[Terrorisme d’Etat] : l’armée et la police préparent des interventions conjointes

Note d’un du laboratoire anarchiste: il semblerait que cela est devenu naturel les patrouilles des militaires et la circulation de la voiture siglée vigipirate à valence , aussi les gendarmes qui filment des personnes durant une action militante ( par exemple une action péage gratuit).C’est normal, dans cette Drôme nucléarisée, mais premier département Bio de france

Brèves du Désordre
[Le 35e Régiment d’Infanterie est basé à Belfort. Dans le cadre des mesures post-attentats de 2015, l’armée est en train d’embaucher 11.000 assassins professionnels supplémentaires jusqu’à la fin de cette année. Le 35e RI a ainsi créé le 24 mai 2016 une 7e compagnie, qui comptera jusqu’à 177 hommes. Depuis juin, elle intervient dans l’opération « Sentinelle » de surveillance de la population, et interviendra à partir de 2017 à l’extérieur.
Comme le montre ce récent exercice « anti-terroriste » grandeur nature, l’Etat français se prépare à faire intervenir l’armée de façon ordinaire à l’intérieur de ses frontières, au premier prétexte venu. C’est désormais un secret de polichinelle que la présence de militaires dans les rues n’est qu’un premier pas notamment destiné à « habituer la population », afin qu’ils puissent dans un second temps mener de légitimes opérations de police contre toute dissidence qui passerait de la parole aux actes.]

Attentat terroriste (fictif) au collège de Danjoutin

France Bleu Belfort-Montbéliard et France Bleu Besançon, vendredi 10 juin 2016 à 16:25

La préfecture du Territoire de Belfort a organisé ce vendredi matin un exercice grandeur nature : deux attaques terroristes touchant les élèves du collège Mozart de Danjoutin. Un exercice pris plus ou moins au sérieux par les élèves.

Une première attaque d’abord, dès 9h30 ce vendredi. Attaque au gaz toxique dans le bus scolaire. Puis une seconde. Cette fois, il s’agit d’une fusillade dans le gymnase à côté du collège de Danjoutin. Mais les deux assaillants sont rapidement neutralisés. La priorité, ensuite, c’est de prendre en charge les blessés les plus graves et de les évacuer vers les hôpitaux les plus proches. Sur place, sont présents 27 policiers, 84 pompiers et des militaires du 35e RI.