Valence[Drôme] La chasse aux jeunes est ouverte (MAJ)

  France bleu  Drome Ardèche vendredi 22 septembre 2017 à 6:37

Valence : deux jeunes sous les verrous suite à un rodéo sauvage

Deux adolescents de seize et dix-sept ans ont été emprisonnés en attendant leur passage devant le tribunal pour enfants. Le 27 août dernier, ils avaient participé au rodéo sauvage dans les rues de Valence et Bourg-lès-Valence, dans la Drôme.

Le 27 août dernier, un rodéo sauvage avait eu lieu à Valence. Une vingtaine de motards, pendant plus d’une heure, avaient sillonné les rues de Valence et Bourg-lès-Valence.

Le maire de Valence avait demandé un renforcement de la loi contre les auteurs de ces rodéos sauvages et lancé un appel à tous les maires de France pour le soutenir . Excédé par la multiplication des incivilités des jeunes en deux-roues, Nicolas Daragon avait demandé à l’État de prendre ses responsabilités afin de pouvoir saisir et détruire les motos et scooters des délinquants.

Une véritable équipée sauvage

Le dimanche 27 août, en fin d’après-midi, une véritable équipée sauvage avait déferlé sur Valence et Bourg-lès-Valence. Une vingtaine de motards , à pleine vitesse , faisaient des roues arrières, prenaient les ronds-points en sens inverse et circulaient de front sur les deux voies pour bloquer le passage aux autres véhicules.

Ils avaient grillé des feux rouges, pris des rues en sens interdit et circulaient sur les trottoirs avec la volonté de faire une véritable démonstration de force et de narguer la police. Certains jeunes dressaient leur majeur en passant devant les caméras de vidéoprotection.

Plus d’une heure de rodéo

Partis du rond-point de Bourg-lès-Valence vers le centre Leclerc, ils avaient remonté l’avenue de Lyon, les boulevards de Valence, dans un sens puis dans l’autre puis l’avenue de Romans jusqu’au rond-point du McDonald’s. Ils avaient fait un tour vers le quartier Fontbarlettes puis la Chamberliére avant de redescendre au Polygone et d’aller narguer les gendarmes en passant sous la caserne du groupement de gendarmerie sur l’avenue Clemenceau .

Deux jeunes interpellés

Deux de ces jeunes ont été interpellés ces derniers jours et ont pu être facilement identifiés. Ils ne portaient pas de casque et avaient déjà été condamnés. Ils ont été reconnus grâce aux images des vidéos surveillance .Les deux adolescents avaient déjà fait l’objet de condamnations et ce sont leurs sursis qui ont été révoqués, trois mois pour le jeune de seize ans, deux mois pour celui de dix-sept ans.

Ces deux garçons sont donc en prison en attendant leur passage au tribunal pour enfants pour ce rodéo. L’ enquête se poursuit pour identifier le reste de la bande


Dauphiné libéré du 23Février

une troisième personne a été arrêté par la BAC dans la nuit jeudi 21 septembre au 22.


Note:: Nous ne laisserons pas cette ville aux mains de la bête immonde

solidarité avec les  inculpés du 27 août

[Valence] Manif contre la « loi travail 2 »

indymedia grenoble

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À l’appel de l’intersyndicale CGT, FO, Solidaire, FSU, CNTSTP 26…

Le 21 on revient !

RDV à Valence devant le Conseil de Prud’Hommes Pour :
- Le retrait des ordonnances Macron
- L’abrogation de la « loi travail »
- Vivre dignement de notre travail
- La protection sociale pour tous
- Des services publics de qualité

Après le succès des grèves et manifestations du 12 septembre, les organisations départementales CGT, FO, Solidaires, FSU, CNT et Front Social appellent à une nouvelle journée de grèves et manifestations dans toutes les entreprises et tous les services publics ce jeudi 21 septembre.

RDV devant le Conseil de Prud’hommes, 7 avenue de Verdun à Valence à 14h.

Par la lutte classe contre classe, par la mobilisation, obtenons le retrait de ce projet de régression sociale et gagnons de nouveaux droits.

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Paris, France : Compte-rendu du premier jour du procès de la keufmobile brûlée – Mardi 19 sept 2017

sans attendre

Mardi 19 sept 2017

Un CR rapide du premier jour du procès de l’affiare du « Quai de Valmy » : ajournement au lendemain et déménagement de salle

Les gens sont venus nombreux devant la 14e chambre au TGI, avant même l’heure prévue pour l’audience.

Les journalistes aussi. Ils tirent d’abord le portrait à ceux qui s’y prêtent, puis ils mitraillent et filment sans retenue quand les personnes convoquées sont appelées à entrer les premières dans la salle d’audience. Leurs micros planent au-dessus des gens qui attendent. Une partie de la foule proteste et ne se laisse pas faire : des parapluies sont ouverts et brandis pour les empêcher de prendre des photos, les têtes connues ou reconnaissables se font chahuter, des autocollants seront collés aux objectifs des caméras. Lors de la sortie des prévenus par une porte latérale, un mouvement de foule bienvenu permettra d’ailleurs de jarter les journalistes qui se pressaient pour dérober des images.

En attendant, les gens se pressent devant les barrières fermées et commencent lentement à s’échauffer en demandant une salle plus grande.

Les baveux entrent au fur et à mesure, nombreux eux aussi. Ils seront au moins 18 en robe dans la salle.

Les keufs font rentrer la presse judiciaire jusqu’à remplissage du box, puis les familles au compte-goutte en demandant à voir des pièces d’identité. Les keufs insistent pour faire le tri, histoire que seuls « les très proches », « les parents », « le père et la mère » rentrent dans la salle, mais finissent par laisser rentrer quelques proches sans demander de pièces d’identité. Enfin, ils annoncent encore 5-6 places pour les autres personnes du public.

A l’intérieur, il reste quelques places assises et pas mal de place debout, mais une très grande partie du public reste dehors, avec le reste des journalistes.

Une fois les juges assis, un avocat prend la parole pour se plaindre du manque de place et exiger une salle plus grande « au nom de tous les avocats de la défense ». Une personne du public fait remarquer que la salle est aussi bien trop petite pour accueillir les proches et le public qui veut assister au procès. Le juge lui rétorque sèchement qu’elle n’a pas la parole.

Mais en réponse à la remarque du baveux, l’audience est suspendue une première fois.

Elle reprend après une bonne demi-heure, on apporte des chaises supplémentaires pour les avocats et pour faire entrer des journalistes en plus.

Quand le juge essaie de commencer à faire l’appel des prévenu.e.s, les baveux renchérissent : les conditions du procès ne sont pas « dignes d’une défense normale », les empêchent d’avoir accès physiquement à leurs dossiers. Un baveux remarque qu’il faut laisser les journalistes rentrer parce qu’il s’agit d’une « affaire symbolique » qui implique la violence de la police. Un autre prend le procureur à parti en estimant qu’il est responsable de l’audiencement dans une salle trop petite. Les journalistes font pression à leur tour pour que ceux restés dehors puissent rentrer et menacent de tous sortir.

Le bâtonnier, que les baveux ont fait venir, demande un minimum de sérénité et que les remarques des avocats soient prises en compte. Le juge répond que c’est le cas vu les chaises en plus. Il parle de faire rentrer les gens du public par rotation toutes les deux heures en insistant sur la « sérénité » dans laquelle le procès doit se dérouler.

Heureusement entretemps, le slogan « une grande salle » dehors a bien pris, et on entend plus le public que les appels du juge au calme. D’ailleurs, pendant toute la durée de l’audience, on entendra de l’intérieur de la salle les slogans scandés par le public resté dehors, qui continue à réclamer « une grande salle » (quand ce n’est pas la sainte chapelle !) et la liberté pour les prisonniers.

Les avocats se lèvent pour protester officiellement.

Un des baveux fait remarquer qu’il sera impossible de faire tourner le public : comment choisir parmi eux ? gérer les gens qui ne voudront pas sortir ? faire tourner la presse aussi ? Il demande une suspension d’audience pour la journée et une reprise dans une salle plus grande le lendemain.

Un autre remarque que même avec les chaises en rab, les baveux n’ont pas accès à leur ordinateur, et ne peuvent pas ouvrir un dossier correctement, alors que le proc est confortablement perché sur son siège et a accès à un ordi : il n’y a pas d’égalité des armes. Le juge lui demande de ne pas en faire un foin, et affirme que ce problème se résout toujours en pratique.

Un avocat menace de déplacer l’argumentaire sur le terrain juridique et en appelle à la convention européenne des droits de l’homme et aux droits de la défense. Il parle de déposer des conclusions en nullité si le procès se poursuit dans de telles conditions.

Le juge le prend au mot : il dit que le tribunal est prêt à délibérer sur les demandes de renvoi comme sur les conclusions en nullité si elles sont formulées, après avis du proc. Les avocats confirment.

Le proc n’a pas d’avis sur la demande de renvoi vu qu’il ne connaît pas la disponibilité des salles. Il tient quand même à dire que « dès la première minute, les droits de la défense ont été respectés » et insiste sur les efforts du tribunal, en estimant que c’est la faute des avocats qui se sont rajoutés à la liste prévue, et que de toute façon le public et les journalistes ont assez de place en l’état.

La salle grogne à l’intérieur pendant que ça crie toujours dehors.

L’audience est suspendue à nouveau pour que les juges statuent sur la demande de renvoi.

À leur retour, les juges annoncent que l’audience est finie pour la journée, et reprendra demain (mercredi 20 septembre) à la 16ème chambre à 13h30, un étage en-dessous. On s’attend à une chambre de correctionnelle (comme aujourd’hui) avec sans doute plus de place pour les baveux et au mieux 20-30 personnes en plus dans le public, mais peut-être pas plus de « sérénité ».

En tout cas le public, réuni à l’extérieur de la salle, se fait raccompagner par les keufs à l’extérieur du TGI sous les slogans, dont feu aux prisons et liberté pour tout.e.s.

Procès tous les jours à 13h30
jusqu’au 22 septembre (au moins)
16e chambre du TGI de Paris, métro Cité.

[Publié sur indymedia nantes, mercredi 20 septembre 2017]

Valence ( drôme)Un détenu condamné hier à deux mois ferme

Dauphiné libéré 19 septembre

Un  détenu de 19 ans  condamné à deux mois d’emprisonnement supplémentaire ferme pour recel de téléphone portable dans le cadre  d’une procédure  de comparution immédiate

Après  ce début septembre voir ci dessous, le temps des enfermeurs de la répression arrive:

Valence, France : Révolte à la prison et solidarité de

l’extérieur..

 solidarité avec tous les prisonniers en révolte et aussi complicité  active  contre ce monde plein de caméras de surveillance  !

 

Bâle, Suisse : Coups de schlass en solidarité avec les inculpé.e.s de l’incendie de la voiture de flics en procès à Paris

Printemps 2016 en France : dans le cadre de l’annonce d’une réforme du marché du travail, des milliers de personnes descendent dans les rues de différentes villes, occupent, bloquent, font grève, attaquent les flics et démolissent les structures du pouvoir. Pour certains il s’agit de lutter pour leurs droits au sein de l’esclavage salarial, d’autres se font moins d’illusions et savent qu’il n’y a rien à défendre dans ce monde de travail et de lois et passent directement à la contre-attaque. Le 18 mai 2016, lorsque les flics manifestent place de la République contre la violence anti-flics, une de leurs voitures est incendiée sur le quai de Valmy. A la suite de cela, plusieurs personnes sont inculpées, certaines restent de longs mois en prison, dont une pendant plus d’un an. Du 19 au 22 septembre aura lieu le procès contre neuf personnes à Paris, mais un inculpé n’a jamais pu être retrouvé.

En gardant cela à l’esprit et plein de mauvaises intentions, nous sommes sortis ces derniers jours et avons crevé les pneus de véhicules des entreprises suivantes :

  • Bouygues : ce groupe de BTP construit et gère notamment des prisons et des centres de rétention en France. Par ailleurs, cette entreprise participe également à la construction du centre de nanotechnologie à Grenoble, garde le site protégé d’essai de plantations transgéniques en plein air dans les environs de Zurich, fait partie des entreprises des médias, etc… Pour celles et ceux qui veulent en savoir davantage sur cette entreprise et ses tentacules, nous leur recommandons un article dans le premier numéro de Rhizom.
  • Adecco : agence intérim. Parce que « le travail est à la vie ce que le pétrole est à la mer », comme l’a si bien formulé un tract distribué pendant la loi travail.

Plus loin, à Saint-Louis en France (aucune frontière ne nous arrête, ni dans nos têtes, ni dans les actes) :

  • Une voiture du conseil départemental du Haut-Rhin : administration. Nous méprisons tout simplement l’autorité.
  • Enedis : société d’électricité française qui ne cesse d’être la cible d’attaques en raison de son implication dans le projet de poubelle nucléaire à Bure ou pour l’installation des compteurs électriques intelligents Linky. La surveillance et le contrôle arrivent dans nos apparts.

Ceci nous ramène une nouvelle fois à Bâle :

  • Siemens : pour leur travail en faveur d’une surveillance élargie, par exemple les systèmes connectés de vidéo-surveillance, de reconnaissance faciale…
  • ABB : entreprise leader en matière d’automatisation et d’énergie, qui a diffusé ses robots dans le monde entier au service du capitalisme et préférerait y voir les gens que les machines.

Pour finir, encore une voiture d’Implenia, d’Alpiq et d‘EAGB qui participent activement à l’élargissement peu apprécié de la prison de Bässlergut.

Les formes et les structures du contrôle, de la surveillance et de l’enfermement sont partout. Faisons en sorte de l’être aussi.

Bien. Assez parlé. En avant pour d’autres actions.

[Traduit de Barrikade.info, 18.09.2017]

Besançon, France : Sabotage dans l’artère commerciale du centre-ville

https://sansattendre.noblogs.org

La presse locale nous apprend que ce samedi matin 16 septembre, commerces et entreprises du centre-ville ont eu une mauvaise surprise. Des câbles téléphoniques longeant les murs de la principale artère commerciale de la ville (la Grande Rue) ont été sectionnés à plusieurs endroits, paralysant toutes les transactions bancaires et impactant fortement les connexions internet du secteur. A 14h, les câbles n’étaient toujours pas réparés par les techniciens d’Orange.

Profit et « bonnes affaires » n’ont donc pas été au rendez-vous annoncé durant ce samedi riche en événements officiels, entre le festival de musique classique, « Livres dans la Boucle » et la Journée du Patrimoine.

Vive le sabotage ! A bas l’économie !

Athènes[grèce] Manifestation et affrontements pour Pavlos Fyssas

Pavlos Fyssas a été poignardé à mort en septembre 2013  par un membre( sympathisant)  du groupe néo-nazi Aube dorée.

Samedi 16 septembre 3000 manifestants ont défilé au centre d’Athènes pour Pavlos Fyssas et   aussi pour Heather Heyer, qui a été assassiné par un Nazi au mois d’août à Charlottesville. La manifestation a continué vers l’ambassade des États Unis, alors qu’auparavant la manifestation a essayé d’atteindre le local d’Aube Doré.La police s’est empressé à défendre le local d’Aube Dorée Des unités et des camions de la police anti-émeute avaient été déployés au préalable pour  les accès au bâtiment..Les affrontements ont éclaté lorsque plusieurs dizaines de manifestants cagoulés  aux cris de « Pavlos est vivant ! A bas les nazis ! » se sont détachés du cortège et se sont rendus vers le siège d’Aube dorée Des grenades  et des cocktails Molotov et on déplore trois arrestations

 

Une autre manifestation est prévue lundi dans la commune ouvrière de Keratsini, en banlieue d’Athènes, où Pavlos Fyssas, connu sur scène sous le nom de Killah P., a été poignardé à mort le 18 septembre 2013.

Valence(26000) Linky le cadeaux empoisonné informations:

note du laboratoire: il semblerait que les nombreuse associations citoyennes opposées au linky  restent silencieuse pour faire  des actions collectives( rassemblement en opposition aux mairies de ces deux villes qui cautionnent l’installation du  linky) sur une place publique sur Valence ou Bourg les valence depuis l’annonce parue  dans le Dauphiné libéré du 4 /09..

http://drome-ecobiz.biz

Pour accompagner l’entreprise de pose dans le recrutement et la formation des futurs poseurs, Enedis en Drôme-Ardèche a lancé en juin la Linky Académie, un dispositif levier pour l’emploi.

L’objectif : aider l’entreprise à recruter des candidats en collaborant avec des structures d’insertion et le Pôle Emploi. Ce projet permet la création d’un réel écosystème territorial d’emploi et d’insertion, d’autant que la formation peut être prise en charge à 100% pour les demandeurs d’emploi.
Une partie des recrutements sera faite à partir de la Méthode de Recrutement par Simulation proposée par Pôle Emploi : les compétences sont testées via des mises en situation plutôt que par le seul CV, ce qui favorise l’égalité des chances. la Linky Académie été crée pour accompagner l’entreprise de pose dans le recrutement et la formation des futurs poseurs,

Près de 150 candidats étaient présents lors des informations collectives de Juillet de la Linky Académie.

Le déploiement de Linky, nouvelle génération de compteurs d’Enedis, Les changements de compteurs commenceront le 2 novembre, avec les secteurs de Valence et de Bourg-lès-Valence. Puis l’opération s’élargira à d’autres communes drômardéchoises. Le bassin de Montélimar devrait être concerné l’an prochain, celui d’Aubenas quelques mois plus tard.. Entre fin 2017 et 2021, ce sont 500 000 compteurs qui seront posés en Drôme-Ardèche.avant la fin d’année 2021,  dans le cadre  de la loi sur la transition énergétique(1). » Linky, c’est le projet industriel d’Enedis, une transformation numérique en profondeur »estime la directrice territoriale Drôme- Ardèche d’Eenedis

Une  formation collective a  déjà  eu lieu le 1er août 2017 au  Pôle Emploi de Valence..


le laboratoire : Le texte diffusé pour le débat du mercredi 24 mai 2017 à 18h30 Autour de « Linky, le cadeau empoisonné »

« Août 2015, la loi dite « transition » énergétique est définitivement adoptée par une poignée de députés. Parmi les diverses farces et attrapes de cette loi, l’obligation pour ERDF d’équiper d’ici 2021 toute la France avec un nouveau compteur électrique dit intelligent, le linky, mais sans sanction en cas de refus pour les particuliers. Dans la bouche de ses promoteurs, ce gadget est censé permettre la réduction de la consommation d’électricité. Dans la réalité, il est un seuil supplémentaire dans la dépossession de nos vies par des technologies nous rendant esclaves. Concrètement, linky va renforcer la surveillance généralisée, le brouillard électromagnétique, la précarisation des plus pauvres (hausse des coûts), la surconsommation (data center énergivores) et in fine l’illusion morbide que seule la technologie peut nous sortir de l’impasse. En définitive, il n’y a derrière tout cela qu’une gigantesque promesse de business pour les industriels (marché des données, connectique) et une augmentation du contrôle social des populations par l’État.

Depuis le début des installations en décembre 2015 les refus individuels et collectifs se sont multipliés partout en France. Face à un impitoyable rouleau compresseur (intimidations, menaces, mensonges d’ERDF et des sous-traitants) les gens s’organisent pour empêcher la pose. A Grenoble, une opposition ferme a vu le jour. Notamment, un compteur installé de force a été démonté et ramené par le collectif Grenoble anti linky lors d’une séance du conseil métropolitain le 03 février 2017. Un procès contre l’installation chez une personne électrosensible d’un compteur d’eau communicant a aussi été gagné. »

Florac (Lozère) : Tags en série contre les compteurs Linky

/attaque.noblogs.org

Midi Libre / Vendredi 15 septembre 2017

Des murs de Florac ont de nouveau été la cible de graffitis anti-Linky, le nouveau compteur électrique communicant. Ont été ciblés la façade de la mairie de Florac-Trois-Rivières, l’école privée Sainte-Lucie, le presbytère, ainsi que trois propriétés privées situées à proximité de la mairie.
Le symbole que représente la mairie a été visé pour la deuxième fois en quelques semaines. La municipalité rappelle que « la loi ne permet absolument pas à une commune d’intervenir pour ou contre la pose des compteurs Linky »(1).

Une enquête est en cours, menée par la gendarmerie locale, avec le renfort de la cellule d’identification criminelle de Mende.

(1) c’est bien évidemment faux

Grenoble[3800] à Antigone le 21/10/17 Résistance à l’informatisation et critique du travail

Vous trouverez en PJ une affiche et un texte qui concernent une journée organisée à Antigone à Grenoble et qui réunira plusieurs intervenants.Il y sera question de résistance à l’informatisation des métiers et de critique du travail. Il sera également question du mouvement révolutionnaire en Espagne et notamment en Aragon qui commença à expérimenter des manières inédites de vivre et de faire, remettant en question le monde capitaliste structuré par le travail marchandise.

Notez et retenez donc dès maintenant la date du 21 octobre à partir de 14h pour cette rencontre autour du collectif Ecran total suivie d’un exposé-discussion avec Myrtille Gonzalbo, auteure des Chemins du communisme libertaire en Espagne, 1868-1937.

 

Merci de faire suivre,

Cliquez ici pour en savoir plus sur cette journée et les intervenant-es-es

 

Affiche ici