Archives mensuelles : juillet 2018

Saint -Alban_d’Ay (07790), Ardèche : tags sur l’église du village.

dauphiné Libéré     06/07/2018

Photo Le DL

Dans la nuit de jeudi à vendredi, la petite commune de Saint-Alban-d’Ay (Nord-Ardèche) a été vandalisée par un groupe d’individus armés de bombes de peinture rouge et noire. Plusieurs façades de bâtiments publics ont été taguées : la salle polyvalente, la poste ou encore la mairie. L’église a également été dégradée, à l’intérieur et à l’extérieur

Photo Le DL

.. Les gendarmes, alertés par des habitants, seraient intervenus aux alentours de 3 heures du matin. Une personne aurait été interpellée alors que les autres individus se seraient échappés.

Photo Le DL

voir aussi:attaque noblogs

Berlin (allemagne) SPIE voiture enflammée – solidarité de Berlin à Nantes!

SPIE voiture enflammée – solidarité de Berlin à Nantes!

Indymedia Nantes / jeudi 5 juillet 2018

Le message d’un jeune executé d’un flic dans un banlieu de Nantes nous a choqué. Nous avons enflammés une voiture de l’entreprise « Spie » en solidarité.

Le message d’un jeune executé d’un flic dans un banlieu de Nantes nous a choqués. Notre haine n’est pas explicaple.
Nous voulions montrées notre solidarité en enfamment une voiture d’une entreprise la nuit dernière que fait la machinerie de la prison fonctionner: SPIE.
Nous voulons montrer que nos luttes contre le système policière et autoritaire sont connectées. Nous voulons aussi encourager l’échange des idées anarchistes et de la solidarité plus souvent au-delà les frontières.
Force et Amour de Berlin à Nantes pour les jeunes dans les rues!
Contre le prison et pour une vie sans autorité!

Crest (26400) Tag contre le nucléaire

ricochets crest

Vers le carrefour de la Calade, les automobilistes roulant vers le centre ville de Crest ont enfin quelque chose d’intéressant à lire durant leur trajet ou pendant un bouchon :

Les élections passent,
Le nucléaire avance,
Les déchets restent !
Solidarité BURE !

 

Cruas ( 07 350) Boissons radioactives à la centrale de Cruas( Maj)

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France : Cruas  travaille beaucoup à son rayonnement

 

21 juin 2018

Il s’agissait d’un simple repérage visuel des robinets du bâtiment réacteur 4 le 10 mai 2018. Et pourtant, la personne qui s’est acquittée de cette tâche en est sortie contaminée par une particule radioactive. La particule coincée au niveau de sa barbe a été retirée, mais il a reçu en une seule fois plus du quart de la dose annuelle autorisée pour les travailleurs exposés aux rayons ionisants. Cette dose annuelle, de 500 millisiverts pour la peau, est un indicateur des effets biologiques des rayons sur un organisme vivant. Pour les travailleurs, elle est largement plus élevée que pour le reste de la population. La durée de l’exposition aux rayonnements émis par la particule radioactive et la position de celle-ci sur le corps sont des facteurs déterminants.

 

C’est par une communication de l’Autorité de sûreté nucléaire que l’on découvre l’incident, l’exploitant n’ayant rien annoncé sur site. Il faut dire que les problèmes sur le site nucléaire de Cruas ne manquent pas.sans que personne ne s’en rende compte,réacteur et fuite radioactive..Dans la nuit  du 1er avril, un puisard  de collecte d’effluents radioactifs déborde. En cause le mauvais réglage  d’une vanne , couplé au dysfonctionnement  des alarmes dans la salle de commandement.circonstance aggravante : la pompe prévue  pour éviter  le débordement  est en panne  de puis ….novembre 2017 et celle de secours , rend l’âme  au bout de trois heures Le dernier en date : une pollution de l’eau potable du site et de ses environs au tritium, un élément radioactif très difficile à contenir. Si l’industrie nucléaire l’a longtemps considéré comme inoffensif, des études récentes montrent que la toxicité du tritium a été sous-évaluée, notamment quand il est absorbé par l’organisme. Il pénètre alors dans l’ADN des cellules [1]. C’est une quantité de tritium près de 20 fois supérieure à la normale qui a été détectée dans plusieurs points de prélèvements souterrains un mois et demi plus tard lors d’un contrôle de routine, EDF découvre  que l’eau potable  de la centrale  crache des becquerels. Cela tombe plutôt mal  qu’au même moment  400 intérimaires du nucléaire  travaillent sur un des 4  réacteurs   de Cruas, à l’arrêt pour maintenance . En comptant  les salariés d’EDF 1300 personnes  doivent boire de l’eau minérale ,  L’accident à l’origine de cette pollution remonterait quant à lui au début du mois d’avril. Là encore aucune communication de la part d’EDF, qui n’a d’ailleurs déclaré l’événement que comme « intéressant » l’environnement, et non comme « significatif ». Étant donné que le travailleur s’est pris en une seule intervention plus du quart de la dose annuelle maximale autorisée, cette fois-ci l’exploitant ne peut pas ignorer l’événement, déclaré comme significatif pour la radioprotection et classé au niveau 1. Et cet événement démontre indéniablement que, même quand « tout va bien » et qu’il n’y a pas d’accident, des particules radioactives se baladent librement dans les bâtiments des réacteurs.

Savoureux becquerels: l’eau du robinet  n’affichait  que 70 becquerels par litre soit  111 fois moins que la limite de dangerosité  d’après les normes de l’organisation  mondiale de la santé(fixé après Fukushima )

 

Pour les travailleurs susceptibles d’être exposés aux rayonnements ionisants lors de leur activité professionnelle, la limite réglementaire de dose, pour douze mois consécutifs, est de 500 millisieverts [2] pour la peau.

Dans les jours qui ont suivi, la médecine du travail a estimé la dose reçue par l’intervenant sur la base d’hypothèses défavorables de durée d’exposition et de position de la particule. Ce calcul a conduit à estimer que la dose reçue dépasse, sur cette seule intervention, le quart d’une limite réglementaire annuelle d’exposition des travailleurs, sans dépasser toutefois la limite annuelle.

Du fait du dépassement du quart d’une limite réglementaire annuelle d’exposition pour un travailleur, cet événement a été classé au niveau 1 de l’échelle internationale des événements nucléaires INES.

rédigé à partir plusieurs articles non locaux. Le silence du Dauphiné libéré s’explique sûrement par l’industrie touristique. Le  passage  prochain du tour de France  2018


[1 tr Le tritium a les mêmes propriétés chimiques que l’hydrogène, dont il est l’isotope radioactif. Le tritium est très difficilement confinable ; il traverse les métaux et le béton. Les militaires s’en servent dans la fabrication des bombes atomiques. Les réacteurs nucléaires rejettent des quantités importantes de tritium dans l’environnement

[2] Le Sievert est l’unité légale de dose qui permet de rendre compte de l’effet biologique sur un organisme vivant. Le Sievert n’est pas une quantité physique mesurable mais obtenue par le calcul. Pour les faibles doses, on utilise le milliSievert (symbole mSv) qui représente un millième de Sievert.

Turin – Mise à jour sur la répression à Turin

Entre le 27 et le 29 juin 2018, les mesures répressives imposées aux compagnx ont changé : Giada, Toxina, Fabi et Anto Lecce ont été liberé.es de l’obligation de signature quotidienne. Anto, Pise et Kam sont encore introuvables et cela ne change donc rien à leur situation. Greg a été libéré de l’assignation à résidence, il reste avec une interdiction de résidence sur Turin. Rappelons qu’en première instance en février 2018 une condamnation d’un an et trois mois avait été prononcée pour tuttx.
Le procès d’appel devrait avoir lieu en novembre.

N’abandonnez jamais
Liberx tuttx

https://roundrobin.info/2018/07/torino-aggiornamento-sulla-repressione-per-la-resistenza-contro-i-carabinieri-davanti-lasilo-occupato-dellanno-scorso/

 

 

 

Prison: nouvelles organisations du renseignement à compétence nationale

Prison:le renseignement bientôt  service  à compétence nationale

L’évasion spectaculaire de Redoine Faïd, survenue dimanche 1er juillet, vient reposer la question des moyens du jeune bureau central du renseignement pénitentiaire (BCRP), né en 2017. L’administration pénitentiaire (AP) n’a pas donné de détails sur le suivi dont le célèbre braqueur pouvait faire l’objet au-delà de son seul statut de détenu particulièrement signalé (DPS). La prévention de la criminalité organisée et des évasions sont historiquement au cœur des missions du BCRP. Or, la fuite de Redoine Faïd intervient quelques mois seulement avant une montée en puissance très attendue de ce renseignement pénitentiaire, alors qu’il est monopolisé depuis sa création par la question de la radicalisation et l’accélération des sorties des ex-djihadistes liés aux filières irako-syriennes.

Selon nos informations, au vu de la multiplication des risques, un changement de statut du BCRP a en effet été acté, il y a plusieurs mois, afin qu’il devienne un véritable « service à compétence nationale » et non plus un simple « bureau » comme il l’est aujourd’hui. Cette évolution organisationnelle devrait être officialisée dans le futur plan de lutte contre le terrorisme dont l’annonce a été repoussée à fin juillet. Le décret n’est pas encore signé. Il le sera d’ici à la fin de l’année. Mais, en pratique, la nouvelle architecture du BCRP sera opérationnelle à partir de septembre, en même temps que le déploiement de brouilleurs dans les établissements pénitentiaires les plus sensibles.

Lourde chaîne hiérarchique

Dès cet automne, le futur service national de renseignement pénitentiaire sera ainsi rattaché directement au directeur de l’AP, Stéphane Bredin. Une façon de l’extraire de la lourde chaîne hiérarchique en place dans cette administration de 40 000 agents, tout en cloisonnant plus efficacement la remontée d’informations. Une condition indispensable à un rapprochement avec la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) dont le futur plan du gouvernent.doit aussi acter le rôle de grand chef de file de la lutte antiterroriste en France.La DGSI mettra ainsi à disposition ses agents spécialisés en matière pénitentiaire et ses outils de développement informatique.

Avant même l’évasion de Redoine Faïd, les faiblesses du BCRP étaient connues. Créé début 2017 dans un format très réduit par la précédente majorité, essentiellement pour répondre à l’urgence apolitique face à la menace djihadiste, le service n’a commencé a être réellement opérationnel qu’à l’été de cette même année. Sa montée en puissance s’est faite très rapidement. Le service s’est en effet retrouvé directement rattaché aux besoins de surveillance des quelques 500 détenus pour terrorisme ( condamnés ou en détention provisoire) et des 1200 autres incarcérés pour des faits de droit commun identifiés comme radicalisés.

Les renforts de personnels n’ont pas cessé depuis 2017. Mais des compétences manquent encore au jeune service. Quelques 35 recrutements sot prévus cette année, 38 en 2019, puis encore l’équivalent en 2020. Les profils recherchés sont surtout des officiers pour les établissements, des traducteurs et des analystes.

Le changement de statut du BCRP est une réponse au système actuel, jugée dépassé. Aujourd’hui les délégués au renseignements dans chque prison dépendent hiérarchiquement du chef d’établissement. Ils ont ensuite au dessus d’eux les cellules régionales du BCRP, elles-mêmes soumisent à l’autorité de chacune de directions interrégionales des services pénitentiaires, puis le bureau central. Un organigramme considéré trop administratif pour une matière opérationnelle rendue d’autant plus sensible qu’elle et recueilli en univers clos, et où une discrétion absolue vis -à-vis des sources essentiellement humaines.

Quelques incidents ont d’ailleurs montré les limites de cette organisation. Comme ce chef d’établissement qui a judiciarisé un peu trop tôt un cas que lui avait signalé son référent renseignements alors que la DGSI travaillait dessus. Ou, à l’inverse, un référent soucieux de confidentialité qui a pris une initiative sans en informer son chef d’établissement, lequel s’en est offusqué. Dans la future organisation, les personnes travaillant pour le renseignement pénitentiaire dépendront directement de la direction centrale, qui sera, elle, chargée des liens avec les services patrtenaires (DGSI ou autres).

Cette organisation a nécessité un peu de pédagogie, mais elle a fini par être admise en interne. Le directeur de l’administration pénitentiaire est déjà celui qui signe toutes les demandes d’écoutes proposées par le renseignement pénitentiaire ; transmises par la suite à Matignon.

Malgré toutes ses évolutions structurelles, le protocole pour les sorties de prison est lui, désormais bien établi.Le pilotage officiel revient depuis quelques jours à l’unité de coordination de la lutte antiterroriste(Uclat), rattaché directement au ministre de l’intérieur. L’Uclat chapeaute toujours les cellules animées en région par les préfectures. Les informations du renseignement pénitentiaire transmise en amont de la sortie pemettent de décider du service compétent (DGSI, renseignement territorial, etc.) et d’une éventuelle mesure coercitive complémentaire à prendre, telle que l’assignation à résidence, comme prévu dans la loi post-état d’urgence d’octobre 2017..

le journal le monde du 3 juillet 2018

Jean -Batiste Jacquin

et Élise Vincent

 

 

 

 

Besançon, France : Action contre les Center Parcs –

Mercredi 27 juin, le siège du Conseil Régional du Square Castan a pris quelques couleurs. Plusieurs slogans de couleurs vives ornaient les vieilles pierres du bâtiment : « NON AU CENTER PARCS, A POLIGNY COMME AILLEURS » ou encore « CREVE PIERRE ET VACANCES ».

Prendre pour cible cette institution va de soi quand on sait que le Conseil Régional finance à hauteur de 8 millions d’euros ce projet de centre de vacances dans le Jura, afin de satisfaire une fois de plus les besoins de l’économie mortifère et écocide.

Cette petite action s’inscrit dans le contexte de lutte à Roybon, où les opposant-e-s font face à la fois aux flics, aux milices citoyennes et fascistes.

Les responsables du désastre capitaliste ne sont pas des entités abstraites et intouchables, ils ont des noms et des adresses.

A nous de jouer !

[Publié sur indymedia Grenoble, samedi 30 juin 2018]

Réau (Seine-et-Marne) centre pénitentiaire une évasion éclair ( MAJ)

 

Rédoine Faïd s’est évadé:

Un commando armé s’est posé en hélicoptère  a 11h15 dans la cour d’honneur alors que le détenu se trouvait au parloir.

L’évasion a duré quelques minutes seulement.

[reçu par mail]

Quel joyeux Dimanche!!! j’espère que cette fois il sait bien  qu’il ne faut pas qu’il reste dans la cité

juste la joie de mon cœur  qui aime/cherche  la liberté et déteste tout ce qui veut l’empêcher.

il est toujours possible  malgré leur contrôle, c’est magnifique!!

 » comme mille pétales de roses  jetées dans la cour de promenade » comme avait dit Khider

Merci à lui  de démontrer  que ce n’est pas eux  qui sont toujours les plus fort

j’espère qu’on va jamais l’attraper, mais même si … le fait de pouvoir  sortir  est une victoire! Et on la fête, tous   nous qui  sommes pour  la libération de l’enfermement  et de tout type de murs  et chaînes…..ça me rend tellement contente:) j’aimerais voir un enregistrement  pour me prouver que ce n’est pas un film,  sinon une action vraie

Tout de même  la  » belle » pour toujours

Il a tant à rattraper


Vive la liberté

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 note:L’individu qui agit seul (ou seulement avec ceux et celles avec qui il/elle a développé une affinité réelle) contre son oppression et son exploitation tel qu’il/elle l’éprouve dans sa vie est souvent accusé d’être…

Notre désir de liberté ne peut laisser debout aucun État, aucune institution, aucun patron, aucune frontière… !

L’AP à partir de l’ évasion de Rédoine Faïd  fait l’apologie des soit disant centre pénitentiaire  ultra sécuritaire  ( Condé sur Sarthe,Vendin- le- Veil, Valence)

contre tous les enfermements , contre les tombeaux en béton armé contre l’acceptation  des nouveaux QHS..  cours cours camarades , le vieux monde revient avec les Macron toys

Image associée

 

Allemagne : Appel à la solidarité après une nouvelle vague de perquis’ et d’arrestations en lien avec le G20 à Hambourg

Jeudi 28 juin, l’Etat allemand continue de se venger des émeutes lors du G20 à Hambourg en juillet 2017. Il a envoyé ses flics perquisitionner 13 appartements dans cinq Länder différents, que ce soit en Hesse, Rhénanie du Nord-Westphalie, en Basse-Saxe et à Hambourg. En Hesse, quatre hommes, âgés de 17 à 21 ans, ont été arrêtés et accusés d’avoir pris part aux émeutes à Altona à l’aube du 7 juillet 2017. Tous étaient sous le coup d’un mandat d’arrêt émis par le tribunal d’Hambourg. Les deux plus jeunes, qui étaient encore mineurs au moment des faits, ont été transférés le jour même à la prison pour mineurs de Hannovre. A Cologne, une femme de 19 ans et un homme de 32 ans ont été arrêtés, accusés d’avoir pris part au pillage et au saccage d’un supermarché

*****

Aujourd’hui (28 juin 2018), il y a eu une fois de plus des perquisitions d’apparts et des arrestations en lien avec le sommet du G20 à Hambourg.

D’après les médias, treize endroits ont été perquisitionnés à Francfort/M, Offenbach, Rossbach, Cologne, Hambourg, Oldenbourg, Dudenbüttel et six personnes arrêtées.

Quatre des six personnes ont été arrêtées pour « Participation à une association de malfaiteurs » en lien avec la manif de la Elbchaussee dans la matinée du 7 juillet. Elles sont âgées de 17 à 24 ans et viennent de Francfort sur le Main et d’Offenbach.

De plus, il y a eu des perquisitions chez neuf autres personnes, qui se voient accusées « d’incendies, de troubles à l’ordre public, de résistance et blessures à agents ».

A Cologne, une femme a été arrêtée pour « pillage » et un autre homme a été arrêté dans le cadre des perquisitions, sans que l’on puisse établir un lien direct avec le G20.

Ces coups répressifs ne seront pas les dernières perquisitions et mandats d’arrêt en lien avec le sommet du G20. Les flics tentent avant tout d’intimider les opposant.e.s au G20 par des procédures élargies, afin d’empêcher qu’à l’avenir des affrontements de la sorte ne se reproduisent. La plus belle réponse à cette stratégie serait bien sûr une émeute en bonne et due forme se finissant par de nombreux flics blessés. Malheureusement, il semble très difficile en ce moment de répondre de façon adéquate à la répression. Cependant, le plus important est désormais de se solidariser des personnes ciblées. De réparer les portes des onze personnes, de remettre en ordre leurs chambres, de les écouter, de leur faire don d’un ordinateur, de rassembler de la thune pour les prisonnier.e.s, de leur écrire, etc…

Comme cela a déjà été écrit dans plusieurs textes précédemment, nous nous sommes retrouvé.e.s à Hambourg et avons pu y faire naître des moments sans domination. Nous devrions donc maintenant agir ensemble contre la répression qui suit. Alors soyons toutes et tous solidaires, faisons contre-poids et en sorte de leur compliquer autant que possible la tâche pour nous réprimer. […]

Préparez-vous à d’autres coups répressifs, faites du ménage, laissez les téléphones à la maison,

Faites des actions pour les prisonnier.e.s et les personnes visées par les perquis’ !

La solidarité est une arme !

[Traduit de l’allemand d’Indymedia Deutschland, 28. Juni 2018]

repris de sans attendre demain

Plus d’infos sur unitedwestand.blackblogs.org