue par ailleurs à analyser vidéos des transports avec des logiciels de reconnaissance faciale afin d’identifier les gens. Le procureur a également annoncé que 319 personnes sous enquête ont toutes été identifiées et que 23 personnes sont toujours en détention provisoire. Mais vu qu’Orazio a été libéré tôt ce mercredi matin, le nombre de détention préventive est désormais de 22.

Ce dimanche 1er octobre s’est tenue une manif de solidarité jusqu’à la prison de Billwerder, où encore de nombreuses personnes sont incarcérées pour leur participation au contre-sommet du G20. Le texte des organisateurs « United we stand », collectif anti-rép monté à l’issue du G20, est dispo en anglais à cette adresse.

Les adresses de quelques compagnons toujours incarcérés pour les émeutes du G20 :

RICCARDO LUPANO (09/06/1985)
JVA Billwerder
Dweerlandweg n° 100
22113 Hamburg
Germany

EMILIANO PULEO (02/02/1987)
JVA Billwerder
Dweerlandweg n° 100
22113 Hamburg
Germany

ALESSANDRO RAPISARDA
JVA Billwerder
Dweerlandweg n° 100
22113 Hamburg
Germany

FABIO VETTOREL (02/12/1998)
JVA Hahnöfersand
Hinterbrack 25
21635 Jork


Manif de solidarité avec les prisonnier.e.s du G20 à Amsterdam (Pays-Bas), samedi 30 septembre 2017.

Blasphegme, bulletin mural anarchiste, se met sur pause

Blasphegme

Comme certains auront pu le remarquer, le journal Blasphegme a été mis sur pause. La raison est que je suis seule à le faire, et j’ai décidé de m’envoler de la cage grise dans laquelle je me trouvais, et de partir vagabonder, chercher un peu de beauté, de joie, de complicité, de calme, d’aventure et de réconfort.

Peut-être qu’un jour j’écrirai un texte sur les violences qui m’ont poussé à prendre le large de Paris, sur le dégoût et la déception que je ressens par rapport à un milieu anarchiste qui protège et donne raison aux agresseurs, sur comment il est dur d’exister dans un milieu qui ne reconnaît que les grandes gueules, le charisme, et qui distille les hypocrisies, les manipulations, et les autoritaires; et sur comment il est dur d’exister en tant qu’anarchiste au féminin, dans un milieu qui a du mal à accepter qu’une compagnonne soit capable de penser et d’agir d’elle même, sans aucun homme dont dépendre.

Faire ce journal était un blasphème contre ces autoritaires qui croient avoir une quelconque influence sur le milieu, c’était leur montrer qu’il y a des individus qui fonctionnent sans leur bénédiction (et sans s’agenouiller devant eux), et sans appartenir à un clan ou un autre, sans défendre leurs petites chapelles et idéologies sclérosées. C’était aussi essayer de faire quelque chose malgré tout, à une petite échelle, tenter de contribuer à diffuser des idées qui me sont chères tout en étant seule. Parce que nous ne sommes pas tous égaux dans « l’affinité », qui repose surtout sur la capacité de socialisation des uns et des autres, mais aussi sur le grégarisme et le copinage. Ceux qui ne se sentent pas à leur place dans cette société, pour  des raisons diverses, se retrouvent aussi dans la marge de ces petits milieux qui prétendent fonctionner différemment de la société, alors que ça n’est pas le cas. Et ce journal se voulait de montrer que même dans des situations d’isolement (voulu ou non) on peut toujours faire quelque chose … un journal, mais bien d’autres choses plus intéressantes, selon les moyens de chacun, les envies, l’énergie, etc.

Je remercie les rares compagnons qui m’ont aidé à coller Blasphegme dans la rue, qui m’ont encouragé, qui ont fait des relectures. Vous m’avez donné de l’énergie quand je n’en avais pas et vous m’avez permis de ne pas baisser les bras dans les moments difficiles où vous êtiez les seuls à mes côtés.

Peut-être que Blasphegme reparaîtra sur les murs, peut-être qu’il changera de langue, de format, etc. Qui sait … pour l’instant Blasphegme hiberne.

Turin [italie] G7 deux compagnons arrêtés

/www.infoaut.org

Deux camarades ont été arrêtés pendant la marche de Venaria contre le G7 de l’industrie, la science et du  travail.: la revanche de la police après l’attaque  de  la zone rouge.

Deux compagnons ont été conduits en prison à la fin de cette dernière journée de mobilisation contre le sommet sur l’emploi tenu à Venaria, près de Turin.  Andrea a  été arrête, et Antoine, un jeune homme de Pesaro.

Antoine a été arrêté par des agents de Digos à la fin de l’assaut de la zone rouge, juste avant la manifestation sur son  chemin de retour vers Turin. Andrea a cependant été arrêté à fin de la manifestation, alors qu’il rentrait à Bussoleno (où il vit et travaille) pour avoir  frappé un policier en essayant de libérer un manifestant bloqué par la police.

Déjà dans les heures qui ont suivi l’événement a soulevé le chœur rituel des voix de solidarité dans le travail de la politique d’application de la loi, parmi lesquels celui de l’échec du  maire de Turin, Chiara Appendino.

Les deux camarades ont été traduits dans la prison la  Vallette de Turin. Dans les heures à venir, nous aurons plus de détails sur les accusations portées contre eux et leur situation. En attendant dimanche premier  octobre , il y aura une première initiative de solidarité: rendez-vous à 18 h devant la prison de la valette   au terminus du tram 3 (Vallette) pour apporter une présence solidaires à Andrea et Antoine et  de demander leur libération immédiate.

Andrea et Antony libre immédiatement et liberté pour tous et toutes !!

Procés des maçons du PS de villeurbanne le 2 octobre

https://rhonenddl.wordpress.com

Le 2 octobre, 13 personnes seront jugées pour avoir participé à une action collective de murage du local PS de Villeurbanne, dans le cadre de la lutte contre l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes.

Hiver 2015. Mû par un léger penchant pour l’ordre et la sécurité qu’on lui connaissait bien, le Premier Ministre de l’époque – M. Manuel Valls – décide d’en finir une bonne fois pour toutes avec cette agaçante épine qui traîne depuis trop longtemps dans le pied du gouvernement, à savoir la ZAD de Notre-Dame-des-Landes. Les procédures d’expulsions sont relancées contre les habitant.e.s « historiques » vivant sur la ZAD, préalable à une invasion par les forces du désordre afin de tout casser pour rétablir « l’état de droit ».
Mars 2016. Face à ce regain d’agressivité du gouvernement, la résistance s’organise, comme lors de ce week-end où des actions visant le Parti Socialiste au pouvoir ont fleuri un peu partout en France

(https://www.google.com/maps/d/viewer?mid=1TQBajERaRkBJviWigWoTMBY28ZA)

Le local PS de Villeurbanne voit ainsi sont entrée murée, et 13 personnes sont interpellées et placées en garde-à-vue pour avoir participé cette action collective.

JPEG - 90.8 ko

Ces 13 personnes sont actuellement poursuivies par la justice, leur procès se tiendra à Lyon lundi 2 octobre à 14h au Tribunal de Grande Instance. Venez nombreu.x.ses pour les soutenir, pour que la répression n’écrase pas les dynamiques collectives comme ils le souhaitent, mais les renforce.

 

 

1986 Les Lascars du LEP électronique

Les lascars du LEP électronique » est un film sur le mouvement étudiant et lycéen contre le projet de loi Devaquet de 1986. Ce film a été réalisé à la fin de cette année 86 par un groupe de lycéens qui développe alors une critique du mouvement auquel ils ont eux-mêmes participés: critique de l’insuffisance des revendications étudiantes, critique des orgas politiques, avec une critique sociale plus globale. Leurs tracts commençaient par : « Professeurs, vous nous faites vieillir ! » ou « Nous n’irons pas à l’usine ! » ou encore « Maman, Papa. Ta fille, ton fils sont dans la rue. Ils étaient signés les lascars du LEP électronique. Documentaire sur leur participation au mouvement et leur rapport aux étudiants des filières générales. Texte d’appel des lascars du LEP en 1986 : « TOUT CE QU’ON NE CRITIQUE PAS DOIT ETRE CRITIQUÉ NOUS CRITIQUONS ! ETUDIANTS, hier nous étions dans la rue avec vous mais autant vous le dire tout de suite, la réforme « 2 paquets » on s’en fout ! Pour nous la sélection a dejà joué, l’université nous est fermée, et nos C.A.P, nos B.E.P, nous mènent tout droit à l’usine apès un petit tour à l’ANPE. Pour nous la critique de la loi « 2 baquets » est inutile ; Nous critiquons l’université, Nous critiquons les étudiants, Nous critiquons l’école, Nous critiquons le travail. L’école nous donne de mauvaises places, L’université vous donne des places médiocres, Ensemble critiquons les ! Mais ne nous-dites pas : « il faudra toujours des balayeurs, des ouvriers » ou alors allez-y les gars, ces places-là on vous les abandonne de bon coeur, ne vous génez pas ! ON N’EST PAS PLUS BETES QUE VOUS, ON N’IRA PAS A L’USINE ! Si vous critiquez la loi « 2 laquais » qui ne fait qu’empirer une situation mauvaise, vous n’avez rien compris ! Du reste votre situation n’est pas de beaucoup meilleure que la nôtre. Une bonne partie d’entre-vous (60% paraît-il) abandonnera ses études avant le DEUG ; et ces « mauvais étudiants » auront droit aux mêmes boulots subalteernes et mal payés qui sont notre lot. Et quand aux « bons étudiants » qu’ils sachent que les places moyennes qu’ils auront ( les bonnes c’est pas à l’université qu’on les trouve) ont beaucoup perdue de leur prestige et de leur pouvoir. Aujourd’’hui un médecin n’est plus un « MONSIEUR », c’est un employé de la sécu. Et qu’est-ce qu’un professeur, un avovat ? Il y en a tant…! ETUDIANTS, si vous critiquez seulement la loi « 2 caquets » et pas l’université, vous vous batterez seuls et la loi passera d’un coups ou par petits bouts, VOUS L’AUREZ DANS L’CUL ! Et, si par hasard elle ne passait pas, alors tout serait comme avant et la moitié d’entre vous se retrouverait dans les bureaux, VOS usines aseptisées. ETUDIANTS c’est vous qui êtes appelés à gérér cette société et nous à la produire. SI VOUS BOUGEZ, SI NOUS BOUGEONS, TOUT PEUT BOUGER. Mais si vous voulez seulement jouer les « apprentis Tapie », si vous voulez seulement gérer loyalement cette société et devenir à moindres frais, éducateurs, assistantes sociales, animateurs, inspecteurs du travail, cadres , sociologues, psychologues, journalistes, directeurs du personnel ; pour demain nous éduquer, nous assister, nous animer, nous inspecter, nous informer, nous diriger, nous faire bosser… ALLEZ VOUS FAIRE FOUTRE ! mais si vous voulez, pour commencer, critiquer le système scolaire qui nous exclut, et vous abaisse, si vous voulez lutter avec nous, contre la ségrégation sociale, contre la misère, la vôtre et la nôtre, alors… FRERES, AVEC NOUS, ON VOUS AIME !!! »

Besançon (Doubs) : Petite balade pour bien commencer la semaine…

Brèves du Désordre

Petite balade pour bien commencer la semaine…

Indy Nantes, 29 septembre 2017

Lundi, on s’est retrouvé.e.s pour une petite balade sauvage au centre-ville. On a saisi l’occasion pour affirmer notre dégoût de la propriété et de leurs défenseurs en repeignant les façades de plusieurs agences immobilières à Saint-Amour, quartier huppé du centre où les riches se sentent si en sécurité…

On a poursuivi notre virée et après notre passage, les murs avaient l’air moins terne : «  La vie est courte, soyons sauvage ; Solidarité avec Kara et Krem ; Liberté pour Kara et Krem ; A bas la politique, vive la vie ! ; Feu aux prisons ; En marche on crève… »

Pour finir, on a ressenti le besoin de nous solidariser avec les personnes qui luttent à Bure contre la poubelle nucléaire et chez qui, il y a quelques semaines, les bleus ont débarqué afin de fouiller les moindres recoins de leur intimité. Alors le siège d’ENEDIS s’est fait repeindre. Avec quelques œufs et slogans : « Enfouissons CIGEO » et « Solidarité avec la lutte anti-CIGEO à Bure ».

Et on reviendra, parce qu’on est relous… et que ce monde (du travail) nous donne la gerbe !

PS : la plupart des graffs ont été effacés dès le lendemain. Mais un d’eux résiste encore à la brigade anti-tags… Seulement, a-t-elle dans ses rangs un agent qui pratique l’escalade ??

 

Lecce [Italie]On a trouvé un micro espion

l y a peu de certitudes dans la vie. Outre la mort.. Pour les anarchistes c’est d’être surveiller, espionner et vidéo  surveillé constamment et  écouté.

En partantde   cette certitude, vous vous comportez par  conséquent, prendre toutes les mesures nécessaires. Mais il y a des moments vous remarquez quelque chose d’étrange, et vous décidez d’aller plus loin, pour optimiser leur propre certitude. C’est pourquoi une nuit nous avons
a décidé de donner un contrôleplus approfondi  aux salles de notre bureau anarchiste, et nous avons trouvé de quoi il s’agissait, peut-‘être un micro espion, à l’intérieur d’une prise électrique,bien qu’ielle  n’aiétait pas connecté au réseau. Son fonctionnement précis ne fonctionne pas c’était  clair pou nous: ou elle contenait une carte SIM, par laquelle les curieux pouvaient
entrer en contact et écouter les discours de quelqu’un d’autre,ou une batterie d’alimentation.À une extrémité était lisible le sigle ABG.  Photos jointes de l’objet en question

. microspia 1

Biblioteca Anarchica Occupata “Disordine” – Lecce
22 settembre 2017

Croce Nera Anarchiste

Contre le Lyon Turin ferroviaire une lutte inachevée!

Note: Cette  histoire du Lyon Turin  a commencé  avant le siècle actuel, 

 

Non Lyon Turin Ferroviaire

http://www.20minutes.fr

Le TGV Lyon-Turin n’est pas enterré, promet Macron

Le projet est toujours vivant. Emmanuel Macron a rappelé mercredi l’engagement de la France et de l’Italie dans la réalisation de la ligne ferroviaire à grande vitesse Lyon-Turin, lors d’un sommet à Lyon avec le chef du gouvernement italien Paolo Gentiloni.

« Nous sommes l’un et l’autre pleinement engagés », a assuré le chef de l’État lors d’une conférence de presse conjointe. « Il faudra développer sur le plan stratégique cet axe au-delà du tunnel de base », a-t-il ajouté en annonçant la création d’un groupe de réflexion sur les interconnexions à la ligne. Le président du conseil italien Paolo Gentiloni s’est pour sa part félicité que le Lyon-Turin « sorte renforcé » de ce 34e sommet.

« Pas avec les idées d’il y a 20 ans »

« Ce projet, on ne peut pas le faire réussir avec les idées d’il y a 20 ans », quand il a été imaginé ; il faut « l’adapter aux modes de mobilité contemporains », des mobilités « plus écologiques, plus intelligentes », a précisé Emmanuel Macron. « En Italie, nous avons travaillé évidemment sur toutes les interconnexions de l’ouvrage, pour réduire l’impact sur l’environnement et nous allons continuer à voir dans cet ouvrage une infrastructure nécessaire à l’unité ferroviaire européenne », a ajouté Gentiloni.

En juillet, la ministre des Transports Élisabeth Borne avait affirmé que le Lyon-Turin était concerné par la « pause » dans les constructions de nouvelles infrastructures annoncée par M. Macron, en faisant état toutefois de la « spécificité » de ce projet « financé à 40 % par l’Union européenne mais aussi à 35 % par l’Italie ». Ces propos avaient jeté le trouble entre adversaires du Lyon-Turin, qui avaient salué cette pause comme « une sage décision », et partisans du projet, qui avaient demandé à l’Elysée de « clarifier sa position » et de « confirmer l’engagement de l’État ».

Mise en service en 2030

La société franco-italienne TELT, responsable de la réalisation de la ligne, avait quant à elle assuré que « pause » ne signifiait pas « suspension » d’un chantier déjà largement entamé.

Côté français, le percement de la galerie de reconnaissance de 9 km à Saint-Martin-la-Porte (Savoie) s’est poursuivi et « 1,4 km a été excavé », a précisé mercredi à l’AFP un porte-parole de TELT. Le tunnelier, qui perce dans l’axe et au diamètre du tube Sud du futur tunnel, avance à la cadence de « dix mètres par jour », a-t-on précisé. Des difficultés géologiques avaient été rencontrées il y a quelques mois.

Côté italien, la galerie de reconnaissance de La Maddalena à Chiomonte, longue de 7 km, qui servira notamment d’accès au chantier du tunnel de base, est terminée.

Le futur tunnel transfrontalier, long de 57,5 kilomètres – 45 km en France et 12,5 km en Italie – et dont le coût est estimé à 8,3 milliards d’euros, entre dans sa phase de construction, avait indiqué en juin Hubert du Mesnil, président de TELT, assurant que le calendrier de la mise en service de la ligne, à l’horizon 2030, serait tenu.

Le tunnel de base sera constitué de deux tubes à voie unique. Il reliera les gares internationales de Saint-Jean-de-Maurienne et de Suse, avec des interconnexions au réseau existant, en France et en Italie.