Ce sont des empoisonneurs!!

 indymedia Nantes

Affiche collée sur les murs de Paris et d’ailleurs

Ils nous mentent. Dieu, Allah, Yahvé n’existent pas. Il n’y a pas de vie après la mort.

Ces  sinistres illusions sont entretenues afin de nous faire accepter tout le  carcan de normes morales et de règles sociales qui nous font vivre en  esclaves, dans l’enfer qu’est ce monde. Un enfer bâti par les pouvoirs  d’État, par le capitalisme et aussi par les religieux.

Pour prêtres et bigots, la vie ne serait  qu’une épreuve à endurer afin de gagner une récompense dans l’au-delà.  Mais ils nous mentent : nous n’avons que cette vie-ci. Leurs cieux  irréels ne sont rien d’autre que l’image de la Justice, la main du  pouvoir qui distribue rétributions et punitions ici bas.

Les religions sont un instrument pour  maintenir les exploités obéissants, pour justifier le pouvoir et la  richesse de quelques-uns. L’idée de divinité est la racine même du  principe d’autorité et son pendant, la foi, est celle de la servitude  volontaire, ce venin de l’esprit.
Blasphémer  toute religion au nom de la liberté ne signifie cependant pas défendre  la laïcité, un outil de la République. Cela veut encore moins dire s’en  prendre aux fidèles d’une religion en particulier, chose qui pourrait  donner des arguments au racisme. Bien au contraire, nous devons  combattre les religions, toutes les religions, aussi parce qu’elles sont  un des fondements identitaires qui engendrent et développent  nationalisme, communautarisme et racisme. Nous devons les combattre en  gardant en tête que ce qu’on veut est la liberté pour chacune et chacun.
 Ils méprisent la vie, ce sont des mourants, eux-mêmes empoisonnés
Croire en  un dieu signifie se priver de sa propre liberté, la remettre dans les  mains de quelques illuminés qui nous expliquent comment nous conduire.  Pourquoi un prêtre devrait me dire qui et comment je dois aimer ?  Pourquoi un imam devrait me dire quoi manger et comment m’habiller ?  Pourquoi en tant que femme je devrais accepter d’être soumise à un père,  à un mari ? Je vaux autant qu’un homme : je ne suis pas une propriété,  un objet sexuel ou un outil reproductif.
Leur pureté pue la mort. Quelques fois la  religion provoque des massacres, tous les jours elle nie la vie. Même la  fuite vers un ailleurs imaginaire cache l’acceptation concrète de  l’existant. La vie, à  l’inverse de leurs délires réactionnaires, pourrait être un jeu de  liberté dans lequel chacune et chacun essaye de s’épanouir. Je veux être  libre parmi d’autres, je ne veux pas qu’on fasse de moi un «frère»  pieux ou une «sœur» soumise, sous la coupe d’un quelconque «père», tel  un mouton dans un troupeau de souffrance et de «vertu».
Commençons à vivre pour de vrai, comme bon nous semble, sans plus prêter l’oreille à leurs commandements.
A bas toutes les religions, elles ne visent qu’à nous imposer une vie de soumission et de mort! A bas tous les prêtres, les imams, les rabbins, les pasteurs, les prophètes, leurs livres sacrés ! A bas tous les dieux !
Vive la vie, vive la liberté, vive la révolution !

Pièces jointes

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