condé- sur- sarthe, France Après l’agression de 2 surveillants les prisonniers et leurs familles prises en otages par les surveillants13 /03 (mise à jour)

les matons continuent leur grève le 14 mars les mêmes conditions pour les prisonniers la ministre  d’en fout.. Comme aucune personne attaque cette saloperie de blocage .. Plus de cantine  cellule 24 sur24 continue pour les prisonniers ..  les autres surveillant  et le personnel pénitentiaire et les entreprises qui font du fric sur le dos des prisonniers sont complices de  ce mode d’enfermement ( cette punition collective . si personne réagit  ce système de punition collective  ve se généraliser

[infos reçu par mail]

« Depuis huit jours toutes les communications et toutes les activités sont bloquées..!! Les familles n’ont AUCUNE nouvelle de leurs proches! ils ont bloqué même  le courrier! les repas des prisonniers  sont au minimum de calorie ( soit 1000 ) les détenus auraient dû, pour se nourrir, se contenter des restes de leurs réserves personnelles et parfois seulement   d’une baguette de pain distribuée par les personnels présents. Tout comme les repas, les « cantines » ne sont plus non plus distribuées, privant notamment les fumeurs de leurs cigarettes.Les personnes sont en effet confinées en cellule, privées de tout mouvement (promenade, activités, etc.). Les ordures ne sont plus ramassées. L’accès aux soins est réduit au minimum, seuls un médecin et une infirmière ayant été autorisés à rentrer dans l’établissement le mercredi 6 mars. Plusieurs coupures d’eau et d’électricité rythmeraient les journées des prisonniers depuis le début du blocage. »

infos recueillis à l’OIP

Depuis l’agression de deux de leurs collègues mardi 5 mars 2019, des dizaines de surveillants bloquent le centre pénitentiaire de Condé-sur-Sarthe. Seule une vingtaine de membres des ERIS (équipes régionales d’intervention et de sécurité) travaillerait à l’intérieur de l’établissement, contre 108 surveillants en poste en temps normal.

Enfin, le mouvement aurait aussi pour conséquence l’annulation des parloirs.Le vendredi   Mars , deux femmes avec enfants témoignent s’être vu refuser l’accès à la prison – précisons que les proches de détenus de Condé ont souvent parcouru plusieurs centaines de kilomètres pour un parloir.  D’après plusieurs témoignages, les parloirs avocats sont aussi supprimés jusqu’à nouvel ordre.

crève la taule

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.ouest-france.fr 13/03/2019 à 11h04

Inauguré en 2013, le centre pénitentiaire d’Alençon-Condé-sur-Sarthe

Les surveillants pénitentiaires de la prison d’Alençon – Condé-sur-Sarthe, dans l’Orne, sont toujours mobilisés ce mercredi 13 mars, une semaine après l’agression terroriste de deux de leurs collègues.

Les surveillants de la prison d’Alençon – Condé-sur-Sarthe sont toujours mobilisés, une semaine après l’agression de deux de leurs collègues par Michaël Chiolo, un détenu radicalisé. Inquiets pour leur sécurité au travail, ils demandent des fouilles plus régulières, des détenus mais aussi des visiteurs.