Des mauvauis moments pour les bleus( fin septembre)

Noisy-le-Grand( Seine-saint -Denis): Les poulets presque grillés, la mairie saute sur sa chaise et demande du sang…

Le Parisien / jeudi 26 septembre 2019

Des « images insupportables » qui lui ont fait faire « des bonds sur (sa) chaise ! » Brigitte Marsigny, la maire (LR) de Noisy-le-Grand, l’assure : elle a « saisit ce jeudi le préfet » pour réclamer « du sang neuf au sein de la police nationale ».
Une réaction à l’attaque au mortier dont deux voitures de la police nationale et municipale ont été la cible, vendredi 20 septembre, dans le quartier sensible du Pavé Neuf — « un spot de la drogue », selon elle.
La scène, filmée par une caméra de la ville et diffusée sur les réseaux sociaux par le syndicat de police Synergie, dure 30 secondes. Assaillis par de multiples tirs de feux d’artifice, deux policiers tentent, sans succès, de se réfugier dans leur véhicule avant de prendre la fuite, puis de revenir pour s’échapper en marche arrière de cette souricière. Selon une source policière, l’un d’eux est légèrement blessé à la jambe par un projectile. […]

Sa police municipale, dit-elle, va « dans les quartiers ou la police nationale ne va plus ». Elle qui souhaite « attirer une nouvelle population à Noisy-le-Grand » défend bec et ongles son bilan, avec « une police municipale forte de 40 agents, disponibles de 7 heures à 4 heures du matin [et dotée « d’armes, de chevaux, de chiens, d’une voiture tout-terrain » on peut lire plus loin dans le même article; NdAtt.] et 180 caméras » implantées dans la ville.
Elle refuse que ces images « servent à une récupération politique, car, assure-t-elle, les attaques aux mortiers ne sont pas quotidiennes. » Une affirmation tempérée par plusieurs sources policières de terrain, qui évoquent « des attaques aux mortiers à répétition », de la part des guetteurs du point de deal, qui avertissent ainsi tout le réseau. D’autres fonctionnaires insistent sur les « rapports changeant avec les jeunes, un jour bon, un jour mauvais », et ce, « sans explication apparente ». […]

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Chenôve (Côte-d’Or) : Le couvre-feu du maire ne calme pas les esprits, au contraire

France3 / 29 septembre 2019

[…] Cela fait plusieurs mois que la ville de Chenôve est régulièrement secouée par des violences urbaines. Cet été, le maire Thierry Falconnet avait instauré un couvre-feu pour les mineurs dans une partie de la commune.
De nouveaux incidents se sont déroulés samedi soir. Tout a commencé un peu avant minuit. Les pompiers ont été appelés pour éteindre des incendies de voitures. La police s’est aussi rendue sur les lieux. A leur arrivée, les forces de l’ordre ont été prises à partie par un groupe de 20 à 30 personnes, indique le directeur de cabinet du préfet de Côte-d’Or.
Les policiers ont répliqué par des tirs de gaz lacrymogène et de LBD (lanceur de balle de défense).
Plusieurs épisodes de violence ont eu lieu durant la nuit du 28 au 29 septembre, précise la préfecture. Mais, il n’y a heureusement aucun blessé. Ce dimanche matin, le calme est revenu. Une personne a été interpellée, elle est actuellement en garde à vue. « Une vigilance particulière sera observée dans les prochaines heures », ajoute la préfecture.
Face à ces violences urbaines à répétition, les maires de Dijon et Chenôve ont interpellé le ministre de l’Intérieur. Au mois de juillet, les deux élus ont demandé à Christophe Castaner davantage de moyens de police. « Comme nous, plusieurs maires de grandes villes ont lancé les mêmes alertes au ministre de l’Intérieur depuis plus d’un mois. Ce renforcement des moyens de police doit intervenir sans délai », indiquaient François Rebsamen et Thierry Falconnet dans leur courrier

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Plaisir ? Pour les bleus, pas trop !

Le Parisien / vendredi 20 septembre 2019

Brusque montée de violence, durant la nuit de jeudi à vendredi, dans le quartier du Valibout, à Plaisir. Vers 23 heures, les pompiers interviennent allée Saint-Just pour venir au secours d’un homme inconscient allongé par terre. Une patrouille de police les accompagne pour sécuriser l’intervention. Un groupe de personnes se rapproche d’eux et leur lance des pierres. Les pompiers et les forces de l’ordre essuient même des tirs de mortiers de feux d’artifice.
« Le toit du fourgon des pompiers et la portière de la voiture de la brigade anticriminalité sont abîmés » rapporte une source proche de l’affaire. Les policiers ripostent en lançant une grenade incapacitante et parviennent à disperser le groupe hostile. Aucun agresseur n’est interpellé. L’homme inconscient, ivre mort, est conduit à l’hôpital André Mignot du Chesnay-Roquencourt.
À peine deux heures plus tard, vers 1 heure du matin, un deuxième épisode de violence a lieu juste à côté, dans la rue du Valibout : un groupe d’une vingtaine de personnes s’attaque aux fonctionnaires de la brigade anticriminalité en patrouille. Ils sont repoussés par les policiers qui utilisent leur armement non létal (grenades, lanceurs de balle de défense) pour se dégager. Dans la foulée, les fauteurs de troubles allument deux feux de poubelle autour du supermarché Markup et renversent des chariots de course sur la route pour bloquer les hommes en uniforme. Les forces de l’ordre se replient. Après l’arrivée de renforts, les fonctionnaires reprennent possession du quartier et les pompiers peuvent intervenir pour éteindre les incendies.
Vers 2h15, les policiers, toujours dans le quartier, repèrent un petit groupe et reconnaissent parmi eux un homme comme faisant partie, selon eux, des fauteurs de troubles. Le suspect tente de prendre la fuite avant d’être rattrapé. Âgé de 29 ans, il a été placé en garde à vue au commissariat. Les causes de cette hostilité subites contre les policiers et les pompiers restent pour l’heure mystérieuses. [« tout le monde déteste… » disait le vieux adage; NdAtt.]

Le Parisien / samedi 21 septembre 2019

Nouvelle nuit de violences dans le quartier sensible du Valibout, à Plaisir (Yvelines). Entre vendredi et samedi, « une bande de vingt à trente personnes, probablement la même que la nuit précédente, s’est attaquée aux forces de l’ordre », rapporte une source proche de l’affaire.
Les faits ont débuté vers 22h45. Deux voitures de police patrouillent alors dans la rue du Valibout. Des premiers assaillants jettent des pierres sur les forces de l’ordre, qui sortent de leur voiture et ripostent. Les fonctionnaires lancent des grenades incapacitantes en direction du groupe hostile pour le disperser.
Second épisode, à 0h15, rue Jules-Verne. Une autre voiture de police essuie de nouveaux jets de cailloux. Là encore, les policiers ripostent, toujours de la même manière.
Un feu de poubelle est dans la foulée signalé place du Silo, à l’arrière du supermarché Markup. Toutefois, l’incendie ne représente aucun risque. Les pompiers ne sont donc pas appelés en renfort pour éviter qu’ils soient pris à partie.
Troisième acte, trente-cinq minutes plus tard. Un nouveau feu de poubelles est allumé place du Silo. Celles-ci sont placées à proximité du mur de l’épicerie. Peu après, une Peugeot 206 est poussée en travers de la chaussée, à l’angle des rues Valibout et Robespierre, avant d’être incendiée. Le feu se propage rapidement sur un fourgon stationné contre le mur du supermarché. Cette fois, les pompiers sont donc dépêchés sur place. Ils arrivent accompagnés de renforts de police, qui dispersent une dizaine de jeunes souhaitant en découdre. Le sinistre est ainsi rapidement maîtrisé. Aucun dégât n’est à déplorer dans le commerce. […]

Le Parisien / dimanche 22 septembre 2019

Les poubelles ont brûlé et les pierres ont volé pour la troisième nuit consécutive dans le quartier du Valibout, à Plaisir. Un groupe d’environ 25 personnes a incendié des poubelles durant la nuit de samedi à dimanche, avant de prendre une nouvelle fois à partie les forces de l’ordre, dans un enchaînement de violence qui reste, pour l’heure, inexpliquée.
Les incidents ont commencé vers 0h20. Les pompiers sont intervenus rue Robespierre, rue Danton et place du Silo, pour éteindre trois feux de conteneurs-poubelles et de détritus, escortés par des policiers. Vingt minutes plus tard, un groupe se forme place du Silo, visiblement prêt à en découdre. Cela se confirme rapidement : une dizaine de tirs de mortiers de feux d’artifice, divers projectiles et deux engins incendiaires sont projetés sur les policiers. Ces derniers ripostent de manière intense, faisant usage à trente reprises de lanceurs de balle de défense et lançant quinze grenades incapacitantes pour disperser leurs agresseurs. Le calme revient dans le quartier vers 1h10.
De nouveaux feux de poubelles surviennent peu avant 3 heures, devant le collège Blaise-Pascal puis un autre, quelques minutes plus tard, rue Maximilien-Robespierre. Mais cette fois sans qu’ils ne soient suivis d’affrontements avec la police.
Ces scènes de violences se répètent depuis plusieurs nuits au Valibout. Aucun motif pouvant justifier ces actes n’a été découvert par les policiers et les services de la mairie. La seule personne interpellée, lors de la première nuit d’affrontements, soutient qu’elle n’a pas participé aux incidents. Cet homme de 29 ans devrait comparaître devant le tribunal correctionnel ce lundi.

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Toulouse : Les flics se mangent caillasses et poubelles

Toulouse7 / mardi 17 septembre 2019

Des violences urbaines ont eu lieu dans la nuit du 16 au 17 septembre vers 22H00, lorsqu’un équipage de police a procédé au contrôle et à l’interpellation d’un individu pour trafic de stupéfiants, place Abbal dans le quartier du Mirail a indiqué le syndicat Unité SGP police ce mardi matin. Les policiers ont été caillassés par une vingtaine d’individus et assaillis de projectiles, ils ont du faire usage de moyens lacrymogènes pour se dégager. Deux policiers ont été légèrement blessés. L’individu initialement interpellé a pu être emmené au Commissariat central.
Un peu plus tard dans la soirée, vers 01h00, un véhicule refusait un contrôle de police secteur Empalot et prenait la fuite rue Jean Moulin. Plusieurs équipages tentaient d’intercepter le véhicule et ont fait l’objet de jets massifs de projectiles par de nombreux jeunes cagoulés, notamment un container à ordures lancé sur un véhicule de police sérigraphié. Un véhicule de la BAC a également été endommagé par des projectiles. Une interpellation a eu lieu parmi les agresseurs. Le conducteur du véhicule ayant refusé d’obtempérer a également été interpellé.

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Nantes : Elle ne se rendent pas

Ouest-France / mardi 17 septembre 2019

Elles étaient trois et ont dérobé de la marchandise, rue Océane, à Saint-Herblain (Loire-Atlantique), dans l’un des magasins de la galerie Atlantis. Les trois jeunes filles ont franchi la caisse sans payer ; deux d’entre elles ont réussi à prendre la fuite. La troisième a été stoppée dans sa fuite par les employés. Mais l’adolescente, âgée de 13 ans, habitant dans un foyer à Cholet (Maine-et-Loire), s’est rebellée fortement, et a cassé un grand miroir qui se trouvait dans une cabine d’essayage. Elle a fourni une identité imaginaire, selon un proche de l’enquête, puis s’en est pris aux fonctionnaires de police, lors de l’interpellation. Le magasin et un vigile ont porté plainte. De même qu’un policier qui a été mordu à l’avant-bras et un autre qui a reçu des coups de pied dans les jambes.
La jeune fille, qui était en fugue, a été présentée au parquet des mineurs d’Angers, pour vol en réunion précédé de dégradations, dégradations volontaires de biens privés, et rébellion et violences volontaires sur personnes dépositaires de l’autorité publique.

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Bandol (Var) : Des panneaux pour insulter les flics !

Var-Matin / jeudi 19 septembre 2019

Depuis quelques jours les panneaux de signalétique de la D559, à Bandol, ont été tagués.
Des individus ont griffé les flèches du rond-point Alphonse Juin, le panneau d’indication du parking de covoiturage ainsi que celui d’indications des sorties, route du Beausset.
Les automobilistes pouvaient notamment y lire des « ACAB », l’acronyme anglais de All Cops Are Bastards un slogan anti-police popularisé dans les années 80.
Des injures directement adressées aux forces de l’ordre dans un contexte particulièrement tendu et sur le lieu de réunion des gilets jaunes bandolais.
Et ce n’est pas la première fois cette année que les panneaux de ce secteur font l’objet de tags et détériorations. Le Département, qui a en gestion la D559, est déjà intervenu pour remplacer 25 panneaux.
« Depuis plusieurs mois, nous sommes intervenus régulièrement pour changer les panneaux, explique le Département. Le problème c’est que tout juste changé, ils sont à nouveau tagués. Même si cette fois avec les insultes envers les forces de l’ordre, on a gravi un échelon. La police municipale est intervenue à plusieurs reprises en vain. Comme les individus ne sont pas pris sur le fait on ne peut rien y faire. Ce jeudi, nos techniciens vont se rendre sur place pour changer à nouveau les panneaux tagués en espérant qu’ils restent cette fois en bon état plus longtemps. Ces changements sont entièrement réalisés au frais du Département. »

 

Mexique : des nouvelles du prisonnier anarchiste Miguel Peralta Betanzos

 

information relevé dans https://roundrobin.info/

Miguel  a commencé une grève de la parole et de la faim depuis le 10 septembre  Menacé DE 50 ANS DE PRISON, MIGUEL EST ACTUELLEMENT EN GREVE DE LA FAIM ET EXIGE DU JUGE SA LIBERATION IMMEDIATE !!!

Le 8 avril 201 5 Raul Betanzos est arrêté à Teotitlán de Flores Magón et transféré aupénitencier d’Ixcotel. Le 30 avril Miguel Ángel Peralta Betanzos est arrêté dans la ville deMexico par des policiers ministériels de Oaxaca, qui sans présenter aucun mandat d’arrêtl’ont embarqué dans un véhicule banalisé jusqu’au pénitencier de Tlaxiaco, où il estprésenté plus de 20 heures après son arrestation, sans n’avoir pu avoir aucunecommunication entre temps.  deux documents peuvent  te permettre de mieux comprendre l’un de libérons les: une brochure

et qui reprends un interview  traduit de de miguel Peralta Betanzos 

Parution: « vous faîtes l’histoire »-Henri Chazé/Henri Simon


 

 

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Etat nucléaire=Etat policier[revendication de l’attaque de la prison de Nancy-Maxéville]

La veille de la manifestation contre le projet d’enfouissement de déchets nucléaires CIGEO, le « Vent de Bure » à Nancy, nous avons (symboliquement) attaqué la prison de Maxéville, afin de saluer nos prisonnièr.e.s et camarades victimes de la répression, et pour poser un signal fort en faveur d’une société sans prisons.

Nous avons marqué les murs de peinture, cassé plusieurs vitres des bâtiments administratifs, tiré des feux de bengale et fumigènes dans la cour de la prison et salué les prisonniers avec des feux d’artifices aux alentours de la prison. L’action a été sécurisée par des obstacles et des barricades enflammées.

Un Etat nucléaire signifie toujours un Etat policier. La mise en œuvre de cette « technologie patriarcale » implique forcément la centralisation et l’accumulation de pouvoir – elle est tout simplement impensable sans l’appareil répressif le protégeant.

La répression étatique par rapport à la résistance croissante autour de Bure est massive: des personnes se font contrôler, sont observé.e.s, reçoivent des interdictions de territoire et de rentrer en contact les unes avec les autres, sont arrêté.e.s et enfermé.e.s.

Un mouvement se doit de s’occuper de ses prisonnièr.e.s! Tandis que samedi, des milliers de personnes ont pris la rue contre le projet d’enfouissement de déchets nucléaires, nous voulons rappeler, que déjà à ce jour, certain.e.s payent le prix fort pour cette lutte.

Amour et force à tou.te.s les prisonnièr.e.s!
Fire to all prisons!
Stop CIGEO!

Groupe autonome

PS: Avec notre action nous envoyons également des signaux de fumée vers Hambourg, à notre camarade Loïc et aux « trois du banc du parc« .

[Publié sur indymedia nantes (texte en anglais et en allemand), 30.09.2019]

Athénes( Grèce): Des nouvelles du procés contre lecompagnon anarchiste Konstantinos Giagztogliou

325 / jeudi 26 septembre2019

Le vendredi 20 septembre 2019, dans la salle d’audience spéciale de la prison de Korydallos, a commencé le procès du compagnon anarchiste Konstantinos Giagztoglou.

Résumé de l’affaire

Dinos a été arrêté en octobre 2017, lors d’un guet-apens de l’antiterrorisme, pendant qu’il quittait un appartement dans le centre d’Athènes, qu’il louait sous fausse identité pour aider un compagnon persécuté. Il a été interpellé sur mandat d’arrêt de l’enquêteur spécial Eutychis Nikopoulos, suite à l’interception des colis piégés envoyés au printemps de la même année à des fonctionnaires de l’élite économique et politique européenne. Il est détenu depuis, accusé de participation à une “organisation terroriste”, de la fabrication et de l’envoi des engins explosifs à des responsables d’institutions financières et d’agences de notation à travers l’Europe, ainsi que de tentative de meurtre, pour le colis piégé qui a blessé Loukas Papadimos, ancien Premier ministre grec. Le compagnon a déclaré dès le début de son arrestation et puis dans une lettre ouverte au mouvement anarchiste, que la location de l’appartement était un choix conscient, dans le cadre de la solidarité révolutionnaire, mais qu’il ne reconnaît aucune des autres accusations.

Dans le même temps, les polices allemande et française ont été appelées à enquêter sur le colis reçus par le ministre fédéral allemand des Finances, Wolfgang Schäuble, découvert par le personnel de sécurité du ministère, à Berlin, et sur le colis reçu par le représentant du FMI pour l’Europe, Franks Jeffrey, qui a explosé à son siège à Paris. Les destinataires des 8 colis restants, identifiés par le Centre d’investigation antiterroriste ELTA, de Kryoneri, étaient, dans l’ordre indiqué dans le dossier, les suivants :– Antigoni Loudiades (ancien banquier de Goldman Sachs et fondateur de Rothesay Life Insurance Company), à Londres, Royaume-Uni.
Jose Santos (Directeur Général de Fitch Ratings), à Barcelone, Espagne.
Marcin Petrykowski (responsable des succursales d’Europe centrale et orientale de l’agence de notation Standard & Poor’s), à Varsovie, Pologne.
Hugo McNeill (Investment Banking Officer irlandais et membre de Goldman Sachs), à Dublin, Irlande.
Klaus Regling (directeur général de ESM-European Stability Mechanism) au Luxembourg.
Jeroen Dijsselbloem (ancien ministre des finances des Pays-Bas et ancien président de l’Eurogroupe), au ministère des finances de La Haye, Pays-Bas.
Mauro Crisafulli (premier vice-président du secteur évaluation de Moody’s), à Milan, Italie.
Christine Claire Graeff (directrice générale des services linguistiques et de communication de la Banque centrale européenne), à Francfort, Allemagne.

Dans ce procès, qui a débuté le 20 septembre, Dinos est accusé (entre autres choses) d’avoir (pour la deuxième fois) rejoint et participé à une “organisation terroriste” et d’avoir tenté de se déplacer vers un lieu sûr, afin d’être libéré de la location de la maison. La même affaire comprenait également le cas d’un compte bancaire tenu par un compagnon, sans raison apparente et, par conséquent, accusé de financer une “organisation terroriste” ; un compte sur lequel, avec d’autres détenus actuels et anciens, des personnes non apparentées, des amis et des parents, il aurait déposé de l’argent. Dans le même procès, Pola Roupa, membre de Lutte Révolutionnaire, est accusée de fabrication de faux documents, apparemment pour fabriquer l’identité avec laquelle Dinos aurait loué le département de la rue Alkmenus, en décembre 2015.

Résumé de la première audience

Lors de la première audience, les accusés et leurs avocats défenseurs ont comparu devant le tribunal, tandis que pour ceux qui ne l’ont pas fait, le tribunal a saisi des avocat.e.s et les a nommé.e.s d’office. Les témoins étaient tou.te.s présent.e.s. Les avocats susmentionnés ont demandé un délai pour obtenir le dossier de l’affaire et en discuter avec les inculpés. Le tribunal a reporté le procès, en fixant la prochaine audience au 8 octobre, avec les audiences suivantes le 11, 15, 21 et 31 octobre. La deuxième affaire (de Lutte Révolutionnaire) jugée par le même tribunal a été reportée au 29 novembre, à condition que l’affaire concernant Dinos soit terminée.

La présence dans la salle d’audience et l’accolade de compas, amis et solidaires ont donné joie et force au compagnon emprisonné, exprimant en termes concrets le slogan anarchiste :
Plus d’anarchistes dans les mains de l’État.

Ami.e.s et compas de Konstantinos Giagztoglou
21 septembre 2019

Un G7des finances soigneusement occultée et un commentaire

commentaire:Ce n’est pas passé au Pays basque mais à côté de Paris. Les propos tenu par certain blogs et feuilles de choux après le G7 de Biarritz extrait d’une feuille de choux:Que jouer à un petit jeu pathétique!que. Oue peut-on dire de ce contre-sommet et en définitive, de cette université d’été de Ia gauche, sinon que ça n’êtait même plus si gros, même plus si massif -comme ceux Ià s’en enorgueillissent si souvent- mais toujours auss plein de vide… Sinon qu’il nous enseigne une nouvelle lois comment les triomphes des démocrates de gauche son tIes défaites du mouvêment révolutionnairê? On aura donc’!.u I’autonomie basque mourir deux fois, une fois par Ia ré-pression, urle deuxième par son intégration démocratique.On voyait bien, dans le moindre de leurs gestes, qu,endépit de leurs postures de justes, les militants de la plate-formê, ces grands prêtres de gauche, ces bâtisseurs de«mouvements citoyens», ne s’adressaient ni ne se corJron-taient au pouvoir mais bien plutôt -dans leur obsession du«consensus d’actioD) et du «tous ensemble» obligatoire- à ceux qu’ils sentaient derrière eux, au milieu d’eux, invisi-bles, imprévisibles, poteniiellement déviants, à ces «por-teurs de peste», qui pourraient faire irruption et nuit « Par contre les ministres de finances placent les billes dans le capitalisme vert et en même temps en soutenant l’économie du numérique grande consommatrice  d’énbergie


ww.tresor.economie.gouv.fr publié le 22 juillet 2019

La réunion des ministres des Finances et des Gouverneurs de Banque centrale du G7 s’est tenue les 17 et 18 juillet à Chantilly. Dernière réunion ministérielle du G7 avant le Sommet de Biarritz (24-26 août 2019), elle s’est insérée dans la priorité transversale de la présidence du G7 avec pour objectif central de rendre le capitalisme plus juste et plus durable.

G7 2019 : Ministres des Finances, gouverneurs de banques centrales et deputies

Les discussions ont porté sur trois enjeux majeurs : faire face aux risques pesant sur l’économie mondiale et le système financier afin de soutenir une croissance forte, durable, équilibrée et inclusive ; répondre aux défis émergents, notamment en matière fiscale, de numérique et de finance verte ; lutter contre les inégalités, à la fois au sein des économies avancées et entre les pays.  

De cette réunion il est ressorti des points de convergence très forts sur la fiscalité internationale et sur l’appréhension des risques liés au développement par le secteur privé de nouveaux produits de paiement tels que le Libra.  

En matière fiscale, les discussions ont permis d’aboutir à un accord ambitieux, avec un accord pour mettre en place de nouvelles règles fiscale de territorialité assurant une juste taxation des entreprises, notamment numérique, y compris sans présence physique. Les ministres et Gouverneurs se sont également accordés pour mettre en place un niveau minimal d’imposition effective des bénéfices des entreprises, face aux schémas agressifs d’optimisation fiscale. Le G7 Finances de Chantilly a ainsi permis de fournir une impulsion ouvrant la voie à un accord global, à l’OCDE, sur les grandes lignes de l’architecture de ces règles, d’ici à janvier 2020.

Concernant les nouveaux moyens de paiement développés par le secteur privé (stablecoins), les convergences ont été très fortes pour souligner que ces produits soulèvent de graves préoccupations, tant réglementaires que systémiques, ainsi que des enjeux de politiques publiques majeures. Il était dans ces conditions jugé important de ne pas autoriser le déploiement de ces projets tant que ces préoccupations n’auront pas été levées par les porteurs de ces initiatives.

Le G7 Finances a permis d’aborder de nombreux autres enjeux. Les enseignements du premier exercice transfrontière conjoint du G7 de gestion d’une crise cyber ont été évoqués, afin de tracer une feuille de route pour renforcer la résilience du système financier. Le G7 a par ailleurs acté une compréhension commune des problèmes en matière d’égalité des conditions de concurrence que peuvent poser une trop forte concentration des données dans de grandes multinationales du numérique, première étape dans une éventuelle adaptation des outils et des régulation.

À noter de même des discussions utiles sur la finance verte et le climat, qui ont démontré l’intérêt du G7 pour la construction d’une taxonomie des activités durables, étape essentielle pour orienter les financement vers les investissements verts. Enfin, sur les sujets de développement, le G7 Finances a permis d’entretenir le momentum créé par le Forum de Paris du 7 mai, vers la mise en œuvre par tous les acteurs de normes exigeantes dans le financement du développement face aux risques de crise de la dette ; l’accent a également été mis sur l’inclusion financière des femmes en Afrique, par le numérique, avec la présentation par Melinda Gates de recommandations qui feront l’objet de financements de la part de la France et du Royaume-Uni.

Crédit photos Bercy photosPrésidence française du G7

G7 Finance Ministers and Central Bank Governors Meeting Chantilly, 17-18 July

Nancy-Maxéville ( lorraine): Attaque- éclair de la prison-27 septembre 2019

Ce vendredi 27 septembre, peu après 21h, six personnes cagoulées ont attaqué la prison de Nancy-Maxéville.

Elles ont tracé deux inscriptions sur la façade à l’aide d’une bombe de peinture fluorescente: « ACAB » et « Feu aux prisons ». Quelques minutes auparavant, elles avaient pris le soin de bloquer les deux axes principaux qui mènent à la taule en brûlant des pneus au milieu de la route.

Puis avant de repartir, elles se sont ensuite attaqués à coups de marteaux à la porte réservée au personnel, l’endommageant fortement. Par ailleurs, sur les photos des journaflics, on voit des impacts sur plusieurs vitres du poste de surveillance. Enfin, de l’huile noirâtre a été répandue sur une autre porte de l’établissement, celle réservée aux passages des véhicules.

Plusieurs fourgons de police ont été envoyés à la prison et y sont restés une partie de la nuit au cas où les assaillant.e.s reviendraient. Mais ces dernier.e.s se sont envolé.e.s dans la nature.

Cette irruption anticarcérale à la prison de Nancy-Maxéville intervient la veille de deux manifestations « à risque » à Nancy selon préfecture (dont la manif ‘Vent de Bure’, pour laquelle les autorités ont déployé plus de 500 flics et interdit l’accès au centre-ville). Rappelons également que plusieurs personnes ont été incarcérées dans cette taule dans le cadre de la lutte contre la poubelle nucléaire à Bure. C’est le cas actuellement pour Kevin, arrêté en juillet dernier et incarcéré depuis pour avoir enfreint son contrôle judiciaire.

[Repris de l’Est Républicain, 27.09.2019]

Athénes( Grèce): Revendication de l’attaque armée contre les flics à Exarchia

athens.indymedia.org / vendredi 27 septembre 2019

Ce matin, 27 septembre, vers 2h30, le quartier d’Exarcheia a entendu la voix de 5 balles, qui venaient de la rue C. Trikoupi, pour attaquer le check-point militaire du MAT [la police anti-émeute grecque; NdAtt.] de cette rue. Les résultats de cette attaque armée ne sont pas encore clairs, mais nous supposons qu’il n’y a pas eu de policiers tués ou blessés.

Ceci est un avertissement pour ceux qui ont militarisé et occupé notre quartier ; puisqu’il y a une armée dans notre quartier, donc la réponse devrait elle aussi être armée ; ce que nous faisons, c’est rendre la violence que nous avons déjà reçue. Les vrais terroristes sont les États, pas nous, en tant que mouvement de résistance sociale.

Malheureusement, une partie de notre mouvement mène la résistance avec une lutte pacifique, ce qui est inacceptable, car à notre avis un mouvement de résistance pacifiste est un mouvement de résistance mort ; nous pensons donc que la violence, et surtout la violence armée, est nécessaire, contre toutes ces attaques que nous avons subie de la part de l’État.

Combattant.e.s anarchistes révolutionnaires armé.e.s (GANA)

Alertez les bébés !

Bonjour,

Voici notre dernière livraison : http://www.piecesetmaindoeuvre.com/spip.php?page=resume&id_article=1191

Ce mois d’octobre 2019 verra donc l’enregistrement légal par le parlement français – sauf chute d’une comète sur le Palais Bourbon – d’un coup de force élargissant à toutes les femmes, fertiles ou stériles, seules ou en couple (ou en « trouple », ou en troupe, etc.), l’accès à la fécondation in labo, prise en charge par une équipe médicale et par la sécurité sociale.
Ce succès, dû à une convergence de mouvements, ne s’arrêtera pas là.
Nous qui ne sommes ni croyants, ni catholiques, ni de droite (ce qui n’aurait rien d’infâmant), mais de simples chimpanzés du futur, athées, libres penseurs, anti-sexistes, écologistes radicaux, luddites, etc. – comme la plupart de nos lecteurs – exposons à cette occasion les raisons de notre opposition, à toute reproduction et modification artificielles de l’humain.

Que ce soit pour les homos ou les hétéros, seuls ou en couples, avec ou sans père. C’est clair ?

Et pour que ce soit encore plus clair, nous le faisons avec des femmes, des féministes et des lesbiennes. Celles du Feminist International Network of Resistance to Reproductive and Genetic Engineering, par exemple, qui, dès les années 1980, combattait les « technologies déshumanisantes » et le génie génétique et reproductif, « produit de développements scientifiques qui considèrent le monde comme une machine. »

L’insémination artificielle des femmes – artisanale ou médicale – pratiquée depuis le XIXe siècle, préservait encore le hasard de l’engendrement. A l’inverse, avec la fécondation hors corps et le tripatouillage de gamètes dans une boîte de Petri, la reproduction biologique devient une production artificielle, dont le vivant est la matière première.
Depuis les années 1970, les médecins ont de leur propre chef appliqué ces procédés aux femmes stériles puis aux fertiles. Ils trient les gamètes, sélectionnent les embryons. Déjà, ils modifient les génomes à l’aide des « ciseaux génétiques » CRISPR-Cas 9. En clair, ils élaborent des hommes « augmentés » (transhumains, posthumains, etc.), ayant bénéficié de leurs traitements ; et donc des sous-hommes, des « chimpanzés du futur », ceux dont les parents auront refusé ces traitements ou n’y auront pas eu accès. Retour de l’« hygiène de la race » et de l’eugénisme décomplexé. Et vous, aurez-vous des enfants ? « Augmentés » ou ordinaires ? Posthumains ou chimpanzés ? Par les voies naturelles ou artificielles ?

La loi de bioéthique votée en 1994, autant violée par les médecins, qui repoussent toujours plus les limites de leurs prouesses, que par les « parents d’intention », adeptes du « tourisme procréatif » afin de contraindre l’Etat à ratifier leurs transgressions, en est à sa troisième révision. En attendant que la quatrième ou cinquième révision de cette loi bio-élastique n’étende également l’accès à la reproduction artificielle aux couples d’hommes et aux hommes seuls.

Nous protestons donc, en tant qu’humains ordinaires, membres de l’immense majorité de l’espèce, dotés depuis nos origines de facultés de reproductions naturelles (libres, sexuées, gratuites – et parfois défaillantes), contre l’instauration de ces procédures artificielles (technico-marchandes), et contre la destruction et l’appropriation de nos droits reproductifs, aux mains des biocrates. Nous protestons contre notre stérilisation technologique et sociale au profit de l’espèce supérieure des inhumains génétiquement modifiés.

Nous sommes nos corps. Nous, humains ordinaires, animaux politiques et chimpanzés du futur. Nous voici donc en état de légitime défense. Sommés d’agir ou disparaître.
Que si nous disparaissons, la victoire des plus aptes se révélera sans avenir. Le contrat techno-social est un marché de dupe. Croyant s’affranchir, l’homme-machine s’asservit. Croyant dominer, il obéit. Quand on utilise les moyens technologiques, on donne le pouvoir aux technocrates. Quand on utilise les moyens biotechnologiques, on donne le pouvoir aux biocrates. Quand on se repose de soi et de tout sur la Mère-Machine, on donne le pouvoir à la Mère-Machine.

Sommaire : 1- L’hypocrisie sélectionniste. 2- Extension de l’eugénisme. 3- De l’enfant artificiel à l’espèce artificielle. 4- La fabrication plutôt que la naissance. 5- Droiche-gaute : le faux clivage qui masque les vrais. 6- Découvrons le complot hétéro. 7- La reproduction sans homme, une augmentation transhumaniste. 8- Eliminer l’humain pour éliminer l’erreur. 9- Le fait accompli comme contrat social : le droit du plus fort. 10- La liberté de disposer d’un corps obsolète. 11- Au-delà des limites : transformation du désir en droit (mon désir sera ta loi). 12-Mère-Machine s’occupera de tout (maternage et infantilisme technologiques).
Glossaire: Novlangue de la reproduction artificielle.

Merci de faire circuler,
Pièces et main d’œuvre

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Technique débridée,politique étouffé?

 

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Bonjour,

Pour info, conférences-débat anti-technologie vendredi et samedi dans le 13ème, ça porte bonheur :   

vendredi 27 septembre
> Auditorium, Espace Ararat
> 11 rue Martin Bernard – 75013 Paris
> Métro : L5-L6 Place d’Italie, L7 Tolbiac, L6 Corvisart

samedi 28 septembre
> Institut de Paléontologie Humaine, Paris
> 1, rue René Panhard – 75013 Paris
> Métro : L5 St Marcel

Bon bouquin à ce propos parait-il :

https://blogs.mediapart.fr/jean-claude-leroy/blog/260919/la-technocratie-totalitaire-ou-technopoly-presentee-par-neil-postman

 

https://www.babelio.com/livres/Postman-Se-distraire-a-en-mourir/211989

 

Clive Ponting, dans le livre ci-dessous,  parvient, lui, à démontrer, de façon plutôt convaincante, que toutes les civilisations humaines, depuis la fin du néolithique, même les plus « primitives, « pauvres » y compris, ont détruit leur environnement partiellement ou totalement… L’immense forêt européenne, par exemple, avait pratiquement disparue au XVIIIè siècle, bien avant l’explosion de la révolution industrielle, le bois, avant le charbon, étant la principale source d’énergie, de chauffage entre autres, tout en ayant bien d’autres fonctions, construction des maisons, des villes, des cathédrales, des bateaux marchands, etc… Bon, il est bien vrai que le capitalisme industriel puis la société de consommation/spectacle, se sont donnés les moyens techniques d’aggraver, d’accélérer et d’amplifier ces destructions irréversibles qui deviennent de plus en plus, euh, problématiques pour les générations futures, un bonnet d’âne piégé, vite, pour messieurs Trump et Bolsonaro) :

 

https://www.decitre.fr/livres/le-viol-de-la-terre-9782841111718.html#resume

 

https://pdfs.semanticscholar.org/9909/67af5a57549972d56668c1f9d33deb15a245.pdf

Cordialement.

Technique débridée, politique étouffé ?

Date : 27-28 sept 2019, lieu : IPH, institut de paleontologie humaine

1 rue René Panhard, Paris 13e
Introduction et présentation de Technologos : 15 mn
JLP et Mathilde
Présentation du livre de Damasio par JF Hérouard : « Les furtifs » : une fiction ?
1) Que produit l’infiltration de la technique dans l’organisation socio-politique ?
-Evolution de la société industrielle : Médiateur Anthony Laurent
a- La domestication, la logique de l’entreprise : Pierre Musso
b- Révolution industrielle : quand la Tech est devenue politique : Nicolas Eyguésier
-L’ingérence technique dans les processus de decisions : Médiateur Robin Delobel
c- La “La machine à gouverner”. : PMO
d- L’Automatisation des décisions politiques : Hélène Tordjman

***

2) Comment s’imposent les innovations techniques dans notre société ?
a- Pourquoi les innovations techniques s’imposent-elles avec tant d’assurance ?
Philippe Gruca
b- Le cas du nucléaire en France : Sezin Topçu
c- Dans le domaine de la biologie : B. Louart
c- Dans le domaine de l’urbanisme : Tomjo
Médiateur du débat : Robin Delobel

3) Comment lutter contre l’emprise de la technique sur le politique ?
Médiateur : François Jarrige
1-Linky NIcole Thé
2- OGM Eric Meunier
3- Luttes antinucléaires JLP
4 – Numérisation Nicolas Alep., Julia Lainae

Vendredi 27 septembre :

8:45-9:20 Accueil : Technique débridée,

politique étouffé ?

9:20-9:30 Introduction, présentation de

Technologos

9:30-9:50 Présentation du livre de Damasio :
« Les furtifs » par JF Hérouard.
1- Que produit l’infiltration du
technique dans l’organisation socio-
politique ?
-L’évolution de la société industrielle

9:50-10:10 1- La domestication,
et la logique de
l’entreprise

Pierre Musso

10:10-10:20 2- Révolution
industrielle : quand la
technique est
devenue politique

Nicolas Eyguésier

-L’ingérence technique dans les
processuss de decisions : (séparation,
isolement; contrôle, surveillance; manipulation
des esprits)
10:30-10:50 3- La machine à
gouverner

PMO
10:50-11:10 4- L’automatisation
des décisions
politiques

Hélène Tordjman

11:10-12:00 Débat : Médiateur 1 : Anthony Laurent
12:00-14:00 Déjeuner

2) Comment s’imposent les
innovations techniques dans notre
société

14:00-14:20 1-Pourquoi les
innovations
techniques
s’imposent-elles avec
tant d’assurance

Philippe Gruca

14:20-14:40 2- Le cas du
nucléaire

Sezin Topçu

14:40-15:00 Pause-récupération

15:00-15:20 3- Dans le domaine
de la biologie :

Bertrand Louart

15:20-15:40 4- Dans le domaine
de l’;urbanisme

Tomjo

15:40-17:00 Débat : Médiateur 2 : Robin Delobel

Samedi 28 septembre :

8:45-9:20 Accueil

9:20-9:30 Présentation de Technologos, appel à

adhésions.

3) Comment lutter contre l’emprise de
la technique sur le politique ? Forum
entre personnes engagées dans une lutte
spécifique.

9:30-10:50 Linky
OGM
Luttes antinucléaires
Numérisation

Nicole Thé
Eric Meunier
JLP
Nicolas Alep, Ju. Lainae

10:50-11:10 Pause-récupération

11:10-12:00 Débat : Médiateur F. Jarrige