Californie (Etats-Unis) : vague de sabotages anonymes contre des câbles à fibre optique

Californie : des câbles Internet sectionnés, le FBI sur les dents

Silicon.fr, 1er juillet 2015 16:42

Depuis un an, plus d’une dizaine d’actes de vandalisme ont visé des câbles en fibre optique, dans diverses villes de Californie, créant des perturbations sur Internet. Le FBI a lancé un appel à témoins pour retrouver les auteurs.

Mais qui s’attaque aux câbles en fibre optique en Californie ? Le FBI américain enquête sur une série de dégradations volontaires ciblant ces infrastructures. Dans la nuit du 29 au 30 juin, trois câbles situés aux environs de la ville de Sacramento ont ainsi été pris pour cibles, entraînant des difficultés de connexion pour les particuliers et entreprises de la zone. Et c’est loin d’être une première : dans un appel à témoins, le service d’investigation répertorie 10 autres actes de vandalisme, dans les villes de Fremont, Walnut Creek, Alamo, Berkeley ou San Jose, toutes situées en Californie. Des faits qui s’étalent entre juillet 2014 et juin 2015. Le FBI presse toute personne ayant « remarqué des activités suspectes ou liées à une maintenance normale des télécommunications » de le contacter.

L’attaque de Sacramento a permis de couper trois câbles en fibre optique logées dans un fourreau souterrain. Ces liens appartenaient à Level 3 et Zayo. Le modus operandi montre que les responsables ont probablement bien préparé leurs actions : d’abord les endroits où ils interviennent sont situées en dehors des zones surveillées par des caméras, ensuite, couper des fibres optiques requiert un outillage adapté.

Les conséquences de ces sabotages peuvent se répercuter très loin du câble vandalisé, du fait même de la nature d’Internet. Selon le Wall Street Journal, une des dernières attaques – à Livermore, en Californie, une ville proche de San Francisco – a causé des perturbations jusqu’à Seattle, à 1 300 kilomètres, et Microsoft a noté un ralentissement de son Cloud Azure sur la zone ouest des Etats-Unis. Comme le montre la carte ci-dessus fournie par Telegeography, la Californie est aussi le point d’ancrage de nombreuses liaisons transpacifiques, des liens essentiels dans les échanges entre l’Asie et les Etats-Unis.

repris et copié de brèves du désordre

[Publication] : Séditions n°3 (Besançon) est sorti !

Le troisième numéro de “Séditions” de cet été vient de sortir.

Un rapide aperçu des sujets qui y sont abordés :

Flics porcs assassins !
– A Laxou comme ailleurs, pour en finir avec l’illusion citoyenne “vérité et justice”

Rubrique ‘A l’assaut du vieux monde’ : brèves d’agitation

Rubrique ‘En Bref’ :
– Besak sous les uniformes
– Les flics s’invitent à la faculté de lettres
– La police municipale armée de taser
– Des Rroms expulsés à la suite de l’incendie de leur squat

repris dans brèves du désordre et c’est possible de trouver le deux numéros précédent dans le déroulé

[Hanhikivi, Finlande] Deux machines encore une fois détruites dans le chantier de la centrale nucléaire de Fennovoima

repris sur le chat noir émeutier

AntiNuke2A un moment donné pendant la troisième semaine de juin, des machines ont une nouvelle fois été sabotées sur le chantier de Fennovoima à Hanhikivi, au nord d’Ostrobothnia.

Une pelleteuse et un bulldozer ont été pas mal endommagés par la destruction des câbles des machines. L'(es) individu(s) qui a/ont fait l’action ne représente(nt) aucun réseau ni groupe ou organisation.

Solidarité avec les gens qui résistent à la construction nucléaire à Pyhäjoki et les compagnon-nes en lutte partout !

Traduit de l’anglais de contrainfo, 29 june 2015

et aussi sur croce nera anarchica

Rivesaltes/Espira-de-l’Agly (Roussillon) : le futur dépôt central des munitions de l’armée pour ses opérations coloniales fait reculer le TGV

lu et copié sur brèves du désordre
Les services secrets font dévier le tracé du TGV à Rivesaltes

France Bleu Roussillon, Mercredi 24 juin 2015 à 16h34

Le futur TGV Perpignan-Montpellier passera beaucoup plus prés des habitations que prévu dans le secteur de Rivesaltes (Pyrénées-Orientales). Car les services secrets ont réussi à faire détourner le tracé initial pour pouvoir construire un dépôt de munitions.

Les habitants d’Espira-de-l’Agly seront ravis d’apprendre que si le TGV passe à moins de 150 mètres de leurs maisons, c’est à cause… des services secrets.

Les militaires ont décidé de construire un gros dépôt d’explosifs sur un terrain qui leur appartient au nord de Rivesaltes. Ils souhaitent visiblement rassembler en un seul lieu les munitions qui sont utilisées lors des opérations extérieures, et qui sont aujourd’hui disséminées sur plusieurs sites en France.

Problème : pour des raisons de sécurité, il est interdit de construire des équipements publics à proximité d’un dépôt d’explosif. Or, le projet des services secrets se situe quasiment sur le tracé initialement prévu du TGV Perpignan-Montpellier.

L’Armée a donc obtenu de RFF (Réseau ferré de France) de dévier la voie de quelques centaines de mètres vers l’ouest. Un revirement qui agace singulièrement la commune de Rivesaltes. « Le nouveau tracé cause des nuisances bien supérieures. Mais l’armée refuse de nous écouter » déplore Jean-Pierre Cot, adjoint au maire en charge de l’urbanisme.

Dans la commune voisine d’Espira-de-l’Agly, les conséquences sont encore pires. « Les premières maisons du lotissement Le Clos d’en Cante vont être à 147 mètres de la voie. Au lieu des 300 mètres initialement prévus » se désole le maire Philippe Fourcade.

Avec ce nouveau projet, les services secrets renforcent leur implantation dans les Pyrénées-Orientales. Saint-Laurent-de-la-Salanque accueille déjà un important centre d’écoute, Perpignan abrite le CPIS (Centre Parachutiste d’Instruction Spécialisée), sans compter le terrain d’entrainement d’Opoul. Apparemment, les hommes de l’ombre apprécient le soleil du Roussillon.

Un gigantesque stock de munitions de l’armée bientôt en Roussillon

La-clau, Vendredi 26.6.2015. 19:30h

Depuis 2013 au moins, un projet de construction d’un très grand entrepôt national de munitions est envisagé à Rivesaltes, en plaine du Roussillon.

Les avancées de la préfiguration de la Ligne à Grande Vitesse Perpignan-Montpellier sont l’occasion de dévoiler un projet étranger au transport ferroviaire dans les Pyrénées-Orientales. En effet, les forces armées françaises sont en train d’aménager une base dans le secteur qui devait originellement accueillir une balte TGV. Le site doublement convoité figure sur le cadastre de la commune de Rivesaltes, dans sa portion proche d’Espira d’ l’Agly, au nord-ouest de Perpignan. L’armée y prévoit dans la plus grande des discrétions une base secrète. Cette information a éclos le 25 juin, dans le sillage d’un comité de pilotage du TGV. La mairie de Rivesaltes, naturellement informée des opérations, constate que des fouilles préalables ont lieu, avant la construction d’un gigantesque dépôt de munitions.

Un lieu consacré aux opérations armées spéciales

Ce lieu à caractère national assurera le stockage de l’intégralité des réserves de munitions affectées aux opérations spéciales. L’armée a informé dès 2013 la mairie concernée, mais la révélation des faits a tardé. Le ministère de la Défense, au travers ou pas de la préfecture des Pyrénées-Orientales, ont visiblement économisé les explications concernant les visées de la grande muette.

note du clavier:Un régiment parachutiste le 11 ème choc dissous après la guerre d’algérie a été réactivé par charles hernu juste avant le Rainbow Warrior et interviendra à la grotte d’Ouvéa. celui-ci était basé vers Perpignan

Grèce : Abstention au referendum – Conflit avec les institutions de la démocratie.

source: sous la cendre
’Etat grec est à la recherche de complices. Le référendum est la meilleure façon de les trouver. En offrant généreusement des illusions de libre-arbitre et en nous faisant contribuer au projet de son renforcement, son désir le plus fou est matérialisé : Nous serons ceux qui fermerons leur propre pierre tombale ! Le dilemme est simple : oui ou non ? Mauvais créanciers étrangers ou bonne gestion de l’État par la gauche ? Mémorandum lourd ou léger ? Mesures coûtant 12 milliards ou 8 milliards ?

Encore une occasion de mettre nos vies dans les mains du gouvernement et des sauveurs. Une autre occasion pour l’unité nationale, pour oublier ce qui nous divise et nous unir à la foule bigarrée (fascistes, patriotes, patrons, bons citoyens) pour faire face à l’ennemi extérieur commun, les prêteurs, et en chemin dédouaner les patrons locaux de toute responsabilité.

En tant que lycéens anarchistes, nous choisissons de nous abstenir au référendum (bien que nous n’ayons pas le droit de vote). Nous nous opposons aux dilemmes du système et aux illusions, et nous clarifions d’avance que nous ne participerons à aucune procédure institutionnelle ou électorale du gouvernement. Parce que tout simplement, un tel processus, comme chaque option qui nous est donnée par ce biais, vise à stabiliser le système et à préserver-renforcer la domination nationale et institutionnelle de l’État. Néanmoins, nous ne soutenons pas l’abstention comme alternative ou troisième voie, parce que nous pensons que l’abstention seule ne conduit qu’à la passivité et l’assimilation.

Donc, sur la base de cet état d’esprit, la seule abstention qui nous satisfait est celle qui résulte d’un conflit, de l’action insurrectionnelle et de la lutte anarchiste. Loin des partis et de leurs lignes. Loin des sauveurs et des dirigeants. Auto-organisés, radicaux et agressifs, car c’est seulement de cette manière que nous pourrons reprendre nos vies dans nos propres mains.

Attaque frontale contre l’État, le capital et toute forme d’autorité.

Groupe de lycéens anarchistes – Attaque anti-éducative.

[Traduit de l’anglais (et du grec) par nos soins d’Inter Arma.]

Source : Base de données anarchistes.

[UPIE, Drome]Un hangar brûle : 110 foyers sans électricité

Dans la nuit de mardi à mercredi, vers 4h30, un incendie a ravagé un hangar agricole situé sur la commune d’Upie.

Le feu a touché une maison inoccupée et une ligne ERDF. L’endommagement de cette ligne a privé 110 foyers d’électricité. La situation est revenue à la normale pour les habitants d’Upie hier, en milieu d’après-midi.

Pour tenter de déterminer l’origine du feu, les gendarmes de la brigade de Chabeuil, en charge de l’enquête, ont reçu l’appui des techniciens en identification criminelle venus de Valence qui ont procédé à différents prélèvements dans le bâtiment détruit, qui abritait du fourrage et du matériel agricole.
source presse locale

Bure (Meuse) : sabotage des installations de l’ANDRA

Attaque d’un site technique de l’ANDRA

Indy Nantes, 28 juin 2015

Pas loin de Bure, un site de mesure de l’ANDRA a été attaqué par quelques noctambules déterminé-e-s.

À Bure, en Meuse, le pouvoir tente par tous les moyens de faire accepter un projet d’enfouissement de déchets nucléaires à 500m sous terre.

Si officiellement le projet n’est pas encore commencé, que les déchets nucléaires n’arriveraient pas avant 2025, les installations de l’ANDRA (Agence Nationale pour la gestion des déchets radioactifs, en charge du projet d’enfouissement) pullulent déjà dans les environs.

Une nuit autour du 25 juin, un site contenant plusieurs installations électriques et un puit destiné à analyser l’état de la roche et de la nappe phréatique a été saccagé.

Le puit a été forcé puis bouché au béton, et toutes les armoires ont été fracturées et détruites par la rage de celles et ceux qui ne veulent pas attendre l’épuisement des recours légaux pour attaquer ce projet.

Attaquons les infrastructures du pouvoir où qu’il se trouve, en Meuse comme ailleurs.

Contre Cigéo et son monde, résistance et sabotage !

Des tiques enragées

source brèves du désordre

[Grèce] attaque incendiaire des locaux de SY.RIZ.A. et un véhicule diplomatique (Athénes, juin 2015)

source ici Croce Nera

Attaque incendiaire sur les bureaux de SY.RIZ.A. locau x et un véhicule diplomatique (Athènes, Juin 2015)

Texte de revendication

Anarchy combative / FAI – FRI accepte la responsabilité de l’attaque incendiaire sur les bureaux de SYRIZA à Kypseli. Nous avons mis le feu aux bureaux de ces opportunistes politiques comme une première réponse au refus de l’autorisation d’étudier notre partenaire Nikos Romanos et l’extension de la situation des otages de la femme du camarade de la Conspiration des cellules de feu, Gerasimos Tsakalos. Le monde de l’autorité est ici. Sur les mains d’immigrants identifiées par des numéros (le quantitatif), lors des sommets des économistes, la propagande incessante des journalistes, dans les ministères du «gouvernement de gauche», dans les tribunaux, les commissariats de police, dans les villas des riches. L’insurrection anarchiste ne vise pas à réformer le capitalisme, n’ arrête pas l’action en fonction des machines politique de mort et de l’exploitation. L’aube de notre temps viendra sur les ruines de la société capitaliste. Jusque-là, la seule chose que nous avons sorti c’est  une lutte anarchiste continue et sans compromis.

AVERTISSEMENT RÉSISTANCE À CEUX QUI LES Arme! FORCE Au x prisonniers anarchiste!

PS) Au cours de la grève de la faim de camarades emprisonnés au Chili, nous avons brûlé un véhicule diplomatique à Ano Pefki, vouloir réchauffer leurs coeurs par le feu de la solidarité anarchiste. State bene compagni.

Angleterre] Lettre de la prisonnière anarchiste Emma Sheppard – Juin 2015

La police préoccupée au sujet “des réponses de style grec” à l’autérité – Lettre de la prisonnière anarchiste Emma Sheppard, juin 2015

catLe mercredi 27 mai 2015, deux policiers sont venus me rendre une visite non désirée. Ils étaient d’une unité spéciale d’investigation qui s’occupe de “la gauche, la droite, des droits des animaux et des extrémisme islamique”, administrée par l’unité de lutte anti-terroriste de la police métropolitaine.

Ils m’ont posé diverses questions sous prétexte de rechercher des perceptions de personnes au sujet de la police : ce que je pensais au sujet des opinions des anarchistes et des militants dans le sud-ouest et à Londres et pourquoi il y avait des niveaux élevés « d’agressions » là-bas [1] , si je pensais que les réponses « du style grec » aux mesures d’austérité augmenteraient sous le « nouveau » gouvernement, et (certainement de manière plus bizarre) la raison pour laquelle les gens détestaient la police et ce qu’ils pourraient faire pour arrêter les gens d’avoir recours à une telle violence ou une réponse « antisociale » à leur encontre.

Ils m’ont aussi posé des questions à propos de mes motivations à commettre mon crime et si je voulais parler au sujet des événements qui m’y ont conduit. Tout cela m’a été très bien exprimé dans un vocabulaire relatif au « bien-être ». Ils étaient apparemment préoccupés à propos de la façon dont je pourrais être traîtée/reçue en prison par le personnel et les autres détenues, en tant qu’extrémiste. Ils voulaient savoir si j’avais des suggestions sur la façon dont le service carcéral pourrait être amélioré.

Au moins, ils ne m’ont pas approché comme une balance. J’ai écouté toutes leurs questions (de plus en plus pathétiques) et je suis partie. Comme le couvert de l’anonymat me manque. Au moins, je garde toujours mon défi. Ils ne me le prendront pas. Au contraire, il augmente chaque jour passé à l’intérieur.

Deux jours plus tard, mon « offender manager » [2] (service probatoire à l’intérieur de la prison) a confirmé ce que j’ai toujours pensé – que je ne pourrais pas obtenir mon TAG (couvre-feu de détention à domicile). C’est parce que, à la lumière de mon crime, les policiers ont décidé de former un psychologue en « conseil » d’extrémistes et ils n’auront pas achevé cette formation avant que je ne prenne place à la commission de mon TAG. Mon « offender manager » a parlé des « points d’interrogation » que la police a autour de moi et également de mes positions sur le « spectre de l’extrémisme » et mes tendances « antisociales ».

Je suis contente de savoir que je n’obtiendrais pas le TAG (détention à domicile) de si tôt. Je n’irai pas au terme de ma condamnation. Je ne leur montrerai pas que je veux être davantage « pro-social » (peu importe ce que cela signifie) et je ne participerai pas à leurs procédures psychologiques.

Merci à toutes celles et ceux qui m’ont soutenu jusqu’ici. C’est inspirant et cela rend humble de se sentir faire partie de réseaux différents à travers le monde. S’il vous plaît, notez qu’ils vont sévir massivement à l’avenir contre mon courrier, s’il vous plaît envoyez des lettres et des timbres, des cartes, enveloppes/papiers (mais tout ça en petites quantités).

En envoyant des pensées de solidarité ensoleillées et de force. A bientôt en janvier ! Je serais peut-être même sortie pour le réveillon (mais sur autorisation jusqu’en janvier 2017)

EM X

Lui écrire (nouvelle adresse depuis mars 2015):

Emma Sheppard A7372DJ
HMP Send, Ripley Road
Woking, Surrey
GU23 7LJ (Angleterre)

Traduit de l’anglais de l’ABC Bristol

NdT:

[1] Il s’agirait entre autre d’attaques ayant visé des responsables de partis et permanences électorales qui ont eu lieu durant les dernières élections. Un communiqué d’une d’elles a été traduite sur contrainfo

[2] Littéralement “Gestionnaire de délinquants”

[Bruxelles, Melbourne] actions de solidarité avec Marco Camenisch !

dans le cadre des journées iinternationales de solidarité pour Marco camenish du 20 au 22 juin plusieurs actions ont eu lieu visble ici et aussi ci dessous

Ce 22 juin, nous avons tagué l’immeuble du 15 rue Guimard, à 1040 Bruxelles, d’un MARCO LIBERO !

Cet immeuble est le siège bruxellois des sociétés AREVA et ASEA BROWN BOVERI.
La multinationale française AREVA est l’un des leaders mondiaux du nucléaire. AREVA fournit aux sociétés de production d’électricité une offre qui va de l’extraction de l’uranium (AREVA possède des mines d’uranium du Niger au Kazakhstan) à son enrichissement, de la conception de réacteurs nucléaires à la construction. AREVA génère un chiffre d’affaire de 9 milliards d’euros.

La multinationale suisse ASEA BROWN BOVERI basée à Zurich, est une des principales sociétés des technologies de l’énergie (production et transport), de l’automation et de la pétrochimie. ABB, qui jusqu’à récemment jouait un rôle majeur dans la conception et la construction de centrales nucléaires. Active dans près de 100 pays, ABB génère un chiffre d’affaires de 42 milliards de dollars.
Marco Camenisch est un prisonnier anarchiste enfermé depuis 26 ans en Italie et en Suisse. Condamné en 1981 suite à des sabotages anti-nucléaires, il s’évade d’une prison suisse et poursuit clandestinement son activité révolutionnaire, écologiste et anti-nucléaire en Italie jusqu’à sa seconde arrestation. Après 10 années de prison en Italie, il est extradé en Suisse où il reste détenu jusqu’à ce jour, se voyant refuser tout congé pénitentiaire, toute possibilité de libération. Marco Camenisch garde ses positions anarchistes et refuse de collaborer avec la justice suisse, ce qui lui vaut cet acharnement de la part des autorités suisses.

Solidarité avec Marco Camenisch !

Solidarité avec tous les prisonniers révolutionnaires !

[Publié sur indymedia bruxelles, 23 juin 2015]