Notes: Yvan Chtcheglov écrits retrouvés….

Yvan Chtcheglov: un article qui donne quelques pistes de réflexion

http://www.editions-allia.com/files/note_2561_pdf.pdf

un lien vers un texte arrivé à jour pour la bibliothèque du laboratoire

https://books.google.fr/books?id=4oKQw1XmkocC&pg=PA89&lpg=PA89&dq=Ivan+Chtcheglov%2C+hopital+psychiatrique&source=bl&ots=3MCVGhT3EY&sig=DUiRo_qGquEUFV00vISy0vnb1sE&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwiamejn4q_OAhXI2RoKHR9#v=onepage&q=Ivan%20Chtcheglov%2C%20hopital%20psychiatrique&f=false

qu’on se le dise ça sera possible  de consulter  sur place des divers textes soit de Yvan Chtcheglov  » écrits retrouvés » et d’autres

Oukacha (Casablanca, Maroc) : 19 mutins devant la justice

lu sur Brèves du Désordre,

Mutinerie d’Oukacha : les 19 suspects devant la justice

Kiosque360, 05/08/2016 à 22h32 (extrait)

Les 19 suspects de la mutinerie du centre de rééducation d’Oukacha ont été déférés devant le juge d’instruction. Ils sont poursuivis, entre autres, pour constitution de bande criminelle, actes de violence à caractère criminel portant atteinte à l’ordre public, mutinerie et désobéissance.

Le procès des auteurs de la mutinerie du Centre de rééducation de Ain Sebaâ, Oukacha, vient de démarrer. La police judiciaire a bouclé son enquête et le Parquet a transmis le dossier au juge d’instruction près la cour d’appel de Ain Sebaâ, rapporte le quotidien Al Massae dans son édition du week-end des 6 et 7 août.

Selon le journal, en raison de la présence parmi les mis en cause de mineurs, le juge d’instruction et le juge d’instruction des mineurs ont entrepris d’interroger les dix-neuf pensionnaires de la prison suspectés d’avoir pris part à cette mutinerie.

Selon des sources de l’enquête, le Parquet a engagé des poursuites contre les dix-neuf suspects pour “constitution d’une bande criminelle dans le but de commettre des actes de violence pouvant être considérés comme crimes dans le cadre d’un projet collectif visant à porter gravement atteinte à l’ordre public”. Ils sont également poursuivis pour “incendie criminel, destruction de biens publics, destructions de documents administratifs et tentative d’évasion collective”.

Les chefs d’inculpations comportent également : violence et mutinerie, jet de pierres contre les forces de l’ordre, désobéissance, propos et slogans à caractère raciste, détention d’objets prohibés, refus de se soumettre aux forces de l’ordre et désordre et actes de violence.

En attendant, l’enquête policière est toujours en cours, affirme le journal. Elle a pour objet d’élucider toutes les circonstances de cet incident et poursuivre en justice toutes les personnes impliquées. Ce qui laisse entendre que les dix-neufs suspects déférés devant le juge d’instruction ne représentent qu’un premier groupe de mis en cause. Il s’agit en fait de pensionnaires identifiés lors de l’examen technique des enregistrements des caméras de surveillance de la prison.

A noter que l’enquête administrative engagée en parallèle par la Délégation générale de l’Administration pénitentiaire a abouti à la suspension de la directrice du Centre de rééducation et, provisoirement, de huit autres fonctionnaires du centre.

Monclar sur Gervanne [Drôme] ferme de charsac:Brésil à la ferme

Komini [[grèce] banderolle et flyers  en solidarité avec la Bibliothéque  KAOS [[Brèsil]]

https://en-contrainfo.espiv.net/files/2016/08/solidar-kaoz.jpg

note  :Biblioteca KAOS est menacé d’expulsion depuis  le 4 Août 2016.

Le squat anarchiste Utopia A.D. accroché une bannière et de mettre en place des affiches dans la ville de Komotini, dans un affichage minimum de solidarité avec les compangnon-ne-s à Porto Alegre.
Solidarité avec squat anarchiste Biblioteca KAOS au Brésil!
Le conflit est la seule réponse!

 contra info


reçu par mail:

soirée

*Brésil à la Ferme, lundi 22 août…….*
*Bien cordialement.       RP*

 

Oukacha (Casablanca, Maroc) : sur la mutinerie qui a ravagé la prison pour mineurs « Aïn Sebaâ »

 sur  Brèves du Désordre

[L’infâme prison d’Oukacha, à Casablanca, compte 900 détenus mineurs (âgés parfois de 20 ans). Une trentaine sont désormais accusés d’avoir été les « leaders » de la mutinerie qui a commencé le 28 juillet vers 19h30, et cent-vingt d’y avoir participé directement, notamment dans la cour (incendie des véhicules de l’AP -dont un bus- et des matons, d’une voiture de police et celle d’un huissier de justice) et la tentative d’enfoncer le portail au bélier à l’aide du bus. Selon certaines sources, il y aurait 40 prisonniers blessés, dont un qui s’est pris dans les barbelés en tentant de s’évader par les murs. Pour stopper la mutinerie, les brigades spéciales de la DGSN (Direction générale de la Sûreté nationale) ont été envoyées et ont tiré des balles réelles (en l’air, selon les autorités), insultés par une partie des familles rassemblées en masse devant la prison.
La passion pour la liberté sera toujours forte que tous les enfermements, dedans comme dehors. Vivent les mutins !]

Mutinerie à la prison d’Oukacha : Que s’est-il vraiment passé ?

Les Eco Maroc, 1 août 2016

Jeudi dernier, le centre de réinsertion des jeunes à Casablanca a été le théâtre d’une mutinerie. Une tentative de grande évasion ou une révolte contre les conditions d’incarcération ? Ou les deux à la fois ? Une enquête judiciaire est ouverte pour savoir ce qui a provoqué les drames survenus, jeudi dernier, dans le Centre de rééducation pour jeunes de Aïn Sebaâ à Casablanca.

« Un plan minutieusement préparé ». C’est la qualification donnée par la Délégation générale à l’administration pénitentiaire et à la réinsertion (DGAPR) à la mutinerie survenue jeudi dernier dans le Centre de rééducation pour jeunes de Aïn Sebaâ à Casablanca. Selon les premiers éléments recueillis par la DGAPR, « cette mutinerie a été fomentée par des meneurs qui ont incendié des lits pour provoquer la fumée dans le but de piéger les gardiens de l’établissement pour les attaquer et sortir du quartier de détention. Les détenus se sont, par la suite, dirigés vers le dépôt des armes, mais, bloqués par la grille métallique de la porte, ils n’ont pas pu y accéder. Leur tentative ayant échoué, ils ont incendié un bus de transport des prisonniers ».

Ce n’est pas tout, puisque, selon la version officielle de la DGAPR, les mutins ont attaqué, à coups de pierres, des fonctionnaires de l’établissement qui ont été légèrement blessés. S’agissant des dégâts matériels, il faut savoir qu’au niveau des services administratifs de l’établissement, la DGAPR affirme que « les actes de vandalisme ont été derrière la destruction de l’ensemble des bureaux et des équipements, à l’exception du bureau de l’Économe, y compris les documents relatifs à la gestion des affaires des fonctionnaires, les registres d’incarcération, les dossiers judiciaires des prisonniers, le bureau du suivi médical, les infrastructures sanitaires, les dossiers médicaux, les médicaments, ainsi que la destruction du réseau des communications ». Quant aux dégâts qui ont touché le centre de détention, ils concernent « tous les équipements d’extinction, des téléphones fixes, des dizaines de télévisions installées dans les cellules, des équipements électriques, des équipements de sport, des lits et des draps ont été détruits ».

À cela s’ajoute l’incendie de cinq chambres au niveau de l’un des pavillons de l’établissement. Ces actes de vandalisme ont également causé la destruction des bureaux et des équipements du service de préparation à la réinsertion relevant de la Fondation Mohammed VI pour la réinsertion des détenus. Les livres, les instruments de musique, la médiathèque, les équipements de sport, les dossiers sociaux des pensionnaires ainsi que les classes de cours ont été également détruits.

Le portail principal de l’établissement, l’ensemble des équipements de surveillance électronique (caméras et autres), ainsi que le parc automobile de l’établissement ont également subi des dommages conséquents. Au bus de transport de prisonniers incendié, au tout début de la mutinerie, s’ajoute la destruction d’une ambulance, de voitures de service, de motocycles de fonctionnaires, un camion de la protection civile et des véhicules particuliers se trouvant dans l’enceinte de l’établissement. « Cinq éléments de la police, trois membres de la protection civile, six des forces auxiliaires et cinq fonctionnaires de la DGAPR ont été blessés et neuf prisonniers ont été asphyxiés et évacués à l’hôpital qu’ils ont pu quitter à l’exception d’un seul cas, selon la même source », précise la DGPAR. Les familles, alertées par les réseaux sociaux, ont rapidement rejoint les alentours du centre de détention ajoutant aux difficultés pour les forces de l’ordre qui tentaient de maîtriser la situation. Finalement, ces dernières ont pu venir à bout de la mutinerie.

Quant aux familles, « l’administration de l’établissement, sous la supervision directe de responsables à l’Administration centrale sur place, a ouvert avec elles des canaux de communication directe en plus de l’organisation d’une visite ouverte », note la DGPAR, qui mènera, en parallèle d’une enquête judiciaire, une enquête administrative pour déterminer les causes de cette tentative d’évasion. « Il semblerait que les jeunes détenus ont voulu protester contre leurs conditions de détention ». Une enquête est en cours.

En attendant les conclusions, toutes les activités que nous menons au sein de la prison sont pour l’instant suspendues », déclare Fatna Bouih, la voix chargée d’émotion. Cette militante pour les droits de la Femme et pour la réinsertion des ex-détenus organise, depuis de nombreuses années au sein de la prison d’Oukacha, des ateliers pédagogiques et culturels au profit des jeunes détenus et des pensionnaires de la prison pour femmes.

Cela dit, cet événement dramatique nous pousse à nous poser, une fois de plus, la question sur les conditions de détention dans les prisons marocaines qui sont pour le moins désastreuses. Il nous pousse aussi à nous poser la question sur l’efficacité du système de réinsertion des détenus marocains.


Récit de ce qui s’est passé à la prison d’Oukacha

Le360, 29/07/2016 à 12h48

Une tentative d’évasion massive des détenus a eu lieu hier jeudi 28 juillet à la prison civile de Oukacha et plus précisément au Centre de Réinsertion des jeunes, situé sur l’arrière du centre d’Aïn Sbaâ. Le film d’une « prison break » avortée grâce à l’intervention d’une unité de la police d’élite.

Jeudi 28 juillet, prison civile d’Oukacha, plus précisément le Centre de Réinsertion des jeunes qui compte 800 pensionnaires. Il est 19H30 quand le feu se déclare dans une chambrée. Un détenu donne l’alerte. « Y a le feu ! », a-t-il lancé, à l’adresse du personnel de la prison. Des cris de panique fusent de toutes parts, puis les premiers cas d’asphyxie. Les pensionnaires ont été dirigés vers la cour de la prison, en attendant l’arrivée des éléments de la Protection civile.

Sauf que ce n’était pas le bon endroit pour évacuer les détenus, la cour où des travaux étaient en cours est jonchée de pierres. Le personnel de la prison ne s’était peut-être pas rendu compte que les détenus allaient se servir de ces pierres comme de projectiles pour attaquer les forces de l’ordre accourus immédiatement sur les lieux, autant que les éléments de la Protection civile arrivés toutes sirènes bêlantes. Bien plus qu’un réflexe de survie, après le déclenchement de l’incendie, les premiers indices sur une tentative d’évasion massive commencent à percer au travers des volutes de fumée qui se dégagent de la prison.

Et ce n’est surtout pas ce fait spectaculaire qui dira le contraire. Plusieurs dizaines de détenus utilisent un bus de transport du personnel en voiture de bélier pour tenter de forcer le portail de l’enceinte de la prison. Or, c’était sans compter avec l’habileté des services de police qui ont découvert le pot aux roses.

Aux grands maux, les grands remèdes

Premier réflexe sécuritaire, et pas des moindres : encercler la prison d’Oukacha pour avorter toute tentative d’évasion. Les alentours de la prison ont été sécurisés. Des tirs se font entendre en guise de sommation aux alentours de la prison, et pour que les détenus tentés par l’évasion se rendent compte que les forces de l’ordre étaient à l’extérieur. Les tirs de sommation n’ont pas intimidés les pensionnaires qui ont persisté à essayer de forcer le portail de la prison. C’est alors qu’une unité des forces d’élite dépendant de la préfecture de police de Casablanca, récemment formée, fait son entrée dans l’enceinte pour maîtriser ce qui s’est révélé être une mutinerie savamment orchestrée en vue de provoquer une évasion massive des détenus. 50 éléments de cette unité sont entrés en contact avec les prisonniers et ont maîtrisé les rebelles. La mise en échec de l’évasion est l’oeuvre de cette unité dont les premiers éléments ont été aperçus lors des festivités du dernier Nouvel An.

A toutes fins utiles, « il faut bien noter qu’aucun incident n’a entaché l’intervention de la police. Aucun coup de feu n’a été tiré en direction des détenus« , précise une source policière à le360.

Les dégâts provoqués sont à mettre plutôt au passif des auteurs de ce sinistre projet, dont les motifs restent à élucider par l’enquête policière ouverte sous la supervision du parquet général.

S’agissant des dégâts humains, il convient de souligner que 9 blessés ont été enregistrés parmi les détenus, alors que 5 cas de blessures sont signalés chez les forces de l’ordre. Les jours des blessés évacués sur le coup sur l’hôpital Mohammed V à Hay Mohammadi ne seraient pas en danger.

Pour ce qui est des dégâts matériels, il faut signaler qu’un bus appartenant au ministère de la Justice a été calciné, alors qu’une ambulance de la Protection civile, un véhicule de la police et une voiture d’un huissier de justice ont été endommagés.

Notes critiques: compliqué

reçu par mai

Bonjour,

http://www.article11.info/?On-ne-me-laissait-que-deux-options#pagination_page (Devenir secrétaire, une atteinte à sa dignité ? Hmm… c’est pas gentil pour tous les prolos de la planète…)

http://www.lemonde.fr/idees/article/2016/03/25/didier-daeninckx-le-sentiment-d-etre-pris-en-etau_4890007_3232.html

Obligés de soutenir le gouvernement ? L’Etat ? Misère… :

http://www.causeur.fr/attentat-nice-terrorisme-djihadisme-islamisme-musulmans-39355.html

En pièces jointes, deux autres textes sur le mouvement social de ce printemps, un du copain Cédric de la Creuse (rédacteur occasionnel du bulletin anar local « Creuse Citron »), et l’autre de Temps Critiques, trouvé récemment à Publico, qui expliquait parfaitement dès la fin mai ce que je voulais dire en évoquant le problème des « niveaux de conscience » trop différents ou contradictoires.

http://creuse-citron.revolublog.com/

Souvenirs, souvenirs :

http://inventin.lautre.net/livres/Comite-enrage-et-IS.pdf

un texte en PDF

 

Athènes coktails molotov contre le siège central du parti ANEL

molotov-usa

Rivendicazione dell’attacco contro gli uffici di ANEL*( Greci indipendenti) a Kallithea

 signe de solidarité  minimum face  de la vague répression que le gouvernement de SYRIZA-ANEL* contre les réfugiés / migrants et les camarades de Thessalonique, nous avons lancé des cocktails Molotov dans les bureaux centraux de ANEL à Kallithea à l’aube du lundi 1er Août.

anarchistes Kallithea

  • ANEL parti souverainiste  anti immigration allié de circonstance  de Syrisa depuis 2015

infos reprises de  CNA

pour lire plus d’éléments de concernant la répression contre les immigré-e-s et les camarades de Thessalonique sur le Chat Noir Émeutier ici

Du 8 au 19 août : Deuxième manche de l’été d’urgence à Bure !

reçu par mail

Aux confins de la Meuse, il se trame quelque chose. Depuis le début de
l’été, nous avons multiplié les manifestations contre la poubelle
nucléaire et son monde. Nous nous sommes rassemblé.e.s à plusieurs
milliers devant le « laboratoire » et avons occupé, pendant 3 semaines,
le bois Lejuc pour bloquer les travaux. La résistance au projet CIGEO a
trouvé le point de ralliement qui lui manquait. Un nouveau front s’ouvre
contre le diktat des aménageurs.

http://vmc.camp/wp-content/uploads/2016/07/arbre-bombe-nucleaireV2.png

Tout au long de ces  semaines, nous avons été de plus en plus nombreux-euses. Des personnes venues de toute la France et d’Europe ont convergé vers Bure pour de grands rassemblements festifs. Beaucoup de vies ont été bouleversées par les événements récents. Certain.e.s habitant.e.s se sont retrouvé.e.s à dormir sur les barricades, dans la chaleur du mois de juillet. Des paysan.ne.s ont bloqué les voies d’accès avec leurs tracteurs. Des gen.te.s d’ici et d’ailleurs sont présent.e.s au quotidien, pour quelques jours, ou pour s’installer progressivement. 
Ils plongent dans la lutte et s’attachent à cette terre qu’ils ne connaissaient pas il y a encore deux mois, décidés à peupler ce territoire hostile d’une joie indestructible.

Après nos premiers succès, nous avons aussi essuyé des coups au moral et sur les corps. Nous avons été expulsé.e.s de la forêt, puis nous y sommes retourné.e.s, fort.e.s d’une énergie collective encore jamais ressentie. L’intensité du mouvement a poussé l’Andra, derrière sa propagande bien rôdée, à révéler son vrai visage répressif : des manifestant.e.s ont été blessé.e.s par les flashballs des gendarmes, par les manches de pioche des vigiles ou placé.e.s en garde à vue. A l’orée du bois, l’agence érige maintenant des murs et des barbelés. Les hélicoptères de la gendarmerie survolent les villages.

 Plus que jamais, à Bure, l’été d’urgence est déclaré.

#Occupybure



Une première étape a été franchie. Nous devons désormais penser au coup d’après et enraciner la résistance. Nous appelons à deux semaines de rencontres, du 8 au19 août pour poursuivre les chantiers en cours,  à l’ancienne Gare de Luméville (à 5 kilomètres de Bure). Nous y installerons un campement pour construire, échanger et s’organiser sur le long terme. Venez avec vos envies, vos idées et votre matériel. Nous imaginons promenades, blocages, débats, jeux grandeur nature, ateliers… Toutes les énergies seront les bienvenues pour  faire le procès du nucléaire et de son monde !

Le week-end du 12-13-14 août sera le point d’orgue du campement. Vendredi 12 août au soir : concerts ; samedi 13 : ballades et présentation de la lutte et dimanche 14, à 11h : grande manifestation contre le projet CIGEO et l’accaparement du bois Lejuc. 

Retrouvons-nous massivement à Bure pour ensevelir la poubelle nucléaire sous une irréversible marée humaine !

C’est maintenant que ça se passe !!!



ANDRA, DEGAGE ! RESISTANCE ET AFFOUAGES !
 CONSTIPONS LE NUCLEAIRE ET LE CAPITALISME !

tract  à diffuser en  PDF

Toutes les informations utiles ici (tracts, affiches, infos pratiques,
etc.) :
http://vmc.camp/2016/07/31/du-8-au-19-aout-deuxieme-manche-de-lete-durgence-a-bure/

www.vmc.camp

http://vmc.camp/wp-content/uploads/2016/07/Cigeo-mon-bouleV4.png

 

alais : début de la construction du mur de la rocade / drones militaires / des barrages pour partir à l’assaut de la frontière

 informations reprises du blog Brèves du Désordre pour répondre à une question posée lors de la discussion après la projection « des dépossédés »

Le mur de Calais

Instantanés d’une semaine à Calais, oppressé par la situation migratoire
La Voix du Nord, 30/07/2016 (extraits)

Depuis plus d’une semaine, les travaux de sécurisation du Tunnel se poursuivent pour empêcher l’intrusion de migrants sur le site. Des grilles – sur une longueur de deux kilomètres – sont en train d’être posées le long des bretelles d’accès sur l’autoroute A16 et le long des voies qui mènent au terminal. Ces clôtures viennent s’ajouter aux quarante kilomètres de grilles déjà posés l’année dernière autour du site et entre les quais du terminal. Un dispositif efficace puisque, depuis l’automne, Eurotunnel indique n’avoir plus à déplorer d’intrusion. Mais l’impression visuelle, quand on emprunte l’A16 à l’approche du Calaisis, est marquante devant ces clôtures.

« Je pense que quelque part, on s’est habitué à ces grilles qui font désormais partie de notre horizon », relativise pour sa part un porte-parole d’Eurotunnel. Depuis un an, c’est vrai, les habitants se sont habitués – ou non d’ailleurs – à un paysage modifié. Au nom de la sécurité, 100 hectares de végétation ont été sacrifiés. Ce déboisement a été décidé après plusieurs centaines de tentatives d’intrusion de migrants recensées l’été dernier dans le Tunnel. Côté rocade, des grilles anti-intrusions s’érigent également. Elles seront prolongées par un mur antibruit au mois d’août. Le Tunnel et le port sont de plus en plus inaccessibles, ce qui pousse les migrants à des comportements plus extrêmes comme la pose de barrages sur les axes routiers la nuit pour stopper les camions

Sept mille exilés

Selon le dernier recensement effectué par les associations, 7 000 exilés vivent actuellement à Calais : Afghans, Syriens, Irakiens, Soudanais, Éthiopiens, Érythréens. Mille cinq cents sont hébergés dans les conteneurs du centre d’accueil provisoire, géré par l’association La Vie Active. Le reste se masse dans la « jungle », bidonville de tentes et de cabanons.


Le mur de Calais (bis)

Intrusions de migrants à Calais : les questions autour du mur anti-bruit sur la rocade portuaire
La Voix du Nord, 07/07/2016

Une centaine de personnes ont assisté mercredi soir, dans une ambiance parfois houleuse, à une réunion publique sur la construction à venir d’un mur le long de la rocade. D’une hauteur de 4 mètres, il sera végétalisé, anti-bruit et anti-franchissement. Passage en revue des informations qui ont été livrées.

Combien ça coûte et qui finance ?

Le budget prévu pour la construction de ce mur est de 2,7 M€. Il sera totalement financé par les Britanniques.

À quoi ça ressemblera ?

Il sera érigé entre le pont de la route de Gravelines et la zone Marcel-Doret, dans le prolongement des grilles posées du port jusqu’au pont. D’une hauteur de 4 m, il sera en béton lisse, avec « une alternance de murs striés et de murs gravillonnés ». Seule la surface intérieure sera habillée de végétaux grimpants : pas la surface extérieure, car « cela risquerait de permettre aux migrants de grimper », selon la DIR-Nord. Il sera pourvu de quatre à six caméras de vidéosurveillance de chaque côté (le sous-préfet s’engage à ce que les libertés individuelles soient respectées : « On ne filmera pas les gens dans leur jardin »), d’un éclairage vers l’extérieur, d’un système anti-bruit et d’un système « antifranchissement » équipé de bavolets (partie supérieure penchée de la clôture).

Quand sera-t-il construit ?

Les travaux préparatoires commenceront début août. Il faudra ensuite compter seize semaines de chantier.

À quoi va-t-il servir ?

À empêcher les intrusions de migrants sur la rocade. Ce mur a un triple intérêt, selon le sous-préfet : il protègera les véhicules, mais aussi les riverains qui « souffrent d’intrusions dans leurs jardins ou sur leurs terrains ». Enfin, il protègera l’économie du port, « un des premiers employeurs de la ville ». Autre argument soulevé par Vincent Berton : il permettra « d’avoir moins recours à l’hélicoptère », source de bruit pour les riverains. Le commissaire Patrick Visser-Bourdon a pour sa part expliqué que les intrusions avaient explosé sur cette portion : « On en a dénombré 22 000 en juin, alors qu’il y en avait eu 3 000 en janvier. » «  Il est impossible pour moi de placer un fonctionnaire tous les 10 m pour sécuriser la zone. Ou alors il me faudrait mobiliser 2 000 policiers chaque soir ! », a argué le commissaire. Sur cette portion, il est assez facile pour les migrants de réaliser des « attaques de masse », a-t-il poursuivi : « La zone est délimitée par des espaces très vastes où ils peuvent passer : les stades du Courgain-est d’un côté, les champs de l’autre. » Une fois que cette partie sera protégée par le mur, les forces de l’ordre pourront se mobiliser du côté la zone Marcel-Doret, « où les attaques de masse ne sont pas aussi faciles », selon M. Visser-Bourdon.


Intrusions de migrants : Eurotunnel s’équipe de drones pour renforcer sa sécurité

Voix du Nord, 27/06/2016

Lors d’une conférence de presse ce lundi matin, le groupe Eurotunnel a présenté ses deux dernières acquisitions : deux drones qui survoleront désormais son site pour repérer les intrusions de migrants. Pour Jacques Gounon, PDG d’Eurotunnel, les arrivées de migrants à Calais pendant l’été, mais aussi le Brexit, justifient cet investissement.

Deux drones « de nature militaire »

Il s’agit de deux drones « de nature militaire », dixit Jacques Gounon, équipés de caméras thermiques « de longue portée », capables de filmer « avec une très grande précision, malgré le vent, les intempéries ou le peu de visibilité ». Un centre de surveillance sera construit prochainement pour les entreposer. Selon le PDG d’Eurotunnel, ces drones permettront « d’identifier les zones à risques et d’intervenir rapidement pour empêcher les migrants qui arrivent sur le site de prendre des risques et de se faire happer » par des trains : « Les drones seront mis en service dès qu’une alerte sera reçue par les caméras situées en périphérie du site. »

Ils fonctionneront alternativement, « lorsque les caméras auront décelé une attaque ». Ils ont une capacité d’une demi-heure de batterie et peuvent monter à 100-150 mètres d’altitude. Enfin, ils sont programmables par GPS : « Nous avons introduit dans leurs cerveaux toutes les zones de circulations qu’ils ne peuvent pas survoler pour des raisons de sécurité », indique Jacques Gounon. Le financement est « totalement à notre charge », précise le PDG, et s’intègre « dans les 20 M € consacrés par an à la sécurisation du site ».

Un site déjà ultra sécurisé

Le site Eurotunnel, d’une superficie de 660 hectares, est déjà équipé de plus de 500 caméras thermiques en postes fixes. 300 vigiles surveillent le site 24 h sur 24, ainsi que des gendarmes mobiles déployés à l’extérieur. Pour rappel, 21 millions de passagers, 2,5 millions de voitures et 1,5 million de camions transitent chaque année par le Tunnel.

Aucune intrusion « depuis octobre dernier », selon Eurotunnel…

Selon Jacques Gounon, il n’y a eu « aucune intrusion depuis octobre sur le site du Tunnel ». Les migrants continuent en revanche de tenter de passer en se cachant dans les camions. Mais même sur ce point, le PDG du groupe assure que tout est sous contrôle : « Nous vérifions 100 % des camions. »

… mais des « craintes » pour cet été

Malgré cette ultra-sécurisation du Tunnel et l’absence d’intrusion depuis plusieurs mois, Jacques Gounon dit craindre, « avec l’été, que la pression migratoire s’intensifie ». L’été 2015 avait été marqué par des arrivées massives de migrants à Calais, et le Tunnel avait fait l’objet de tentatives d’intrusions tout aussi massives. D’où la pose de hautes clôtures, le défrichage des abords du Tunnel et l’inondation volontaire de terrains qui ont suivi.


A Calais, une nuit dans le manège infernal de la rocade portuaire

AFP, 29/07/2016 à 13:15

Calais – Nuit noire, poids lourds lancés à toute vitesse, forces de l’ordre sous tension, et barrages inlassablement replacés par des cohortes de migrants prêts à tout pour passer en Angleterre : un jeu dangereux se joue tous les soirs sur la rocade portuaire de Calais.

Dès minuit, la radio de police crache des appels à renfort, avec une rengaine : « barrage posé échangeur 47« . Les fourgons de CRS tournent déjà dans le manège infernal de la rocade, si peu éclairé.

En ce début de nuit d’été, la menace plane mais les migrants demeurent invisibles pour les non-avertis. Le petit bois qui sépare la route des premières résidences calaisiennes, à 1,5 km de la « Jungle », bruisse de craquements.

Détonation soudaine, une épaisse fumée blanche s’élève des cimes et envahit le ciel : la première grenade lacrymogène est lancée. Elle vient s’ajouter aux 30.000 déjà tirées depuis octobre, selon un décompte du syndicaliste policier Gilles Debove (SGP-FO).

Au travers des longs barreaux que forment les troncs d’arbre, se détachent des dizaines de silhouettes progressant lentement en file indienne, de l’autre côté du bois. Le premier objectif des migrants est de rassembler branchages, paille et barrières de métal pour concevoir des barrages. Tentatives aussi méthodiques que désespérées.

Peu avant 02H00, on devine quelques têtes sur un talus sombre et informe. A 100 mètres, un trente tonnes, monstre de tôle et de mécanique, avale la route en leur direction. Subitement, la cinquantaine de migrants se déverse sur la rocade et, rapides et organisés, posent leurs barrages.

Crissement de pneus, coups de klaxon scandalisés… le camion pile, et se retrouve encerclé en une poignée de secondes. Le conducteur, manifestement paniqué, entame de brusques manoeuvres marche arrière-marche avant sur plusieurs dizaines de mètres, au hasard.

On frôle le drame, mais au bout d’une minute, le camion parvient à repartir sur les chapeaux de roue, sans faire de victime. La veille, un autre migrant n’a pas eu la même chance : il a péri percuté par un poids lourd, comme six autres depuis le début de l’année.

- Burlesque –

Vers 04H00, deux policiers de la BAC arrêtent leur voiture banalisée. Sur l’autre bord de la route, ils ont repéré un groupe de migrants s’affairant à un énième barrage, et actionnent leur lance-grenades lacrymogènes.

La riposte ne tarde pas : du ciel obscur pleut une dizaine de projectiles, dont certains passent à quelques centimètres des fonctionnaires tête nue. Ce sont leurs grenades à eux.

On atteint alors le pic d’activité. Les migrants sentent le jour proche et redoublent leurs efforts. Ils posent un barrage trois fois de suite au même endroit. Mais cette nuit-là, les conducteurs parviennent à forcer les barrages presque chaque fois.

L’exercice aura peut-être fait un heureux. Vers 05H00, un poids lourd se retrouve coincé, l’espace de quelques secondes. Parmi les candidats à l’exil qui se hâtent, on distingue des femmes, des adolescents.

Sur la dizaine qui grimpent, un a la bonne idée de se faufiler derrière la cabine conducteur, un espace n’excédant pas un mètre, tandis que les autres doivent se laisser retomber sur l’asphalte faute de prise fiable.

Se croyant délesté de tout passager clandestin, le chauffeur pourrait ne pas demander de contrôle thermique lors de son arrivée au port.

Ces migrants qui sans cesse reposent en accéléré leurs barrages de bric et de broc, souvent au même endroit, avant de repartir en catastrophe quand la cavalerie déboule, donnent au spectacle une dimension burlesque.

A l’aube, raconte Gilles Debove, ils sortent des talus, des buissons et des fossés, lèvent les mains en criant « We go back +Jungle+ » à l’adresse des policiers, avant de rentrer. Comme des gamins jouant à cache-cache ils pourraient tout aussi bien dire : « Pouce !« , s’ils ne jouaient pas leur vie.


La violente nuit où un camion fut incendié sur la rocade portuaire

Nord Littoral, 30/07/2016

Les attaques des migrants sont de plus en plus dures pour stopper les camions allant vers l’Angleterre.

Dès 22h30, dans la nuit de vendredi à samedi, des feux se sont déclarés à la Jungle puis des barrages ont bloqués la rocade et l’autoroute. Entre minuit et 1h30, devant la violence des attaques de certains migrants, la rocade dans le sens zone Marcel Doret vers le port est interdite à la circulation par les forces de l’ordre.

Une déviation est mise en place via la zone Marcel Doret, obligeant les usagers à passer par cette zone ou par le centre-ville. Des déviations qui créent de nombreux ralentissements, permettant à des exilés de tenter de nombreuses intrusions.

Le reste de la nuit, des barrages « conséquents » continuent d’être construits avec des troncs, des branchages, des poteaux métalliques, etc. Et comme cela semble insuffisant pour freiner l’ardeur des routiers, ils y mettent le feu. Au total, les pompiers de Marck sont intervenus six fois pour éteindre ces feux et ont transporté cinq migrants blessés entre 22h30 et 9h. « C’est pas mal pour une nuit », reconnaît un pompier.

Comme chaque nuit, il y a également eu des jets de projectiles contre les forces de l’ordre à la jungle. C’est vers 4h20, qu’on frôle le drame. Un camion emprunte la bretelle de l’ancien hoverport pour sortir de la rocade littorale après un assaut de migrants. Il est en feu. Une enquête est ouverte mais d’après les premiers éléments, il est d’origine criminelle. Et ce n’est pas à cause d’une bombe artisanale… D’après les chauffeurs, un groupe de migrants a volontairement mis le feu au camion…

Les pompiers de Marck interviennent avec l’aide la police et de la Dir Nord. Les deux chauffeurs sont sains et saufs mais le camion est fortement dégradé. Une chose est sûre, avec l’incendie de ce camion, la violence aux alentours de la jungle a franchi un nouveau cap.

Hautes-Alpes : sabotages contre la THT et péage gratuit chargé par les gendarmes

lu sur Brèves du Désordre

Rte/Chantier THT : des clous retrouvés dans les arbres, inquiétude des élagueurs

Dici 06/07/2016 – 15:35

Les faits se sont produits il y a moins d’un mois. Des clous ont été trouvés dans des arbres sur le chantier des lignes THT. « Nous nous en sommes rendus compte à temps. Les élagueurs étaient en danger. Mais heureusement, aucun accident n’est à déplorer » précise RTE, qui reconnaît que, depuis ce fait divers, « aucune autre dégradation n’a été constaté ».

Aussi, RTE précise qu’une « nouvelle demande d’Approbation de Projet d’Ouvrage (APO), a été faite récemment concernant les travaux entre l’’Argentière et Serre-Ponçon« . Une demande qui ne devrait pas retarder la réalisation des lignes. « Rien ne bouge pour le calendrier, car nous sommes en phase uniquement préparatoire dans ce secteur » explique RTE.


Echauffourées entre les anti THT et les gendarmes ce dimanche à Tallard. Les anti THT manifestent devant la gendarmerie de Gap

Dici, 31/07/2016 – 18:00

Violents échauffourées ce dimanche en fin d’après midi à hauteur de l’aérodrome de Tallard et de l’autoroute A 51. Une trentaine de manifestants anti-THT sont venus protester contre la construction des lignes à très haute-tension dans le val de Durance [en faisant une opération péage gratuit sur un échangeur de Vinci autoroute]. Le climat s’est envenimé. Les manifestants auraient forcé les barrières de l’autoroute d’où l’intervention des gendarmes [en fait du PSIG, Peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie]. Comme les manifestants étaient masqués, les gendarmes ont voulu procéder a des contrôles d’identité. Eux considèrent avoir été chargés. Et c’est la que les choses ont dérapé.2 gendarmes réservistes ont été bousculés et légèrement blessés et 3 personnes ont été placées en garde-à-vue à la compagnie de gendarmerie de Gap.

Ce dimanche soir le maire de Tallard condamne avec fermeté ces actes et indique que ses pensées vont aux forces de l’ordre qui ont essuyé « une violence inacceptable« . Il souhaite une réponse « prompte et sévère de la justice« .

Les manifestants n’en restent pas la : Ils se sont rassemblés devant la gendarmerie de Gap, afin de soutenir leur « 3 camarades de luttes », en garde-à-vue dans ce même bâtiment. Dans un communiqué, ils indiquent : « En s’en prenant à l’un-e d’entre nous, c’est nous tout-es qu’ils attaquent. Faisons du bruit. Que nos clameurs traversent les murs infâmes de la répression. »


Tallard d’une imbécile…

NoTHT05, 01/08/2016

Karine Berger, Députée socialiste des Hautes-Alpes, demande une « condamnation exemplaire par la justice. Dans une période où nos forces de l’ordre doivent assurer la protection de tous les Français face au terrorisme, il est inacceptable qu’elles soient accaparées par ce type d’action coup de poing. »

-Hey, Karine, c’est de nous que tu parles ? …Alors, on te le répète encore une fois, RTE DEGAGE !

[Drôme] valence un feu d’artifice de solidarité aux prisonniers le 14 juillet qui fait encore du bruit le premier août

 les médias locaux  sont’ils à la botte du maire LR de valence?

Un lotissement est situé à 400 mètres du centre pénitentiaire de Valence.

 note: un feu d’artifice  le 14 juillet  2016 occulté par la presse, mais révélé après une pétition des voisins du centre pénitentiaire.. Le lotissement à côté de cette taule a été construit en 2001 sous les lignes THT.. Ce voisinage ne  les gêne pas.Vos futur cancer dû aux champs  l’électromagnétique ne vous dérangent pas.. Mais ça vous dérange la solidarité  dehors  dedans


france bleu Drôme Ardèche ici lundi 1 août 2016 à 5:40

la prison de Valence excède les riverains d’un lotissement voisin

S.. A..habite à 400 mètres de la prison. Il n’y a qu’un bout de champ entre sa terrasse et l’établissement. Cela fait des mois qu’elle constate le bruit, sans vraiment pouvoir faire grand-chose. Le pire c’était un feu d’artifice, tiré depuis le parking de la prison. « Ça a duré au moins 20 minutes, et ce n’était pas du petit feu d’artifice« , raconte cette mère de famille en montrant cette scène surréaliste filmée avec son téléphone portable.

Les feux d'artifice ont été tirés depuis une route près de la prison. - Aucun(e)

note supplémentaire: Marine Lepen a tenu une réunion publique chez le traiteur thierry Champey le vendredi 5 novembre 2010 pour mobilisere ntre autre le public contre l’implantation du futur centre pénitentiaire qui devait être construit juste à côté de ce traiteur.