Samedi 22 Novembre, Manifestation nationale contre les violences policières

deux

Marseille avec un tract aussi

tract distribué à lyon ,valence

Et maintenant ?

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Un gendarme crie le 26 octobre à 2h du matin « il est décédé, le mec ..Là c’est vachement grave ….Faut pas qu’ils sachent »
Les journalistes, les jours qui suivent la mort de Rémi Fraisse, sont allés chercher un frère de Vital Michalon tué lors d’une manifestation à Creys Malville en 1977, pour parler des violences policières, et au passage condamner « la violence des casseurs ».

Les journalistes au service de l’état nucléaire défendent leur monde, dans lequel la mort potentielle de millions de personnes est présente chaque jour (c’est le « fonctionnement normal » de l’utilisation du nucléaire). Après Tchernobyl et Fukushima il faut que le mensonge continue.

Rémi Fraisse tué par les forces de l’ordre économique de l’état comme tant d’autres avant…
Nous n’oublierons pas le combat de Rémi, continuons à faire vivre celui des Zadistes, celui des NO-TAV, celui des anti-nucléaire conséquent, celui des prisonnierEs, celui des mal logéEs, celui de ceux qui n’ont pas le bon papier( sans-pap.. sic !) celui contre les fascistes, mais aussi contre le monde qui les arme et les protège.

ni silence, ni oubli

des anarchistes