Festive réussite que l’ouverture du café associatif l’Hydre, près l’église à Crest, ce samedi 2 mars 2019.
La cantine populaire, table assaillie de convives où se servait tartines, soupes, spaghettis… à prix libre et conscient, ouvrit à tous l’appétit.
Que du bio !
Ah, quelle délicieuse région que la Drôme dioise,
ou le plus démunie
peut se nourrir sain !
Le progrès, quoi.
En sortant de la rue, le bar d’abord, de bois clair,
sorti des mains bénévoles et collectives d’artisans jeunes et habiles,
auteures aussi de la rénovation de la salle basse :
fauteuils, canapés, meubles bas de bois clair, tableaux, plutôt des bleus, textiles de fibres.
Là, à voix d’abord basse, Doro aux pupilles intenses
de l’Afrique évoqua les génies.
Sous les doigts de David jaillirent les sables, les dunes , les oasis.
La salle basse de l’Hydre, était comme la caverne de Platon,
l’inventeur de la rétroprojection.
Rap de Ciel Terre, mixage de galette, jam ! jam ! tape du pied !
En bons humains, d’un peu de bruit on avait prévenu les voisins, et la police aussi.
Pourtant, on n’évita pas l’Emeute,
chorale de graves gorges puissantes
vibrantes d’énergie.
A l’étage une salle de réunion spacieuse, disponible pour qui en fait la demande, pourvu qu’elle soit libre, car se continuent l’heureux héritage des activités transmises par l’Arrêt Public.
Conversation en anglais, système d’échange local (SEL), etc.
De l’Hydre, il faut être membre, nécessairement, à prix libre et conscient.
récupéré sur ricochets crest