Archives de l’auteur : anarchiste

Chabeuil ( 26120) le 31 mai Soirée Projection Débat sur la lutte à Bure au magasin court circuit

Projection du film « Déchets radioactifs, 100 000 ans sous nos pieds »

L’association l’Arrosoir organise jeudi 31 mai une soirée projection du film « Déchets radioactifs, 100 000 ans sous nos pieds » au magasin de producteurs Court Circuit (Rond point de la fusée à Chabeuil).

Les discussions seront animées par 2 intervenants de l’association STOP BURE 55.

- Ouverture des portes et grignotis à partir de 19h, début de la projection 20h30 – Soirée à Prix libre.

Construisez vous-mêmes une petite situation sans avenir (mai 1955)

http://pix.toile-libre.org/upload/original/1312619626.png

Ce papillon de l’Internationale lettriste diffusé en mai 1955 reprend le titre d’une métagraphie de ivan chtchegloff alias Gilles Ivain. « Tout à fait enthousiaste pour ta métagraphie Construisez vous-mêmes une petite situation sans avenir (quel titre !) », lui écrivait Guy Debord en novembre 1953.

 

Rédaction de nuit

Le tract Construisez vous-mêmes une petite situation sans avenir est actuellement apposé sur les murs de Paris, principalement dans les lieux psychogéographiquement favorables.

Ceux de nos correspondants qui auront pris plaisir à coller ce tract peuvent en réclamer d’autres à la rédaction de Potlatch.

Potlatch n° 20, 30 mai 1955.

Belgique: une fillette de 2 ans tuée par la police. Les migrants et les solidaires se sont mobilisés!

19//05/:2018

Dans la nuit du mercredi au jeudi (16-17 mai), une voiture de police a commencé à suivre une camionnette sur l’autoroute dans la région de Namur au sud de Bruxelles. Ainsi, une poursuite de 15 voitures de police a commencé qui a duré quelques kilomètres et s’est terminée à 3 heures du matin lorsque les gardes ont tiré sur le véhicule, qui, en fait, la vitre  arrière a été brisée. Lorsque celle-ci a été arrêté à l’intérieur 30 personnes, dont 4 mineurs. L’une d’elles, Mawda, une fille d’origine kurde de 2 ans, avait été grièvement blessée par une balle dans la joue. Elle mourra peu après en ambulance. Tous les autres passagers ont été arrêtés et interrogés.

Apparemment, Mawda, et  son frère de quatre ans et ses deux parents avaient déjà réussi à rejoindre l’Angleterre, d’où ils avaient été déportés en Allemagne et forcés de retourner en France. Pendant un mois et demi, ils avaient logé dans un gymnase ouvert par la commune française de Grande Synthe pour accueillir des migrants durant l’hiver (la plupart des descendants kurdes irakiens comme l’enfant assassiné). Mercredi, la famille a quitté l’Espace Jeunes du Moulin à Grande Synthe pour tenter, avec 26 autres, de traverser la frontière vers l’Angleterre, en passant par la Belgique. Les rafles continues des gares, des autoroutes et des parkings des autoroutes belges les avaient amenés à prendre un cap plus long mais était considérés comme moins dangereux.

« Mawda était une fille heureuse, très active, toujours en train de rire », se souvient sa mère. Interviewée, elle a déclaré avoir quitté le camp de réfugiés de Grande Synthe près de Dunkerque mercredi soir. « Nous avons essayé de trouver un camion en Belgique pour traverser vers l’Angleterre. Et il ajoute: « J’avais peur, la police belge a mauvaise réputation, tout le monde a peur de traverser la Belgique ». Selon la mère, citée par le journal Het Nieuwsblad, deux coups de feu auraient été tirés par la police. «Pendant que nous étions sur la route, il y a eu un premier tir, lorsque la camionnette s’est arrêtée et que les gens ont commencé à sortir, un policier a tiré une deuxième fois. Mawda, qui était dans mes bras, n’avait aucune chance.  »

Quelques heures plus tard,vers les 12 heures, ils ont appris les nouvelles de sources directes, qui n’a toujours pas fait passer sur les médias, plusieurs personnes proches de la famille et les résidents dans la même salle de gym à Grande Synthe, bloqués pour protester contre les deux directions de l’ A16. La police anti-émeute est immédiatement intervenue pour dégager l’occupation et ramener les gens au gymnase. Une vingtaine de personnes ont également été arrêtées, fouillées et interrogées par la police. Les migrants ont déclaré que l’occupation de la route était destinée à exprimer leur colère après l’assassinat de Mons. Dans la soirée,  6 ont été placés en état d’arrestation pour l’interruption du trafic.

Ce n’est qu’après cette manifestation que les médias ont commencé à diffuser les premières nouvelles de ce qui s’est passé. Au début, la police et la justice ont nié que la cause de la mort de l’enfant est due à des coups de feu,dû à une maladie antérieure ou un choc sur la camionnette  dans lequel ils voyageaient . Mais une autopsie a démenti plus tard, la fausse reconstruction des autorités , prouvant  que la mort était due à une balle de la police qui avait frappé la fille au visage.

En même temps, les migrants collectifs, les associations et la solidarité ont appelé le lendemain, le 18 mai,un meeting de protestation devant le bureau de l’immigration à Bruxelles, à proximité du parc Maximilien, pour exiger la démission immédiate du Theo Francken fasciste, secrétaire d’Etat du gouvernement Michel chargé de l’asile et des phénomènes migratoires, de dénoncer la politique migratoire du gouvernement et l’énième assassinat commis par la police et les frontières.

.

 La police assassine Les frontières tuent! Police partout, justice nulle part! Immigrer n’est pas un crime! Theo Francken démission! « Avec ces slogans, le meeting se transforma bientôt en une manifestation non autorisée de plusieurs centaines de sympathisants durant quelques heures. La police fédérale est généralement toujours très violente et autoritaire,  a été décontenancée se limite à être prêt des bâtiment institutionnelle et se contentant  à les protéger  et à suivre les personnes solidaires

en même temps un rassemblement dans la ville de Mons, à côté   du lieu de l’homicide

Le 10 juin  doit avoir lieu une manifestation nationale di solidarité avec les immigrés et les sans-papiers, anti raciste, contre Theo Francken ele parti fasciste xénophobe auquel il fait parti(NVA – Nuova Alleanza Fiamminga).

BOURG-LES-VALENCE (26500) sale temps pour les bleus

dauphiné libéré    26/05

BOURG-LES-VALENCE Il refuse un contrôle et blesse trois policiers

Hier,   un automobiliste de 26 ans originaire de Bourg-lès-Valence n’a donné aucune explication sur son comportement qui a conduit trois policiers à contracter un arrêt de travail, après une interpellation mouvementée, voire musclée.

Jeudi après-midi, après avoir refusé de se soumettre à un contrôle des policiers du groupe départemental d’intervention, le jeune homme.

Saillans ( 26340) le 27 mai projection d’un film « pied de biche » au bar l’oignon

Ce dimanche 27 mai à 20h30, le bar associatif l’Oignon à Saillans propose la projection de « Pied de biche » en présence de  Mathieu Quillet.

Des squats, un quartier occupé et leurs habitants dans une ville de taille moyenne en France.
« Une certaine envie de victoire, que ce ne soient pas que des utopies. Ok, on a des idées révolutionnaires, mais comment elles ne restent pas juste dans un entre soi, comment on les partage avec des gens, et comment on n’est pas mis en défaite. »

Ouverture du café dès 19h30.

valence(26000 ) Le 25/05 à 18h30 au Laboratoire Soirée de soutien aux inculpé.es de Briançon

la CNT 26 invite à cette soirée  tous celles  et ceux pour  qui le mot solidarité a un sens et peut être celles et ceux qui  veulent construire des complicités avec  ELE .Théo.Bastien

                          De Rome à Briançon, Solidarité sans frontières »image trouvé..

Rappel : Le 22 avril 2018, un cortège spontané est parti de C
rappel : Le 22 avril 2018, un cortège spontané est parti de Clavière (Italie) vers
Briançon (France) pour affirmer une solidarité en acte avec les exilés qui traversent
quotidiennement cette frontière et rappeler que les Alpes ne sont pas et ne seront jamais
le terrain de jeu des fascistes.
Bastien, Théo et Éléonora, interpellés au terme de cette marche, sont poursuivis pour
aide à l’entrée d’étrangers en situation irrégulière sur le territoire national en bande
organisée. Leur procès aura lieu le 31 mai À Gap

La solidarité aux trois de Briançon pose des questions
-« -« Comment se comporter face à la répression étatique ?
* La combattre, diront tous les esprits révoltés – Oui mais justement, quelle
est la différence entre lutter contre ce monde dans son ensemble
* combattre contre tous les enfermements, et exprimer sa solidarité envers certaines personnes,
frappées par la répression étatique
(sachant que cette deuxième démarche, celle de la solidarité, ne peut pas être séparée de la lutte plus globale contre ce monde »

Un apéro avec grignotages vegan et une projection d’un film de Nicolas Drols :
« sur les toits «
c’est au laboratoire anarchiste 8 place saint jean à 18h30

le  tract de la CNT 26 en pièce jointe

Qui oublie les prisonniers de la guerre sociale , a oublié cette guerre elle-même (banderole lors de la manif’ du 14 juin 2016 – Paris)  lu sur Attaque.. noblogs.org

Fleury-Mérogis, France : Faune et parloirs sauvages à la prison pour femmes

notes très tristes qui amplifient la rage:valence centre pénitentiaire: « Ils jetaient des colis à des détenus à Valence : plusieurs interpellations Lundi après-midi, les policiers de la brigade anticriminalité de Valence ont, en l’espace de quelques minutes, interpellé en flagrant délit, cinq individus devant le centre pénitentiaire. Des colis venaient tout juste d’être projetés dans le centre pénitentiaire de Valence. 14h40, deux jeunes hommes de 19 et 20 ans, dont l’un est domicilié en Ardèche, ont été arrêtés par les policiers. Placé en garde à vue, le duo a été, mardi, déféré au parquet de Valence. »


sans attendredemain

Samedi 19 mai, au premier croissant de lune, une quinzaine de personnes et un chevreuil se sont rassemblées derrière la maison d’arrêt des femmes de fleury-Merogis.

A coup de pétards et de slogans, nous attirons l’attention des prisonnières: Liberté ! Solidarité ! Les barreaux de l’état ne vous briseront pas ! Crève la taule ! Brique par brique et mur par mur, nous détruirons toutes les prisons ! Puis un feu d’artifice s’élève et gronde, brisant les murs de l’isolement. Les prisonnières se manifestent à leur tour, donnant plus de voix à nos slogans. Entendre ces cris de femmes déterminées nous donnent des frissons et une joie qui semble retentir de chaque côté des murs. Après 20 minutes de ces chaleureux échanges, nous repartons, sourire aux lèvres, laissant derrière nous un petit feu de joie, comme un symbole.

Nul n’a troublé cet intense moment…si ce n’est notre camarade chevreuil.

Solidarité avec les femmes, les personnes trans et non-binaires incarcéres et invisibilisées !

Liberté pour toutes les personnes enfermées dans les différentes geoles de l’état (hôpitaux psychiatriques, zones d’attente, centre de rétention administrative, prions…) !

[Publié sur indymedia nantes, mercredi 23 mai 2018]

Madrid (Espagne) : Deuxième rencontre contre le système techno-industriel et son monde

attaque noblogs.org publié le 24 mai

Deuxième Rencontre Contre le Système Techno-industriel et son monde

25, 26 et 27 mai au CSO La Gatonera (C/ Valentin LLaguno 32, métro Oporto (Madrid))

Les 25, 26 et 27 mai aura lieu la « deuxième rencontre anarchiste contre le système techno-industriel et son monde ». Un lieu où nous rencontrer, nous connaître, débattre, diffuser et aiguiser nos idées contre l’organisation industrielle du monde. Au long de ces journées il y aura un espace pour les éditeurs et des cantines 100 % végétariennes.

Nous voulons que cette rencontre soit un outil de plus pour combattre le système techno-industriel, parce que nous pensons que le terrain d’affrontement doit se concentrer sur le domaine du progrès technologique, puisque c’est ce qui trace les dynamiques actuelles et futures de la domination sur tous les aspects de notre vie : sociaux, politiques, économiques et environnementaux. Car contrairement à ce que défendent de nombreux gauchistes, un système technique ne pourra jamais être neutre, car indissociable d’un système économique, politique, environnemental et social.

Le projet techno totalitaire a déjà plus de deux siècles. Un projet qui donne le coup de grâce à ce qui reste d’imprévisible, surprenant et digne dans le monde. Une attaque contre tout ce qui s’oppose à l’organisation technique du monde. Une attaque contre l’autonomie, la liberté et la biodiversité.

C’est pour cela que nous devons refuser l’idéologie du progrès, celle qui rejette tout ce qui n’est pas quantifiable ; qui a un point de vue mécaniste sur les êtes vivants et la nature ; qui fait les louanges du déterminisme scientifique et transforme tout le vivant en marchandise.

Chacun des progrès du système techno-scientifique-industriel, qui a transformé le monde en un immense laboratoire dans lequel tout et tous sommes des cobayes, nous rapproche chaque fois un peu plus de la colonisation de nos corps (qui sont fragmentés en prothèses interchangeables), et de nos esprits (convertis en machines programmables algorithmiques). L’avancée des dites technologies convergentes NBIC (Nanotechnologie, Biotechnologie, Information et Communication), un projet du pouvoir né de la technocaste américaine qui cherche le contrôle des éléments (en étant capable de modifier leurs caractéristiques naturelles) et des processus matériels de la vie sous toutes ses formes : animales (humains et non humains) et environnementales, est en train de réussir à contrôler le vivant de façon absolu.

On remarquera dans ce processus la reproduction biotechnologique de l’être humain, à travers ce qui se cache dans l’eugénisme. En suivant la logique de l’organisation industrielle, la procréation devient une énième partie de cette dernière.

Nous parlons de la production industrielle de bébés, dans laquelle le laboratoire devient en même temps une usine (où l’ouvrier-biologiste-technicien transforme le bébé en un produit standardisé, manipulé et personnalisé à la demande des patrons de l’ordre existant) et un supermarché où les parents choisissent l’article, euhh non … le bébé, désiré et programmé. Les techniques ne manquent pas pour cela, depuis la PMA (procréation médicalement assistée), en passant par la FIV (fécondation in vitro) ou encore le diagnostic préimplantatoire. Ce business brasse déjà des milliers de millions partout dans le monde, et l’Espagne n’est pas à la traîne.

En rajoutant à cela les avancées technologiques continuelles, on voit se réaliser le grand rêve scientifique de détruire tout le vivant, tout ce qui est imparfait, qui n’est pas quantifiable, qui est incontrôlable, désordonné, tout ce qui échappe à leur logique mécaniste. La création de l’humain-machine, du monde machine, est chaque jour plus proche, si ça n’est pas déjà là.

Tout développement du système techno-industriel s’accompagne de grandes quantités de nocivités, détruisant l’environnement et les conditions de vie d’une façon brutale au cours des deux derniers siècles. Le système soumet tout ce qui est vivant à une dose d’intoxication continuelle qui prend des formes multiples, depuis les produits chimiques (qui sont la cause d’une grande partie des maladies modernes), les ondes électromagnétiques, les radiations nucléaires, et un très grand etcétéra qui semble ne pas avoir de fin dans un monde artificialisé et programmé. Et c’est ce même système qui impose les solutions technologiques pour compenser ses propres dommages. Tout cela sous les applaudissements stupides de la gauche progressiste qui pense qu’il est possible d’en finir avec cette dévastation en soutenant l’État, ou par d’autres moyens réformistes.

Nous pensons qu’il y a deux façons d’agir face à la dévastation : nous pouvons implorer les autorités pour qu’elles nous fournissent des tablettes d’iode pour limiter les effets nocifs d’un accident nucléaire ou lutter pour la fermeture des centrales nucléaires ; nous pouvons soutenir la recherche sur les implants neuronaux pour réduire les effets du Parkinson, ou lutter pour détruire les pesticides chimiques qui sont la cause principale de cette maladie ; nous pouvons soutenir la reproduction artificielle de l’être humain ou lutter contre les usines de produits chimiques qui stérilisent la population… La vieille dichotomie : réforme ou révolution. Nous croyons qu’il n’y a pas de choix. Il n’y a rien à réformer dans le monde machine. Le changement climatique ne pourra pas se résoudre avec un État fort, et la biotechnologie ne mettra pas un terme à la faim dans le monde. Les problèmes crées par le progrès ne peuvent pas se résoudre par de nouvelles avancées technologiques, car cela ne fait que nous rapprocher un peu plus de l’abîme. Il n’y a que la lutte pour l’autonomie que nous fera récupérer nos vies et la liberté en finira avec la dévastation. Aucun Dieu ne nous sauvera, ni religieux ni scientifique. Nous ne pouvons pas nous empêcher d’observer, bien que brièvement, qu’une autre des caractéristiques de ce système de contrôle social, afin que tout le vivant soit manipulé, standardisé et programmé selon le bon vouloir des patrons, c’est la nécessité du contrôle absolu. Et dans ce contrôle absolu les avancées technologiques jouent un grand rôle : les Smart Cities, les réseaux sociaux, la biométrie, les test ADN. Nous pourrions dire que grâce au Big Data et l’Internet des objets, le mouvement ou l’activité de n’importe quel être vivant ou objet sont totalement contrôlés.

Nous rajoutons enfin que nous ne voulons pas contribuer au catastrophisme, que nous considérons comme un outil utilisé surtout par des groupes de la gauche (parlementaire jusqu’aux anarchistes) afin de perpétuer l’aliénation. Face à une vie chaque fois plus artificialisée et superficielle il ne nous reste que la lutte, un long chemin vers la liberté et l’autonomie sur lequel il n’y a pas de place pour le dialogue ou la négociation avec ceux qui ont déclaré la guerre au vivant et à chaque être exploité et dépossédé.

Des anarchistes contre la nocivité

PROGRAMME :

-Vendredi 25 mai
19h Présentation-débat : « Smart City … l’invasion digitale dans la vie quotidienne », par Negre i Verd.

-Samedi 26 mai
12h Présentation-débat : « Luddites, au-delà de la destruction de machines », par le collectif Moai.

16h Atelier pratique : « Laisser des traces ? », par Negre i Verd.

18h Présentation-débat : « Fukushima, l’énergie nucléaire et son monde : une épidémie d’ignorance », par Thierry Ribault.

20h « Les nouvelles frontières de la marchandisation du vivant et de la biologie reproductive », par des compagnonnes italiennes des collectifs «Resistenze al nanomondo » et « Le Ortiche ».

-Dimanche 27 mai
12h Présentation-débat : « Expériences dans la lutte contre la nocivité et le développement techno-scientifique : l’exemple italien », par des compagnonnes italiennes des collectifs «Resistenze al nanomondo » et « Le Ortiche »

16h Atelier pratique : « Médecine naturelle »
18h Présentation-débat : « techno-science et société industrielle », par le collectif «Cul de Sac »