Dès le lendemain de l’expulsion violente de la Renardière, des tags sont apparus sur les murs du quartier, notamment sur la façade extérieure du garage de la Renardière (« Les maisons sont vides / Occupations / Les loyers sont chers », en référence directe à un des slogans chantés sur le toit et au sol le jour de l’expulsion) et sur les panneaux des chantiers Nexity, société immobilière à la pointe de la gentrification du quartier avec la Ville de Montreuil, Est-Ensemble et Le Crédit Agricole.
Déjà la veille de l’expulsion des affiches avaient été collées dans le quartier, ainsi que des tracts distribués aux voisin-e-s. Une affiche a été collée un peu partout dans le quartier à nouveau, deux jours après l’expulsion.
Pour info, le récit de l’expulsion publié sur Squat!net est également disponible en PDF simple.
Le jour de l’expulsion, sur le toit et dans la rue… On peut voir que les volets sont fermés juste avant l’intervention de la BRI anti-commando sur le toit, pour tabasser les squatteur-euse-s en toute discrétion…
les autres photo et l’articlesur squat.net