Archives mensuelles : juillet 2017

Bruxelles : Des nouvelles du procès anti-terroriste à l’encontre d’anarchistes

Brèves du Désordre

Des nouvelles du procès anti-terroriste à l’encontre d’anarchistes

Indy Bruxelles, 06/06/17

« Je crois en la justice de mon pays« 
une apatride

Le 30 mai 2017, la chambre du conseil devait décider si elle confirmait ou pas la tenue d’un procès anti-terroriste contre 12 anarchistes à qui l’on reproche d’avoir pris part à différentes luttes contre les prisons, les frontières, l’esclavage salariale, la morale bien pensante,…
Après une plaidoirie plus qu’évasive de la part du procureur qui ne s’est même pas fatigué à étayer chaque chef d’inculpation, une « mise en continuation » a été demandée afin de pouvoir préparer la défense. Dans sa grande mansuétude, la juge a accordé un délai de 13 jours pour ce faire. Comme quoi la justice peut être rapide quand elle veut…

Le 12 juin, nous serons donc fixés sur la décision du maintien du procès.

Nous invitons toutes les personnes intéressées à venir :
Le 17 juin à 18h à la bibliothèque Acrata (32, rue de la grande ile – 1000 Bruxelles). Un point d’info y sera donné où seront notamment partagées les accusations retenues.
Ce moment sera suivi d’un concert de deux compagnonnes qui interpréteront à leur sauce des chants de lutte en espagnol.

Contre toute autorité, solidarité active !


Plus d’infos sur cette affaire ici :
A propos du procès antiterroriste à venir contre des anarchistes et anti-autoritaires en Belgique, avril 2016
et cette rubrique de la caisse de solidarité La Lime,

Parution de trois livres essentiels sur le monde agricole

reçu par mail:

Bonjour,

Les éditions du bout de la ville sortent trois livres sur le monde
agricole:

LE PAYSAN IMPOSSIBLE, RÉCIT DE LUTTES, DE YANNICK OGOR ( en librairie
le 22 juin 2017)

« J’ai choisi la vie d’éleveur de brebis et de maraîcher. Avant tout,
je voulais fuir le néant et l’humiliation du salariat. Devant l’horizon
saturé de la société industrielle, j’aurais pu me satisfaire d’une
discrète fréquentation du vivant : un petit jardin, une petite
basse-cour, deux ou trois brebis, quelques fruitiers… (…) Mais j’ai
eu ce pressentiment tenace : qu’à ces petites fréquentations de la
nature quelque chose manque, ou plutôt, que d’une fréquentation, on
peut toujours s’absenter : et que cela, confusément, je n’en voulais
pas. Au contraire, je cherchais à être pris »

_Yannick Ogor, éleveur et maraîcher en Bretagne, ancien animateur de
la Confédération paysanne, retrace la contestation agricole en France
depuis soixante ans, ses tentatives et ses impasses. Mêlant récit
autobiographique et histoire, il éclaire les lieux de pouvoir et les
faux-semblants qui structurent « l’administration de l’alimentation des
masses ». Pour qu’on puisse enfin se départir de l’immuable et
mensongère figure du « paysan » qui ne sert qu’à justifier
l’asservissement des agriculteurs à la logique capitaliste._
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NOUS N’IRONS PLUS POINTER CHEZ GAIA, DU GRIMM ( en librairie depuis mars
2017)

« Essentiellement constitué de témoignages, cet ouvrage est
l’aboutissement d’une réflexion collective. Il est le fruit de la
solidarité entre des jardinières d’Ariège et des travailleuses
exploitées au sein d’une association “écolo”, Kokopelli, dont
l’objet est de diffuser des semences. Nous avons refusé de tolérer
la banalité du mal que constitue le rapport salarial, quoiqu’il soit
partout présenté comme normal, naturel. Occultée par un écran de
fumée mystique, la banale recherche de profit devient un sauvetage de
“la Vie”, et le salariat un engagement au côté des forces du Bien.
»

_Les Garnements rétifs aux injonctions des maîtres minuscules (le
Grimm) se sont acoquinés pour faire la critique, rare mais nécessaire,
d’une forme exemplaire du capitalisme vert._

LE MÉNAGE DES CHAMPS, CHRONIQUE D’UN ÉLEVEUR AU XXIE SIÈCLE, DE
XAVIER NOULHIANNE ( en librairie depuis octobre 2016)

« Du côté des paysans, cela fait longtemps que le cultivateur ne voit
plus le pain lorsqu’il travaille ses champs ou moisonne ses blés. Cela
fait longtemps qu’il ne nourrit plus personne ni lui ni les autres. Il
est pourvoyeur de matières premières. De toutes façons, cela fait
également longtemps que le consommateur ne voit plus les champs de blé
lorsqu’il consomme son petit pain trop mou chevauché d’un steak haché
trop cuit. (…) Parce que “ nourrir “ ce n’est plus produire de la
nourriture, mais c’est assurer et maîtriser toute la chaîne
d’alimentation entre la production et la consommation. (…) C’est
l’Etat qui nourrit, ce ne sont plus les paysans. »

_Xavier Noulhianne nous raconte sa vie d’éleveur de chèvres et de
brebis à la manière d’un dissident russe pris dans les mailles du
système bureaucratique. Il en décortique chaque aspect : de la
formation à l’installation agricole, de la certification des produits
à l’identification et à la sélection des animaux. Pour comprendre la
mise au pas des paysans et la mise en ordre des champs, ce livre navigue
entre récit de vie, théorie, histoire, et dessine les contours d’une
critique sociale dont la portée dépasse celle du monde agricole._

VOUS POUVEZ TROUVER CES LIVRES DANS TOUTES LES BONNES LIBRAIRIES:
Les éditions du bout de la ville sont diffusées par Hobo-diffusion et
distribuées par Makassar.
DIFFUSION: Hobo diffusion, 23 rue Pradier 75019 Paris, Tél. : 06 46 79
40 71, contact@hobo-diffusion.com , hobo-diffusion.com [1]
DISTRIBUTION:  Makassar, 8 rue Pelleport 75020 PARIS, Tél : 01 40 33 69
69, Fax : 01 40 33 91 30, contact@makassar- diffusion.com,makassar-
diffusion.com [2]

SI VOUS SOUHAITEZ NOUS SOUTENIR EN LES COMMANDANT DIRECTEMENT aux
éditions – moyennant 2 euros de participation aux frais de port:
Les éditions du bout de la ville, 6 place de bout de la ville, 09290 Le
Mas-d’Azil/ leseditionsduboutd elaville@yahoo.fr/
editionsduboutdelaville.com [3]

LES LIVRES SONT GRATUITS POUR LES PRISONNIERS QUI EN FONT LA DEMANDE.

Paris : Balade dominicale contre les prisons

Brèves du Désordre<!–

Balade dominicale contre les prisons

Indy Nantes, 4 juillet 2017

Dimanche 2 juillet, en fin d’après-midi, tags, autocollants, affiches, pochoirs, tracts sont apparus dans les rue du 19ème arrondissement de paris. Le cabinet d’architecte canale3, situé 78 allée darius milhaud s’est vu refaire sa facade.

Des 18 mai tous les jours !
Liberté pour les inculpé-e-s de l’incendie de la keufmobile !
Liberté pour tou-te-s !


Tract distribué :

À propos d’une keufmobile qui brûle, de répression, et de solidarité

À la rentrée prochaine, 9 personnes passeront en procès, accusées de l’attaque d’une voiture de flics quai de Valmy à Paris le 18 mai 2016. Trois attendent toujours en taule, pour certaines depuis plus d’un an, tandis que cinq autres sont sous contrôle judiciaire et qu’une est encore recherchée. Ce jour là, en plein mouvement contre la « loi travail », des policiers se
sont rassemblés place de la République pour geindre contre la « haine anti­ flics ». Une vrai provocation après deux mois de manifestations réprimées à coup de lacrymos, de grenades, de matraque, d’arrestations.

Une contre­-manifestation est appelée, interdite, et s’élance en sauvage, croisant sur son passage une voiture sérigraphiée avec deux flics à son bord, qui est attaquée puis brûlée.
On est beaucoup à qui ça a donné de l’air. Comme ça donne de l’air quand ça pète à Beaumont suite à l’assassinat d’Adama Traoré, ou à Aulnay suite au viol de Théo, ou quand une voiture de police crame à son tour devant le comico du 19e le soir du meurtre de Shaoyo Liu. Comme ça donne de l’air chaque fois que sont renvoyées aux flics un peu de l’humiliation et des brutalités qu’ils infligent au quotidien.

La justice frappe souvent particulièrement fort quand ses larbins en bleu sont attaqués. C’est que justice et police sont toutes deux au service de l’État et des puissant ?e ?s de ce monde, pour perpétuer l’ordre des choses basé sur l’exploitation, le racisme, le sexisme, l’homophobie, … et qu’il ne faudrait pas qu’on ait l’impression de pouvoir changer les choses. Alors il faut mettre sous contrôle par la menace de la prison ceux et celles qui, par choix ou par nécessité, sortent des chemins balisés du travail, de la consommation, de la soumission au pouvoir.

Pour ça les moyens à disposition sont toujours plus nombreux. Que ce soit l’annonce de la construction de dizaines de nouvelles prisons pour enfermer toujours plus, la légalisation à venir de l’état d’urgence permanent, ou encore la nouvelle loi sur la légitime défense des flics. Tout ça à coup de « c’est pour votre sécurité », dans l’acceptation générale, ou presque.Si la machine répressive tourne si bien, c’est aussi parce que de nombreuses entreprises et associations se font de l’argent sur l’abattoir qu’on appelle justice et sur la prolifération des prisons. Il y a les quelques multinationales dont la réputation n’est plus à faire : par exemple Vinci, Eiffage, Bouygues qui construisent des prisons, Gepsa (filiale de Cofely) qui s’occupe de la gestion et de la maintenance une fois qu’elles sont construites. Il y a aussi beaucoup d’autres intervenant ?e ?s, plus discret ?e ?s, qu’on trouve pourtant au coin de la rue. Les architectes qui s’amusent à dessiner des cages et autres expert ?e ?s en tout genre qui apportent leur pierre à l’édifice carcéral, les travailleurs sociaux et les psychiatres qui nous analysent pour le compte des juges,
les entreprises qui nous exploitent à notre sortie de prison sous couvert de réinsertion, …

La liste est loin d’être exhaustive, juste un petit aperçu de la diversité des maillons de la chaîne du contrôle et de l’enfermement. Des maillons souvent moins bien protégés que les tribunaux et les prisons, nous laissant l’opportunité de nous attaquer ici et maintenant à ces logiques sécuritaires qui nous foutent la gerbe.

Car si la répression vise à instaurer la peur pour casser les liens de solidarité , à nous de ne pas nous laisser museler . exprimons notre solidarité avec celles et ceux qui subissent la répression pour des actes de révolte qu’on partage. opposons nous au flicage de nos vies et aux diverses mesures qui visent à le rendre total et permanent.

Liberté pour les inculpé-e-s de la voiture de flics brûlée le 18 mai 2016 !

Liberté pour tou-te-s


Affiche apposée sur le local des architectes :

VOTRE VOISIN EST UNE ORDURE

Peut-être vous est-il déjà arrivé de passer devant le cabinet de Canale 3 architecture.
Vous l’ignorez certainement, mais Canale 3 architecture a dessiné les plans des « Quartiers Nouveau Concept » des prisons de Longuenesse, de Brest et de Lorient- Ploemeur, de Laon, Toulon, Valence et Varenne-le-Grand. Un travail qui consiste à concevoir des bâtiments et des cellules où enfermer entre quatre murs des individus pour des courtes peines, des peines amménagées ou en semi-liberté. Des cellules individuelles, avec douche et cuisinette, certes, mais même dorée, une chaîne reste une chaîne, même aménagé l’enfermement reste une souffrance, même plus
« humaine » la prison sera toujours la négation de la liberté.
Grâce à Canale 3 architecture et à leurs « Quartiers Nouveau Concept », la Justice (pour qui Canale 3 a également construit un tribunal, à Bressuire) dispose alors de places supplémentaires pour enfermer toujours plus de monde. Et l’administration pénitentiaire d’un moyen supplémentaire pour faire miroiter aux détenus une amélioration possible de leurs conditions de détention. Et ainsi jouer la division entre les prisonniers, avec d’un côté les « bons » qui pourraient bénéficier de ce nouveau traitement, et de l’autre les « mauvais » jugés pas assez dociles. Une carotte supplémentaire donc, à agiter devant les détenus pour renvoyer chacun devant son cas individuel, pour miner la solidarité entre les prisonniers. Une solidarité qui représente pour l’administration pénitentiaire une réelle menace, susceptible dans certaines situations d’être le ferment de révoltes collectives. Canale 3 architecture a aussi dessiné les plans de la Direction Générale de l’Armement à Vert-le-Petit. Là-bas dans des laboratoires, des scientifiques au
service de l’armée jouent à la guerre avec des armes chimiques hyper puissantes, des bactéries « très pathogènes », « contre lesquelles il n’existe encore aucun traitement connu », des radiations comparables à celles d’une explosion atomique…
Depuis des décennies les Etats mènent une course dans la recherche et la production d’armes nucléaires, chimiques et bactériologiques, avec le concours des meilleurs scientifiques. Confectionner des armes toujours plus puissantes, puis des défenses appropriées, puis d’autres armes… n’est-ce pas charmant d’apprendre que les architectes de ces lieux de morts sont nos voisins ?
L’Etat, ses institutions et ses collaborateurs ne sont pas des appareils séparées du reste de la société, des divinités toutes puissantes imposant leur ordre d’en haut à un bétail humain voué à subir la tête baissée. Condamner des êtres humains à l’enfermement ou à un futur pathogène et radioactif ; ce pouvoir sur la vie de tous n’existerait pas sans un système complexe d’échange, de collaboration, sans une répartition des rôles et des responsabilités, sans que des entités, aux intérêts différents mais bienheureux de s’accommoder entre eux, ne signent des accords et ne fassent des affaires. Un système dans lequel Canale 3 architecture tient sa place et prospère au fil des ans et des projets. Voilà pour les présentations, si vous voulez leur en toucher deux mots sachez que Canale 3 architecture siège au 76 allée Darius Milhaud, à deux pâtés de maison donc…

Ce qui dégoûte le coeur, que la main s’y attaque.

Brèsil Grève générale contre le gouvernement

 

Des centaines de personnes ont bloqué les principales artères menant aux plus grandes villes du Brésil lors de la deuxième grève générale de cette année contre les projets de loi de réforme du travail et de la sécurité sociale du président Michel Temer. Des manifestations ont été signalées dans tout le pays, alors que les manifestants ont mis un terme aux transports en commun. Dans la capitale du Brésil, Brasilia, les compagnies de bus ont décidé de garder leurs véhicules au garage, laissant des milliers de passagers bloqués. Pendant que, à Belo Horizonte, les employés métros sont entrés en grève, malgré la menace de lourdes amendes. Les manifestants ont également bloqué une des routes principales menant à Rio de Janeiro. Mais les transports publics de la ville ont continué à fonctionner normalement pendant les heures de pointe du matin. … Les activistes ont également bloqué la route principale menant à l’aéroport international de São Paulo et ont traversé le terminal intérieur de la ville en chantant « Temer Out » … Des démonstrations se déroulent également à Salvador, Curitiba, Porto Alegre, Natal et Goiania, selon les forces de police militaire de l’État » .

L’accès au centre-ville de Rio de Janeiro a été bloqué au début de la journée, avec des embouteillages s’étendant à 9 milles (14 kilomètres) des lignes de grévistes et des rangées de pneus brûlés. « Les brésiliens sont heureux même en protestant, mais le moment viendra où nous devrons frapper plus fort, avec plus de violence, contre les voleurs qui nous gouvernent », a déclaré Ivete Franca, une professeur d’histoire à la retraite, 70 ans. Avec son paiement de pension en attente, Franca a déclaré qu’elle vivait déjà de ses fonds d’urgence. – ici

Brève rédigée à partir des Nouvelles d’opposition de juin

Saint-Quentin-Fallavier(38070), Isère au centre pénitentiaire il voulait téléphoner

 

 

www.francebleu.fr 30 juin 2017

Un surveillant de la prison de Saint-Quentin-Fallavier pris en otage par un détenu

Tout commence vers 16 heures. Le détenu est en entretien avec deux infirmières du service sanitaire quand il se met à crier « c’est une prise d’otage« . Un surveillant intervient et le détenu, âgé de 28 ans, le menace avec une arme bricolée. Après la fuite des deux infirmières, l’homme se retranche dans leur bureau avec le surveillant. Il se barricade à l’intérieur, bloquant la porte avec une armoire et un bureau. Arrivées sur place, les forces de l’ordre entament des négociations. Le détenu veut parler au téléphone à son fils de trois ans. Il finit par se rendre à 18h40, avant d’être placé en garde à vue pour « séquestrations ». Ce détenu condamné pour des violences et libérable en 2021 venait tout juste d’arriver à Saint-Quentin-Fallavier. Il avait été transféré ce mercredi pour des raisons de sécurité. Car jusque-là ce détenu « extrêmement compliqué à gérer » selon l’expression d’un responsable syndical était incarcéré à Bourg-en-Bresse, dans l’Ain. Il avait été condamné à deux reprises pour des dégradations au sein de la prison.

Fin de la prise d’otage à la prison de Saint-Quentin-Fallavier

Le détenu, connu pour des antécédents disciplinaires, retenait un surveillant en otage depuis 16h05. Il était en possession d’une arme bricolée. Cette prise d’otage a pris fin à 18h40. Le détenu, qui demandait à parler au téléphone avec son fils de trois ans, s’est rendu après des négociations. La garde des Sceaux, Nicolas Belloubet, a témoigné de son soutien au surveillant et a salué « le sang-froid dont il a fait montre dans cette épreuve ».

dauphiné..com     30/06/2017
Libérable en 2021, ce détenu, a incendié par deux fois sa cellule à Bourg-en-Bresse. Des faits pour lesquels il doit être jugé le 10 juillet prochain sous le régime de la comparution immédiate.

saint -Étienne – de- Valoux (Ardèche) pan pan pan sur le radar et un coup de peinture à chomerac

dauphiné.com 01/07/2017 à 06:04

les radars pris pour cible

Quatre impacts sont visibles sur le radar nord-ardéchois. Il pourrait s’agir d’impacts de fusil à pompe.

Le radar blanchi et fantomatique de Chomérac, près de Privas ; Quatre impacts, probablement de fusil à pompe, sont visibles sur le radar nord-ardéchois de Saint-Étienne-de-Valoux ; Croix gammées

Saint-Étienne-de-Valoux : criblé de balles !

 

Chomérac : couvert de peinture blanche

C’est un radar « fantomatique » que l’on aperçoit depuis quelques jours sur le bord de la route départementale 2, qui traverse Chomérac d’est en ouest. L’appareil a en effet été recouvert avec de la peinture blanche.

Le radar blanchi de Chomérac. Photo Le DL

et attaqué par des tags  le radar de Peaugres (sur la D820)

le radar de Peaugres (sur la D820) vient d’être tagué de symboles néonazis (croix gammées et autres sigles associés au nazisme).

Celui de Peaugres couvert de croix gammées. Photo Le DL