Depuis déjà un mois de la disparition forcée de notre compagnon Santiago Maldonado. La gendarmerie l’a clairement arrêté, l’a séquestré et il a disparu. L’état et sa force répressive est évidemment responsable. A partir du 1/9 répondons à l’ appel d’un mois extensif d’une agitation et actions depuis l’insurrection par la révolte et le chaos.
Un feu diffus et des explosions de bombes jusqu’à ce qu’ils(elles) nous rendent Santiago.
Une cellule nihiliste par la révolte expansive.