rappel pour celles et ceux qui ne connaissent pas La journée défense et citoyenneté ce que dit l’académie de Grenoble
des nouveaux livres sont arrivés au laboratoire anarchistes pour aider à construire notre opposition au militarisme qui s’ajoutent à ceux déjà cités depuis quelque jours dans le blog du labortoire et déjà évoqué lors du débat louis Lecoin.voir ici. Celui -ci a été boycotté par celles et ceux qui même en leur temps ont utilisé l’objection de conscience du temps du service militaire obligatoire. ils n’ont pas voulu voir la continuation déjà amorcé par Lionel Jospin
et cette année c’est le service national Universelle
un titre de livre pour donner le courage pour passer ce mercredi 26//06 et essayer de construire
L’antimilitarisme Libertaire de Pierre- Valentin Bertier
Des projets et des actions, La causerie est passé par là qui a du affronter des propos machistes , on n’ attendait pas mieux lorsque le sujet de l’armée est évoqué loin de l’entre soi .. C’est possible de contacter par écrit ( à l’adresse du laboratoire anarchiste) les personnes mobilisées contre la militarisation de nos vies et du corps..
« Contemple le troupeau qui passe devant toi en broutant. Il ne sait pas ce qu’était hier ni ce qu’est aujourd’hui : il court de-ci de-là, mange, se repose et se remet à courir, et ainsi du matin au soir, jour pour jour, quel que soit son plaisir ou son déplaisir. Attaché au piquet du moment il n’en témoigne ni mélancolie ni ennui. L’homme s’attriste de voir pareille chose, parce qu’il se rengorge devant la bête et qu’il est pourtant jaloux du bonheur de celle-ci. Car c’est là ce qu’il veut : n’éprouver, comme la bête, ni dégoût ni souffrance, et pourtant il le veut autrement, parce qu’il ne peut pas vouloir comme la bête. Il arriva peut-être un jour à l’homme de demander à la bête : « Pourquoi ne me parles-tu pas de ton bonheur et pourquoi ne fais-tu que me regarder ? » Et la bête voulut répondre et dire : « Cela vient de ce que j’oublie chaque fois ce que j’ai l’intention de répondre. » Or, tandis qu’elle préparait cette réponse, elle l’avait déjà oubliée et elle se tut, en sorte que l’homme s’en étonna. »Friedrich Nietzsche trouvé dans non fides