Samedi 24 août à 17h30 300 manifestants ont réussi à défier et résister face aux canons à eau , grenades lacrymogéne LBD 40mm, grenade désencerclement, jusqu’à 20h30
Dans la soirée de samedi 24 août à l’entrée du Petit Bayonne, des journalistes se sont vus confisquer leur matériel de protection. Ekhi Erremundegi, du quotidien basque Berria a même dénoncé avoir été « braqué » par des agents de la BAC. Une atteinte à la liberté de la presse. dans une ville Bayonne envahi par des diverses forces de soutien aux capitalistes dont certaines stars réunis à Biarritz pour un G7 . Le dispositif dés le 23 aout mis en place à Bayonne ( Guardia civil, douane, garde mobile, CRS, bac de la région parisienne , motocycliste voltigeur) L’enjeu de ce déploiement policier Français et Espagnol dans tout le pays basque nord et les landes est pour certain manifestants étaient pour continuer à casser toute velléité de lutte contre le tourisme .Cette manifestation dans une ville de 50000 mille habitants a montré que la résistance est possible face à certain défaitisme. Durant la nuit du 24 au 25 août dans le camp NO G7 des batailles jusqu’à 7 heures du matin contre les flics qui venaient interpeller des militants, entre autre des .organisateurs du contre sommet
Le dimanche 25 le RDV prévu pour approcher la zone rouge à la « chambre d’Amour » à Anglet a été annulé dans la mâtiné du dimanche et deux rassemblement ce dimanche pour demander la libération des interpellé-e-s
Manifestations pour demander la libération des personnes arrêtées
Tension contenue sur la côte basque. Alors que la route de la corniche a été fermée à la circulation et les véhicules fouillés, une manifestation spontanée de près de 300 personnes s’est formée ce dimanche à Hendaye. Dans le calme, elle a réclamé la libération des militants anti-G7 interpellés ces derniers jours. Elle s’est terminée au port de Caneta vers 15 heures, après avoir déambulé dans les rues, encadrée par des policiers.
A Bidart, ce sont des Gilets jaunes qui ont été encerclés devant un supermarché pendant près de trois heures. D’après la presse se trouvant sur place, en plus d’une cinquantaine de militants, deux observateurs d’Amnesty International (AI) et des journalistes auraient été fouillés, contrôlés et retenus, soit au total près de 80 personnes.
Les deux personnes arrétées le jeudi 22 août ,soupçonnées d’avoir dégradé des radars, posés des banderoles et tagués des messages revendicatifs en l’honneur des gilets jaunes et des black blocks Dans l’attente de juger ces deux personnes, le tribunal a ordonné leur placement sous contrôle judiciaire, comme l’avait demandé le ministère public. L’un et l’autre ont interdiction de se voir et de rentrer en contact d’ici au 9 septembre au tribunal de Dax. Ils devront aussi se présenter une fois par semaine au commissariat ou à la gendarmerie la plus proche de leurs domiciles.