Archives de catégorie : General

Grenoble: le Patio solidaire cherche des soutiens

merci de faire circuler, en dehors des Faces de bouc,  twister pour des actions direces  , car au laboratoire ,l’utilisation de  face book par les individus qui étaient présent   a été rejetée par l’ assemblée générale

Une soixantaine de personnes réfugiées qui vivaient dans la rue, accompagnées par des militant·es et étudiant·es ont trouvé à se loger et habitent depuis deux semaines au Patio solidaire, un local qui servait à entreposer des tables et des armoires à l’Université.

Mais l’Université doit s’inquiéter pour ses meubles car elle exige de récupérer son local avant les vacances d’hiver. Autrement dit « tout le monde dehors le 22 décembre ! ».

Le préfet, accompagné par le directeur de l’OFII a reçu ce matin une délégation d’habitant·es du patio solidaire, ils n’ont promis ni logement, ni hébergement décent, le préfet promet seulement d’envoyer la police, si l’Université le demande, vendredi 22, pour les expulser du Patio et voir du pays si l’occasion se présente.

Si vous avez des idées pour convaincre les dirigeant·es de l’Université qu’il est plus utile d’abriter des humain·es que des tables n’hésitez pas à venir en parler au Patio.

Si vous préférez parler directement à un dirigeant vous trouverez le numéro du DGS dans l’annuaire de l’Université Grenoble Alpes. Vous trouverez le Patio rue des Résidences, à coté du carrefour de la rue des Résidences et de la rue des Universités.

 

lu surhttps://fr.squat.net/

 

Montabot (Manche) : Le pylone THT s’affaisse

[reçu par mail de stop-tht]

Chûte de pylones – Suites

Ouest-France / lundi 11 décembre 2017

Selon l’AFP, RTE (Réseau de transport d’électricité) a constaté plusieurs boulons manquants sur le pylône de la ligne Très haute tension de Montabot (Manche). Le parquet de Coutances a ouvert une enquête. Le parquet de Coutances a ouvert une enquête après la chute d’un pylône d’une ligne à Très haute tension (THT) à Montabot, lors de la tempête, dimanche.


Selon l’AFP qui cite le service communication de RTE, « il s’agit a priori d’un acte malveillant. Nous avons constaté le retrait de plusieurs boulons. Un huissier en a fait le constat ». Des boulons n’ont pas été retrouvés.
Pour RTE, l’absence de ces boulons, « associée aux vents violents », a entraîné « un affaissement latéral du pylône ». La ligne a été mise hors tension et aucun client n’a été privé d’électricité. RTE a l’intention de porter plainte.
Ce secteur de la Manche avait été le cadre de plusieurs manifestations de militants antinucléaire lors de l’installation de la ligne THT [liée à la construction du réacteur nucléaire EPR de Flamanville; NdAtt.] , au début des années 2010.

attaque.noblogs.org

Hambourg, Allemagne : Entre appel public à la dénonciation et chasse à l’émeutier du G20

Lundi 18 décembre 2017, les flics de la commission spéciale « Black bloc » ont tenu une conférence de presse sous les projecteurs des médias afin d’annoncer de manière officielle que la chasse à l’anti-G20 est ouverte. Ce n’est rien d’autre qu’un appel public à la délation. Pour cela, ils ont mis en ligne sur leur site des photos et vidéos de personnes soupçonnées d’avoir pris part aux émeutes du G20 à Hambourg. Ils font ainsi recours à des auxiliaires de police bénévoles pour identifier d’éventuels protagonistes de 100 délits commis durant ces trois journées de révolte. Sur son site, la police d’Hambourg regroupe les personnes recherchées en cinq domaines d’enquête : « Rondenbarg ; Elbchaussee [1] ; Welcome to Hell [2] ; Pillages et jets de bouteilles ». A ce jour, jamais l’Etat fédéral allemand n’avait mené de chasse à l’homme publique d’une telle ampleur.

« Oui, nous étions à Hambourg, oui nous sommes de celles et ceux qui ont participé aux émeutes. Oui, nous sommes encore là et nous continuerons à agir contre le capitalisme, le patriarcat, les frontières et tout ce qui fait partie du monde du G20. A tous les niveaux et par tous les moyens pour lesquels nous opterons.

Les personnes recherchées par les flics ne le sont probablement pas pour des délits isolées qui entrent dans des catégories, mais pour avoir pris part à une rébellion solidaire et couronnée de succès.

Les flics ont déjà pris soin d’exciter les médias avec les rafles du 5 décembre dernier afin qu’ils relaient ces avis de recherche publics. Chaque jour on a pu comptabiliser des publications de photos de suspects dans la presse « Springer » [3], des émissions spéciales sur le contre-sommet du G20 à la télévision d’Etat ou d’autres merdes semblables produites sur le même thème par les représentants des médias dociles et main dans la main avec les gardiens de cet existant.

Quelques conseils de sécurité sont donnés à celles et ceux qui seraient ciblés par cette campagne de dénonciation publique : comme garder son calme au cas où la personne se reconnaîtrait ou reconnaîtrait des potes à elle sur les photos des flics, d’en parler uniquement en face-à-face (sans passer par le téléphone, les réseaux sociaux (facebook, twitter…) et de n’engager personne (ne citer absolument personne ou aucun fait précis) lors des discussions en direct (dans les bars et les cafés, des oreilles de citoyens traînent) ; qu’au cas où une personne serait reconnue et dénoncée par un anonyme, des anciens camarades d’école, des voisins ou autres, il est important de ne pas perdre de vue que cette enquête des flics n’est pas accablante, malgré le foin médiatique qui l’accompagne [4], de refuser tout témoignage ou toute déposition et de prévenir les structures anti-répression du coin. Il est important aussi de ne laisser aucune place aux balances, que ce soit sur les réseaux sociaux ou dans la rue, de se montrer solidaires des personnes ciblées et d’appeler à ne jamais coopérer avec les forces de la répression.

Peu importe si nous nous sommes retrouvés derrière des barricades en feu à Schanze [5] ou nous sommes allés à la grande manif annoncée de ce samedi, ne nous laissons pas intimider !

Allons clarifier notre position aux représentants des médias qui jouent aux auxiliaires de police !

La question n’est pas seulement de savoir ce que la police et ses adeptes ont vraiment le droit de publier et de collecter, mais aussi et surtout de savoir si nous voulons vivre dans une société de contrôle et de trahison. Parlez de la dénonciation dans vos milieux !  Nous sommes plus que jamais remontés à bloc pour lutter contre cette société de gestion, de rendement et de surveillance !

https://unitedwestand.blackblogs.org/


Quelques portraits de 50 des 300 flics ayant attaqué le Rigaer 94 l’an dernier à Berlin:

NdT :
[1] Rondenbarg et Elbchaussee sont des secteurs de la ville d’Hambourg. Les recherches des flics ne concernent pas que des délits bien définis (pillage, jets de bouteilles…). Elles ciblent aussi des émeutiers présumés qui auraient agi dans certains quartiers.
[2] Slogan principal d’une manifestation organisée lors de la première journée du G20. Les recherches des flics ciblent certainement des personnes ayant participé à cette manif rapidement attaquée par les forces de l’ordre.
[3] Springer est le nom d’un magnat de la presse allemande, réputé pour être conservateur voire réactionnaire. Il est en autres propriétaire de la Bild-Zeitung, quotidien qui depuis la fin du contre-sommet du G20, a publié en « une », et ce à de multiples reprises, des photos-portraits d’émeutiers. Les journaflics de la BILD ont devancé leurs maîtres de quelques mois.
[4] N’est-ce pas le but des médias, d’effrayer celles et ceux qui se révoltent, quand il ne s’agit pas minimiser leur importance ? Ceci est une méthode d’intimidation supplémentaire pour semer la peur dans les rangs des contestataires, de pousser les personnes aux aveux, etc… Alors qu’une capture de caméras ou une photo n’a bien évidemment jamais constitué une preuve.
[5] Quartier d’Hambourg, où anticapitalistes et autonomes sont implantés depuis des décennies.

 sans attendre demain

contre le nucléaire et son monde:Un documentaire sur Moronvilliers et Vaujours (CEA)

[reçu par mail]

Salut,

En lien, un reportage extrait de complément d’enquête sur Rance 2, sur
les charmants lègues du Commissariat à l’énergie atomique à
Moronvilliers et au fort de Vaujours. La banalité atomique dans toute sa
splendeur. Alors qu’à Vaujours et Moronvilliers le CEA préparait ses
bombes, que dans le Sahara Gerboises bleues et vertes illuminaient
l’avenir radieux des « indigènes », à La Hague, des « autochtones »
récupéraient le plutonium. Les plus belles années de l’atome.
Heureusement que Johnny, les yéyés et d’Ormesson veillait à ce que la
légéreté de nos existences soit préservée.

Aujourd’hui dans une « transparence » sous secret défense, autorités
atomiques et antinucléaires cogestionnaires nous intime de préserver nos
mêmes existences, un oeil sur le radiamètre. C’est bien plus sécure et
démocratique tout de même…

La bise radioactive,
Gerboise noire (un rétif).

Le docu sur Youtube : https://www.youtube.com/watch?v=aJiwVpZFonk

 

Céline n’a pas fini de nous empoisonner

note:  Dans notre bibliothèque du laboratoire anarchiste un livre de H.E KAMINSKI  » céline  en chemise brune ou le mal du présent » 1938 édition Ivréa , et on recopie la présentation de  « voyage au bout de l’abject louis- ferdinand Céline  antisémite et antimaçon »  2017 édition Atelier Création Libertaire .

Ce que démontre Patrick Lepetit dans Voyage au bout de l’abject, textes et surtout pamphlets à l’appui, c’est que Céline est un idéologue nazi et qu’il a été collaborateur non par opportunisme mais par conviction. Ses contemporains ne s’y sont pas trompé. À la fin de la guerre, Céline reçoit des petits cercueils dans sa boîte aux lettres, « alors », se dit-il, « je vais partir ». Il fuit le pays pour se réfugier au Danemark accompagné d’un SS. À son arrivée il se présente aux autorités allemandes. Il se cache sous le pseudonymes Louis Courtiel, jusqu’à ce qu’un journaliste français travaillant pour un journal allemand le dénonce. En 1945, Céline est condamné à mort pour haute-trahison ; il passe 555 jours « en prison », une partie à Copenhague, l’autre en hôpital psychiatrique : il a pu passer pour un déporté ! Pourtant, dans les années 50, en France, débute une entreprise de réhabilitation de l’homme et de son œuvre. Les gens qui ont défendu Céline étaient des hommes extrêmement talentueux et intelligents, comme Dominique de Roux et son La mort de L.-F. Céline ou encore Muret. Les deux Cahiers de L’Herne consacrés à son œuvre ont fait beaucoup pour redorer son blason. Un autre thème sur lequel a largement porté la discussion, c’est celui de l’antisémitisme. Sur les 6 ou 7 pamphlets, 2 ou 3 ont été publiés dans Je suis partout ou autres revues antisémites notoires. Avant d’écrire le premier pamphlet, Bagatelles pour un massacre, Céline s’est dit : « Il me manque encore un peu de haine. Je sens que ça vient ».

Avec Bagatelles, on est encore dans l’illusion de la fiction et de l’écriture romanesque. Les suivants sont des textes déjà très idéologiques avec de « l ’humour » malsain. Mea Culpa, qui fait 400 pages, n’a rien d’un pamphlet, une forme littéraire courte par définition. Pour Patrick Lepetit, on ne s’exprime pas violemment sur 400 pages : c’est vraiment que ce qui est écrit est récurrent et organique. La gauche française a accordé à Céline une place de choix. Monti, qui dirigeait à l’époque Le Monde Libertaire, a signé la pétition des années 50, « Faut-il juger Céline ? ». Georges Hénein disait : « Céline est la mauvaise conscience de la gauche ». En 1974, Céline est au programme de l’ENS. Aujourd’hui, on parle de la réédition des pamphlets avec appareil critique, peut-être chez Gallimard.

Voyage au bout de la nuit, pour beaucoup, reste un chef-d’œuvre. In fine, la question qui a divisé l’assistance lors du débat, c’est bien celle-là : faut-il séparer le fond de la forme ? Pour Patrick Lepetit et Jehan Van Langhenhoven, la réponse est clairement non. Il faut dénoncer l’imposteur et la crapule que fut Céline. C’est en ce sens que le livre est un acte politique.

Salomé Foehn
Auteure de la thèse universitaire Les Philosophes de l’exil républicain espagnol de 1939.

(1) Voyage au bout de l’abject. Louis-Ferdinand Céline, anti-sémite et anti-maçon (Atelier de Création Libertaire, 2017), 10 € – Disponible à la Librairie Publico, 145 rue Amelot 75011 Paris

Athènes, Grèce : Sabotage incendiaire des télécommunications d’OTE

Nous vivons dans un monde où tous les aspects de nos vies sont cerné par le système technologique. Les relations sociales qui se créent à travers les ordinateurs et les téléphones mobiles sont très éloignées de la vie réelle. Chacune d’entre nous est surveillé quotidiennement dans chaque coin de la ville par des caméras, localisées via le signal émis par nos téléphones mobiles, et archivées par les empreintes digitales et les échantillons d’ADN. Cette conception vise à transformer chaque personne en un numéro enregistré dans une base de données afin qu’il soit un pion prévisible et sûr du système pourri.

Notre objectif est de voir naître un monde d’individus rebelles qui prennent leur vie en main, réalisant leur désir de rébellion et de liberté.

Nous sommes donc retournés attaquer la compagnie de télécommunications OTE, poursuivant notre campagne anti-technologie.

À l’aube du 14 décembre, nous avons placé un engin incendiaire dans le système d’antennes OTE de Seych Sou.

Nous pensons la solidarité comme une arme dans le conflit contre l’État et le Capital, et c’est pourquoi nous répondons aux attaques des États répressifs contre les anarchistes qui attaquent les objectifs du pouvoir.

Solidarité avec l’anarchiste Salvatore Vespertino, qui a été emprisonné le 3 août à Florence et accusé d’avoir attaqué à l’explosif une librairie fasciste, accusation basée sur des preuves ADN.

Solidarité avec l’anarchiste Dinos Yatzoglou qui a été arrêté le matin du 28 octobre à Athènes et accusé d’avoir envoyé des colis piégés.

Mort à l’État.

Pour un Décembre Noir, pour l’Anarchie.

Cellule anarchiste « Destruction de l’existant ».

[Traduction reçue par mail]

[Via Sin Banderas Ni Fronteras et Insurrection News – Source: Indymedia Athènes]

Valence [Drôme] La cogestion permet au maire de détruire et d’installer ses potes aux manettes.

note du R..D..L: c’est par son compte twitter et la page face book que le maire annonce pour le centre aqualudique  et son partenariat avec Spie Batignolles entreprise qui a déjà ramassé un pactole sur valence   à travers la construction du  centre pénitentiaire voir ici

Illustration actu

vendredi 5 mai 2017 à 9h  http://www.drome-hebdo.fr

iln’y aura qu’une seule nichée de cygnes cette année au port de l’Épervière. Et pourtant, comme toutes les années, il y avait bien trois couples qui, début avril, avaient installé leurs nids sur les rives du Rhône, deux sur la langue de terre qui s’avance séparant les eaux calmes du port et celle du grand Rhône, et un troisième,

Mais à ce jour, il n’en reste plus qu’un… Plus rien, même pas une brindille ou la tache brune que laisse l’empreinte d’un grand nid… Que s’est-il passé ? Malveillance ou simple régulation des naissances et des couples de grands oiseaux résidant en ce lieu. Car il faut savoir que chaque couple a besoin d’un large territoire (plus d’un hectare) et toute intrusion en leur domaine peut donner lieu à de violentes bagarres entre eux. En attendant que précision se fasse, il est plaisant d’aller à la rencontre, tout en bout de digue, de celui restant.

Et c’est ainsi qu’en ce dernier dimanche d’avril, alors qu’un fort vent du midi fouette les branches et installe des vaguelettes sur les eaux du fleuve, un bien joli spectacle s’offre à la vue. Immobile, la tête sous l’aile, la maman cygne couve et somnole. À ses côtés, bien droit sur ses pattes, le père veille, imperturbable. Et pas question de s’approcher. Même les chiens, en laisse, font un détour ! La puissance des cygnes est énorme. D’abord ils sifflent en un avertissement puis, afin d’impressionner un peu plus, leurs grandes ailes se déploient en quelques bruyants battements qu’il vaut mieux prendre au sérieux. Dernière sommation. Passez votre chemin sinon il faudra courir ! C’est normal, le mâle protège son nid, sa femelle et les œufs.

Sur ce site entre le Rhône et l’autoroute A7, la Mairie de Valence a lancé lundi 14 septembre 2015 un grand programme de démolition des vieux bâtiments. Le but est d’installer un centre aqualudique à l’horizon 2019 construit en partenariat public privé  a été officialisé le jeudi 14 décembre 2017 sur les réseaux sociaux que le partenariat, et notamment sur le compte Twitter et la page Facebook de Nicolas Daragon, maire de Valence et président de Valence Romans Agglo La signature de ce partenariat intervient une semaine après que les élus de l’agglomération valentinoise aient approuvé le contrat de concession avec le constructeur et futur exploitant du centre aqualudique, Espacéo Spie Batignolles. Ce mode de gestion public-privé va permettre à la collectivité de ne pas assumer, seule, le coût financier estimé à 32 millions d’euros.

La construction du centre aqualudique est inscrite dans le plan piscines de Valence Romans Agglo.  Le projet prévoit 700 m² de bassins ouverts toute l’année, des aménagements ludiques, un espace bien-être et un autre de glisse. Il devrait constituer le plus grand équipement de ce type en Drôme-Ardèche.Le centre aqualudique sera construit au bord du Rhône, dans le pac de l’Epervière, à proximité du port de plaisance. .. Mais avant cela, l’Épervière deviendra un lieu de promenade et de loisirs. D’abord à un gros tas de gravats

Le début des travaux sur le site de l'Epervière à Valence, 14 septembre 2015

… jusqu’à la fin de l’année. 2015.. pour l’instant ce sont les engins de chantier de l’entreprise Oboussier qui détruisent la ferme Sarrian, puis ce sera autour de l’épicerie du camping,

RandoTS_Valence0001_Stand_CCFD.jpg

l’hôtel, les anciens locaux espaces verts d’être détruits et pour certains désamiantés. C’est une première étape de 330 mille euros ! La ville va ensuite aménager les lieux pour faciliter la promenade, permettre un meilleur accès des vélos à la via Rhona, pour la course à pied aussi. Tout cela fleurira pour le printemps prochain. Enfin des caméras de vidéo surveillance vont être installées à toutes les entrées de l’Epervière et le parking du pont des Lônes deviendra interdit à certaines heures, pour permettre à ce site et ses riverains de retrouver la nuit toute leur tranquillité au bord du Rhône.L’ancien bowling de l’Epervière deviendra centre aqualudique Ce sera à destination des nageurs ! en lieu et place de l’ancien boowling, il y aura un centre aqualudique. Et cette fois le maire Nicolas Daragon veut faire appel à Valence Romans Agglomération qu’il préside. C’est un bâtiment de 15 millions d’euros devrait voir le jour pour 2019. Les élus de l’intercommunalité en ont déjà voté le principe le juin dernier en  2015.

Le tourisme sous cette forme là en tout cas. Il n’ y aura plus possibilités de camping dans Valence et le maire compte sur les hôtels de l’avenue de Provence également. Et puis il y a le port de l’Épervière qui a besoin lui aussi d’améliorer son accueil. Des plaisanciers se plaignent de l’envasement des bateaux actuellement au bord du Rhône. Le port est géré par la chambre de commerce… mais le maire veut se pencher sur la question. Il y en aurait pour 3 millions d’euros de travaux et modernisation à apporter.

cette page a été construite d’après les informations de la presse et une  radio nationale d’état

 

 

 

Lyon 17 décembre 2017 12h guillotière Manifestation antifasciste et anticapitaliste (mise à jour le 19/12)

Depuis le moi de septembre 2016 un appel international circulait

Déjà en 2014  des militants antifasciste de Valence et Romans ont participé en novembre 2014  à la manifestation de Lyon contre le congrés du FN des divergences tant au niveau local face à l’attitude des cadres du NPA qui se laissèrent  contrôler par la flicaille Cette manifestation a laissé des traces. Et pas seulement matérielles.

À peine partie de la place Jean Macé, des vitrines de banques de la Guillotière (Lyon 7è) volaient en éclat. Après plusieurs charges de police, le cortège n’avait pas atteint son terminus. « ’échec peut être »  de cette manifestation Apparaissait de manière évidente une fracture entre les insurrectionnalistes, partisans d’actions directes, et les organisations institutionnelles, regroupées au sein du Collectif de vigilance 69 contre l’extrême droite (CV69). Au sein de ce même CV69, des divergences avaient déjà abouti aux départs de nombreux partis ou syndicats.

La Gale sont les organisateurs de la manifestation du 17 décembre.

Créé en octobre 2013, suite à la mort du militant antifa parisien de Clément Méric, le Groupe antifasciste Lyon et environs, autrement appelé la Gale, est d’abord un regroupement de militants qui oeuvraient en dehors des organisations, de manière « affinitaire », ,La Gale » revendique » une cinquantaine de membres et de sympathisants. Ce nombre pouvant monter à une centaine en additionnant le milieu squat ou certains membres de « l’Assemblée de lutte » qui se réunissait notamment à la Bourse du travail durant le mouvement protestataire relatif à la loi travail.Même si la Gale ne dispose pas d’un local, ce  groupe est basé à la Guillotière. Et c’est dans ce quartier  de Lyon que deux rassemblements ont été organisés :

Le 7 janvier 2017, un rassemblement d’une centaine de personnes contre l’implantation de l’extrême droite à Lyon.

  • Le 4 février 2017, un rassemblement d’environ 200 personnes contre la venue le même week-end de Marine Le Pen, Emmanuel Macron et Jean-Luc Mélenchon en meeting.Guillotière à Lyon
 le 7octobre 2017Les fascistes n’ont pas pris la rue :
En cette belle journée du 7 octobre 2017 les fascistes de Lyon et leur nouveau mouvement baptisé « Bastion Social » rêvaient d’une manifestation à grande échelle avec même l’invitation de plusieurs groupes fascistes d’Italie

f

.En parallèle la préfecture et le remplaçant du   maire de Lyon rêvaient d’une ville paisible ou le capitalisme y est roi et où les policiers ont tous les pouvoirs. La préfecture use de toutes les facettes possible de l’état d’urgence comme une expérimentation de la nouvelle loi sur la sécurité entrain d’être votée et imaginée par l’ ancien guignol et nouveau ministre de l’intérieur Collomb. Oui, la préfecture à d’ors et déjà donné des interdictions de manifester à nos militants sans aucune décision de justice. Des policiers sont venus chercher notre camarade sur son lieu de travail la répression  de l’aire Macron est intervenu contre les anti-fasciste voir ici
Tout ce joli monde n’est pas très loin d’avoir à peu de chose près les même idées : régression sociale, rêve d’une absence d’opposition politique, fermeture des frontières, criminalisation du mouvement social, violence, lois liberticides.. C’était oublier la détermination des militants et militantes antifascistes Lyonnais-e-s

Cette fois-ci, la Gale a déposé une proposition de parcours auprès de la préfecture, appuyée par une vingtaine de groupes antifas français signataires de l’appel. Plusieurs dizaines de militants devraient débarquer de tout le territoire mais aussi de Suisse et d’Italie (départ à 14h de la place Gabriel Péri jusqu’aux Terreaux en passant par la cathédrale Saint-Jean) il y a peu de chances que cette manifestation ne fasse pas l’objet d’un arrêté préfectoral d’interdiction.  A la veille d’une manifestation du 17 décembre 2017, la première depuis trois ans. la préfecture veut interdire la manifestation

La manifestation antifasciste interdite : nous ne nous laisserons pas faire !

nous ne laisserons pas intimider

Considérant que le droit de manifester est un droit fondamental, c’est pourquoi nous vous appelons ce dimanche 17 Décembre à nous rejoindre à 12h Place Raspail  ( la fosse aux ours)Lyon, Métro Guillotière

/ Photo Maxime Jegat

/ Photo Maxime Jegat

rebellyon.info

(image Alexis Kraland)

JPEG - 376 ko

le progrés de lyon

Rhône Lyon: tensions entre antifascistes et policiers

Peu nombreux mais très surveillés et d’ailleurs encerclés, d’après la police  une petite centaine de manifestants antifascistes et anticapitalistes se sont réunis place Raspail (ancienne Fosse aux Ours) ce dimanche midi à Lyon.

Leur rassemblement à vocation internationale n’a pas été autorisé par la préfecture d’où le déploiement des forces de l’ordre qui ne les laisseront pas partir en manifestation.

Des membres du Gale (Groupe antifasciste de Lyon et ses environs) ont pris la parole et considéré que leur mobilisation reste un succès étant donné « la répression policière » qui les concerne. Parmi ses succès, le rappel de la réquisition d’un immeuble samedi à Villeurbanne a été l’occasion d’appeler les présents à s’y rendre pour peser face à une éventuelle intervention des forces de l’ordre.

Place Raspail, la situation était très tendue. Les voltigeurs de la BAC étaient eux aussi au rendez vous. Les manifestants ont été contenus dans un périmètre bouclé avant d’être autorisés à sortir en se pliant à un contrôle d’identité. Il semblerait qu’il y ait eu des interpellations. Les policiers ont été vus, aussi, fouillant des entrées d’immeubles, visiblement à la recherche d’une personne.


rebellyon.info

Le point sur les arrestations à 19h

Pas mal de vérifications d’identité : des gens emmenés à Marius Berliet, qui commencent à sortir.
Plusieurs GAV en cours (au moins 5), potentiellement pour détention de fumigènes et port d’arme (le traditionnel couteau).

Si l’un.e de vos proches a été arrêté.e, contactez la caisse de solidarité : 06.43.08.50.32


 il n’y a pas eu  de comparution immédiate le 18 /12 pour les personnes en garde à vue qui sont encore incarcérées après le rassemblement anti fasciste  et anticapitaliste du dimanche 17décembre 2017.

Retour vers le passé en novembre  2014Récit(s) de la manifestation du 29 novembre 2014   à Lyon et quelque textes encore d’actualité et tu auras des surprises    dans ces pages ici

Romans [Drôme] samedi 16 décembre Rassemblement pour Jérusalem

 

[reçu par mail]

Samedi 16 décembre à 14 h 30 au pied de la tour Jacquemart – Place Général de Gaulle à Romans

 

A la demande de quelques adhérents et de sympathisants, nous avons pensé utile de profiter de la médiatisation actuelle sur la question de Jérusalem (suite aux décisions annoncées récemment par Donald Trump) pour sensibiliser le public à la question palestinienne.

 

Le thème principal sera donc d’informer sur la question de Jérusalem et le mot d’ordre sera « Non à l’annexion de Jérusalem ».

Il y aura une prise de parole entre 14 h 30 et 15 h et ensuite une présence de militants pour informer sur toutes les campagnes que nous menons pour le respect des droits des palestiniens avec distribution de tracts, signature de cartes postales et échanges avec le public.

Ces campagnes concernent : la reconnaissance de l’Etat de Palestine par la France, le BDS, la libération de Salah Hamouri et de tous les prisonniers politiques palestiniens, la levée du blocus de Gaza, la fin de l’occupation,  …

 

Afin d’être nombreux, nous vous invitons à transmettre cette information à vos amis, aux sympathisants et aux associations amies.

Cordialement.