Anarhija.info / jeudi 25 avril 2019
Tout était prêt depuis le matin : journalistes et directe télé sur les chaînes nationales…
Le minable Proc’ de Turin, Roberto Sparagna, ne manquait de rien, afin de mettre la pression sur une bande de minables comme lui (le jury populaire, guidé par la juge Alessandra Salvadori).
Un pauvre dément à la recherche de notoriété qui, après son déménagement du parquet anti-mafia à celui antiterrorisme, a réussi à arriver là où, pendant des dizaines d’années, d’autres minables collègues à lui ne sont pas parvenus : association subversive avec finalité de terrorisme.
Je le vois déjà, dans quelques jours, chez Vespa sur « Porta a Porta » [émission télé d’« information », très connue, menée par le journaflic Bruno Vespa ; NdAtt.], avec une quelconque criminologue ratée, en train de raconter qu’est ce qu’est l’anarchisme, comme il se divise en groupes, bandes, gentils et méchants, ainsi que ses propres actes d’héroïsme contre la FAI/FRI.
Je voudrais rappeler au minable Procureur adjoint que, malgré les dures peines que t’as obtenu contre nos compagnons, frères et sœurs Alfredo, Nicola, Anna, Marco et Alessandro, tu n’a gagné qu’une petite bataille… la guerre contre l’État et ses minables serviteurs, comme toi, sera longue.
Je sais que ces quelques lignes iront s’ajouter au tas de merde que tu vomira dans les prochains dossiers judiciaires en Appel, mais ce n’est pas mon problème…
Ne pense pas que tu me fais peur avec tes menaces, tes collègues inquisiteurs y ont déjà essayé par le passé et si aujourd’hui encore tu parle de moi, cela signifie que je suis encore débout et que je ne recule pas, ne serait que d’une demi-millimètre. En plus, je continuerai à faire ce que je sais faire de mieux : prendre ton joli tas de merde et te le renvoyer.
Alfredo, Nicola, Anna, Marco et Alessandro, toi et tes semblables vous ne les verrez pas enterrés dans vos bagnes !
Ils sont avec nous chaque jour, à chaque heure, à chaque minute, à chaque instant et nous ne manquerons pas de leur faire sentir notre chaleur, notre solidarité et notre complicité, jusqu’à quand on les reverra à nouveaux parmi nous.
Cela vaut pour eux et pour les très nombreux compagnons anarchistes prisonnier dans toutes les prisons du monde.
Cela vaut jusqu’à quand, de vos institutions et de vos prisons, ne resteront que des cendres.
Toujours votre ennemi !
Pour l’insurrection, pour l’Anarchie !
25/04/2019
Gioacchino Somma

Le débat national sur la gestion des déchets radioactifs a débuté le 17 avril et durera jusqu’au 25 septembre. Refusant d’être les « garants démocratiques validant la poursuite du nucléaire en France », les auteurs et les autrices de cette tribune proposent, avec l’Atomik Tour, une autre façon de débattre de cette question.
Un commando de plusieurs individus a attaqué le lycée Jean-Monnet et son proviseur, ce jeudi matin. Le responsable de l’établissement, Constantin Kontaxakis a été réveillé par du bruit vers son domicile, situé au-dessus du self, vers 5 heures. Les malfaiteurs sont venus frapper à sa porte. « J’ai eu une fraction de seconde pour apercevoir les jeunes hommes encagoulés. L’un avait un chalumeau à la main. » Le responsable de l’établissement a juste eu le temps de fermer la porte et d’appeler la police.
Le gymnase a été également visité. Ici par d’incendie, simplement un carreau fracturé sur une porte et des graffitis sur une table.



Ceci est le troisième numéro d’Hérésie. Pour simplifier, le sous-titre est « réflexions individualistes », mais la revue n’est pas enfermée dans cette définition, et de temps en temps les différents textes publiés peuvent même se contredire entre eux. La raison d’être d’Hérésie est de contribuer à des débats parmi les anarchistes, de ressortir des oubliettes des vieux textes qui n’ont pas perdu du sens aujourd’hui, et de traduire des textes qui selon moi méritent d’être diffusées dans l’aire francophone.
Les caméras de vidéosurveillance, installées à Poissy dans le quartier Beauregard, dérangent. En une semaine, deux appareils ont été vandalisés place Corneille et rue du Maréchal-Lyautey. Les mats ont été sciés durant la nuit à l’aide d’une disqueuse et les caméras ont été dérobées. Une enquête a été ouverte afin de faire toute la lumière sur cette affaire. « Nous ferons tout pour identifier les auteurs, prévient Karl Olive (LR) le maire. Nous avons des images où l’on voit des individus gantés et masqués qui se préparent à commettre cet acte ».
