Archives de catégorie : General

Joyeuse( Ardèche)le 11 novembre RDV à 14h30.( mise à jour le 4/11)

Rendez-vous, vous êtes concerné-e-s : 11 novembre à Joyeuse

 

11 Novembre 2018, rassemblement au monument pacifiste de Joyeuse (07)Rendez-vous à 14h30.

« La Première Guerre Mondiale a fait 9,5 millions de morts et 12 millions de blessés.
195 000 soldats eurent affaire à la justice militaire. 2500 furent condamnés à mort pour désobéissance, 639furent exécutés pour exemple, auxquels s’ajoutent les
milliers de morts dans les bagnes Afrique du Nord et les exécutions sommaires.
Une quarantaine de Fusillés pour exemple furent réhabilités jusque dans les années 1930.
Il en reste 600 dont l’ honneur nʼ a pas été rétabli. Ils avaient dit NON à la guerre et aux massacres. »

Résultat de recherche d'images pour "monument aux morts de joyeuse"

Il existe la greffe italienne. Une méthode du XVIe siècle. C’est chelou un peu. L’idée vient de Gaspare Tagliacozzi. Pour réparer le visage, il faut découper un lambeau de peau du bras et le poser sur le visage. Pour ne pas que le lambeau meure, il faut qu’il reste vascularisé, du coup, le bras (ensanglanté) est collé sur la plaie au visage. Ça évite les rejets. Faut que le mec soit bien maintenu pendant minimum 15 jours, mais ça marche bien !

Lorsque la chirurgie ne peut plus rien faire pour les Gueules cassées et pour terminer la reconstruction, il reste les prothèses des yeux et du nez, des oreilles…

On place un faux œil sous la paupière, on masque un peu avec des lunettes et on espère que ça passe. Pareil pour la région nasale. Quand la peau va bien, on laisse pousser la moustache, ça donne du volume et on suspend un faux nez attaché sur des lunettes. On peut aussi mettre une prothèse dans le nez (lorsqu’il y en a un), ça permet de lui donner une forme « normale ». Mais, c’est lourd, ça fait mal, et c’est pas super discret. De loin, ça fait illusion, mais de loin seulement. Alors certains préfèrent encore un simple bandage ou exposer leur visage…

 

Montevideo, Uruguay: Attaque incendiaire contre le bureau de l’académie militaire argentine revendiquée par le commando nocturne

A l’aube du mardi 24 octobre, une attaque incendiaire a été menée contre le bâtiment qui héberge l’académie militaire  d’argentine à Montevideo. L’attaque a causé des dommages significatifs à la façade  de l’édifice

Devant le silence officiel qui essaye  de passer sous le tapis  notre action, nous avons choisi d’écrire cette revendication pour donner  sens et contexte.

Après la confirmation de la mort du camarade Santiago Maldonado qui a mis en évidence à travers le monde  le conflit Mapuche, nous avons décidé d’attaquer ce symbole de l’État argentin pour exprimer solidarité avec la cause des opprimés dans ce cas là les gens de Mapuche et venger et vénérer notre camarade tombé.

Nous dénonçons la connivence entre l’État argentin et  la multinationale Benetton, propriétaire légal mais illégitime de millions d’hectares dans la Patagonie argentine,où entre autre  qui sert à élever moutons pour l’industrie textile,elle  vous sert à l’extraction minière aux déchets contaminés, la déforestation et la culture de soja transgénique .
Nous saluons avec nos poings serrés les frères Mapuche qui continuent à résister à l’usurpation oppressive  et aussi ils demandent la libération immédiate de Facundo Jones Huala.
Santiago vit dans la lutte des opprimés!

Marichiwew!

LONGUE VIE À L’ANARCHISTE!

Commando invisible sous la lumière de la lune

traduction CNA

Parution:De tout bois #7, revue de lutte contre le Center Parcs de Roybon

Les éditions Le monde à l’envers publient le 7ème numéro de « De tout bois », revue de lutte contre le Center Parcs de Roybon.

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De tout bois #7
Revue de lutte contre le Center Parcs de Roybon
Numéro 7, automne 2017
ISBN 979-10-91772-18-1
ISSN 2426-3486
Publication trimestrielle, 20x28cm, 32 pages, 2 euros
Cette revue se donne pour but de faire vivre la lutte contre le Center Parcs de Roybon (Isère) et d’en laisser des traces.
Au-delà du cas particulier de cette lutte, la revue De tout bois tâche de tisser des liens avec les grands enjeux actuels (écologie, crise du capitalisme, nouvelles formes de luttes).
Ce numéro de la revue est édité dans un contexte où une cabane a une fois de plus été victime d’un incendie criminel sur la zone, où les gendarmes se sont remis à circuler aux alentours et où l’on attend le jugement du Conseil d’Etat.
Au sommaire : « La guerre des étoiles », « La situation juridique de la Zad », « Chronologie de la lutte », par le comité de rédaction ; « Plus un lieu est vécu, plus tu gagnes en intensité de présence au monde. », entretien avec Brindille et Rameau, habitants de la MaquiZad ; « Arrêt sur images », par Rocky Bouillebois ; « Résistances et thermostat », par Jeanne Mouline ; « Hit the road, Nina ! » par la coordination « Center Parcs : Ni ici, ni ailleurs » ; fiche botanique ; reportage photographique. Et un hommage à Pif Gadget.

Cette revue est disponible dans toutes les librairies. En particulier, localement : Le Square, la Dérive, les Modernes, Antigone, le Local autogéré (Grenoble). Les Cordeliers, la Manufacture (Romans). Le Marque-page (St Marcellin). Le Baz’Art des Mots (Hauterives). Centre-Rives (Rives). Librairie Nouvelle, tabac-presse Le St Bruno (Voiron). La Presse Côtoise (La Côte St André)…le laboratoire anarchiste ( valence)

Soirées de présentation et de débats vendredi 17 novembre à la ferme des Roussets et mercredi 29 novembre à Antigone.

Prochain numéro en février 2018.
Les précédents numéros sont disponibles.
Editions Le monde à l’envers
22 rue des violettes
38100 Grenoble


Particuliers
> Cette revue est disponible dans toutes les librairies. Il est également possible de nous passer commande directement.
> Infokiosques
> Si vous souhaitez distribuer ce numéro, contactez-nous.

Valence ( 26000)Au laboratoire anarchiste : Le10 /11 à 19 heure; Étais d’émancipation présente: La Fontaine Encyclopédique du Maquis.

Étais d’émancipation présente :

La Fontaine Encyclopédique du Maquis, Muse d’Émancipation, un centre
documentaire anti-autoritaire en milieu paysan.

-Présentation du projet, discussion et la  projection en 16 mm argentique
d’un documentaire sur une famille de paysans du Haut-Doubs, qui en 1968
se trouve confrontée au démantèlement agro-industriel du monde.

La librairie nomade, qui accompagne le projet proposera quelques ouvrages
sur la table de presse.

Dés 19h ( bar auberge): Ostatu où nous partagerons ce que les unes et les autres auront bien voulu apporter pour bouches et gosiers.

l’affiche de la soirée en pièce jointe

 

Valence (Drome) nuit torride pour Halloween

France bleu Drôme Ardèche   mercredi 1 novembre 2017 à 10:11

La nuit d’Halloween a été très contrôlée dans l’agglomération de Valence, dans la Drôme. Une vingtaine de voitures ont été incendiées à Valence-le-Haut. Les pompiers ont dû intervenir à seize reprises.

Est-ce l’atmosphère d’Halloween qui a tourné la tête de certains Valentinois ? En tout cas, la nuit a été compliquée dans l’agglomération valentinoise dans la nuit de mardi à mercredi.

Vingt-quatre voitures brûlées

Vingt-quatre voitures ont été incendiées, à Valence-le-Haut, dans les quartiers le Plan et Fontbarlettes. Ces incendies ont commencé à la tombée de la nuit. Certains policiers ont été accueillis par des jets de pierres dans le quartier Fontbarlettes. Des voitures ont donc brûlé, ainsi que des poubelles et des haies. Sept poubelles ont été incendiées, dont trois à Portes-lès-Valence et deux à Bourg-lès-Valence.

 

Meylan, France : Communiqué de revendication de l’attaque incendiaire contre la caserne de gendarmerie

L’envie de se défaire de la logique de victimisation en créant des amitiés fortes et en attaquant : un empowerment de praxis.

Parce que nous ne voulons pas rester dans la position de victimes dans laquelle la société voudrait nous placer en nous reconnaissant comme meufs. Victimes, parce que nous ne serions pas capable d’être autonomes, de nous défendre, de mener nos vies comme nous l’entendons. Nous serions des individues faibles, trop sensibles, soumises aux humeurs hormonales, dépendantes et fragiles. Nous aurions besoin de figures fortes pour nous en sortir, de médecins pour nous soigner, d’hommes pour nous épauler, d’enfants pour nous épanouir, de flics pour nous protéger.
Notre éducation ancre ces foutaises dans nos têtes et nous finissons par les intégrer. Lutter contre le sexisme, pour nous, c’est lutter contre le genre. Et lutter contre le genre, c’est refuser la logique qu’engendre les assignations, sans nier qu’elles nous conditionnent aussi.

Nous ne voulons pas être définies par les particularités de nos corps mais bien par ce qui résulte de nos choix, nos éthiques et nos actes. Même si on aimerait détruire le genre, ça nous fait du bien de se retrouver aussi entre personnes qui partagent les même ressentis, qui vivent dans leur chair ce que signifie d’être assignées meufs, et qui ont la même envie de s’en défaire. Ensemble, on se prouve qu’on est capable de poser des actes sur nos idées, et qu’on a besoin de personne d’autre que nous même pour le faire. On prépare nos revanches pour toutes les fois ou l’on s’est découragées en se persuadant que l’on était pas capables, qu’on avait pas les compétences, pas la force, pas les moyens, pour désamorcer cette logique qui nous fait repousser à toujours plus tard le moment d’exprimer nos colères et nos désirs.

Nous avons concrétisé cette envie de revanche en nous organisant pour attaquer la gendarmerie de Meylan.

Pour assurer notre sécurité pendant l’attaque (et pour faire une blague aux pompiers) nous avons cadenassé l’accès voiture de la gendarmerie.
On a ensuite passé dix minutes accroupies dans les bois longeant le grillage, mais on s’est rendues compte qu’on ne pourrait pas passer la nuit là, et qu’à un moment, il fallait s’y mettre. Il fallait affronter nos stress et les dépasser.
Alors après un dernier sourire et un câlin, on a coupé le grillage.
Avec dix litres d’essence, on s’est – discrètement – lancées à l’assaut du parking.

Nous avons ciblé les voitures privées des flics, au détriment des quelques sérigraphiées, parce qu’on avait envie de s’attaquer plutôt aux individus qui portent les uniformes qu’à leur fonction, plutôt à leurs biens personnels qu’à leurs outils de travail. Nous pensons que les rôles existent parce qu’il y a des personnes pour les remplir. Si derrière l’uniforme il y a un humain, c’est à lui que nous avons cherché à nuire.

Enfin, on a disparues dans un éclat de rire, en se dépêchant quand même…

Sur le chemin du retour, on était euphoriques. On se sentait légères, fortes, soudées, avec le sentiment que rien ne pourrait plus nous arrêter.
Ce sentiment de puissance, on n’a pas l’intention de laisser qui que ce soit nous l’ôter, mais bien de le faire grandir.

Ce texte est aussi un message adressé à toutes les personnes qui se retrouvent enfermées dans des rôles de supposées victimes, et qui conflictualisent leur rapport au monde pour en sortir, qui s’envisagent comme des individues, sans nier qu’elles sont marquées par les catégories sociales dont elles viennent.
Nous sommes persuadées que nos limites sont à la fois mentales et sociales, qu’en endossant ces rôles, nous sommes nos propres flics.
Par l’organisation affinitaire, et par l’attaque, nous repoussons ces limites.

A toutes les personnes dont les actes et positions nous donnent aussi de la force, aux deux personnes incarcérées de l’affaire de la voiture de flics brûlée, aux inculpé.es de Scripta Manent.

Pour qui donne du combustible aux flammes du fond de ses yeux.

Caen (calvados)Soirée Concerts Samedi 04 nov et Rassemblement 13 nov

Salut,

Samedi 4 novembre on vous attend nombreux/ses à la Pétroleuse (163 cours
Caffarelli) pour une soirée de solidarité antirépression dès 19h entrée
prix libre (on donne ce qu’on veut, ce qu’on peut) !

Concerts avec :
La Dernière Mesure (Rap, Rouen) ;
Yo (CROC’mot, Caen) ;
Stika (Rap, ZAD de Notre Dame des Landes, avec certains membres
de ZSR).

Cantine vegane prix libre
Brochures et guides antirépression
Zone de gratuité vêtements « utiles » de manif et autres surprises !

______________________

 

Cette soirée est organisée en soutien à des personnes inculpées pour
raisons politiques, notamment après le mouvement contre la loi Travail
de l’année dernière. Voici le contexte :

Dans ce climat de frénésie sécuritaire qui semble sans fin, tandis que
l’état d’urgence passe dans le droit commun et alors que l’Etat français
xénophobe continue d’expulser les migrant-e-s des squats et du
territoire, et établit une mise en concurrence des précarité, leur
justice s’attaque encore une fois aux personnes solidaires des luttes
sociales. Petit rappel des événements.

Jeudi 19 mai 2016, lors du mouvement contre la « loi travail » et son
monde, la manifestation arrivant à l’université se poursuit et le
cortège remonte le campus, en direction du boulevard périphérique que
200 personnes parviennent à occuper temporairement jusqu’aux charges et
gazages en règle de la Brigade d’Intervention de la police nationale et
de la Brigade Anti-Criminalité. Voilà pour le contexte… En parallèle de
cette manifestation, un membre de l’Assemblée Générale de Lutte Contre
Toutes les Expulsions, qui n’était même pas présent sur les lieux, s’est
fait interpeller en marge de l’Assemblée Générale Interluttes qui s’en
est suivie. Après plus de 24h de garde-à-vue, cette personne a été
convoquée en audience correctionnelle le jeudi 7 juillet 2016 et
condamnée à une peine de trois mois de prison ferme pour organisation
d’une « manifestation non autorisée » sur le seul témoignage d’un agent
des Renseignements Territoriaux (ex-RG)…

Acharnement judiciaire et policier ? Bien sur que non… A tel point que
cette même personne se fait interpeller le jeudi 9 février 2017 suite à
l’expulsion du squat Drouet sur la Presqu’île et placée en garde-à-vue.
Il est par la suite convoqué en procès pour « violences et outrages sur
une personne chargée de mission du service public » sur la directrice du
Centre d’Accueil et d’Orientation (C.A.O.). Il est alors condamné à une
nouvelle peine de trois mois de prison ferme et une amende de 3 000€…
alors même que leur vidéo-surveillance et des témoignages démontrent le
contraire…

Cette personne passe en procès en appel pour ces deux affaires le lundi
13 novembre prochain. En soutien, le CROC (collectif antirépression
caennais) organise un rassemblement de soutien dès 13H30, devant la Cour
d’appel de Caen (place Gambetta), et appelle le maximum de personnes à
venir en solidarité et pour montrer à leur police et leur justice que
nous ne lâcherons rien, ni personne. De même, un concert de soutien aux
inculpé-e-s est organisé le samedi 4 novembre, dès 19h, à la Pétroleuse
(163, cours Caffarelli).

En PJ l’affiche du concert
N’hésitez pas à relayer un maximum cette invitation !

A bientôt,
Le CROC (Contre la Répression – Organisation Collective)

[reçu par mail]

Porto Alegre, Brésil : Opération policière contre les anarchistes

 

Dans la matinée du mercredi 25 octobre à Porto Alegre, quelques heures avant le début du salon du livre anarchiste, la police a perquisitionné plusieurs appartements et centres sociaux.

L’Etat a appelé ce coup répressif “OPERATION ÉREBO”. Les flics recherchaient des preuves dans le cadre d’une enquête en cours visant les activités anarchistes. La police déclare que ces adresses sont liées à un soi-disant groupe soupçonné d’avoir réalisé des attaques incendiaires contre des voitures de police, des sièges de partis politiques, des commissariats, des banques et des concessionnaires automobiles. Quelques personnes ont été arrêtées puis relâchées peu après et les flics ont agi de manière impitoyable avec les personnes vivant dans ces espaces.

Dans l’ensemble, dix mandats de perquisition ont été délivrés et du matériel anarchiste (tel que des livres, des revues, des affiches et des banderoles), des masques, des ordis, des bombes de peinture et d’autres objets comme des bouteilles en plastique ont été saisis. Les flics ont affirmé que les bouteilles en plastique étaient vouées à la confection de cocktails molotov.

Comme souvent par le passé, ils montent des preuves à charge et déforment les faits à travers la presse afin que l’opinion publique se charge de juger et de condamner sans aucune preuve. Ils essaient de porter de lourdes accusations avec des preuves circonstancielles comme le fait de posséder des livres ou d’autres matériaux anarchistes.

Cette opération policière intervient deux jours avant le 8ème salon du livre anarchiste de Porto Alegre, dans le but d’intimider et de démobiliser les anarchistes.

Un appel à la solidarité est lancé avec les personnes ciblées par cette opération policière. La répression n’est ni locale, ni limitée aux frontières nationales. Que ce soit en Europe, avec la récente répression contre les personnes impliquées dans des manifestations contre le G20, ou dans l’enlèvement et le meurtre de notre compagnon Santiago Maldonado en Argentine, il est plus qu’urgent de lutter ensemble contre ces avancées de l’État.

Ni « coupables » ni « innocents » !

Solidarité avec les compagnon-nes de Porto Alegre !

[Reformulé de contrainfo et 325 et par Sans Attendre Demain]

et reçu par mail ce texte de l‘IFA

Grenoble, France : Incendies solidaires

Sans Attendre Demain / lundi  30 octobre 2017

Dans la nuit du 26 au 27 octobre, nous avons incendié trois véhicules sur la rue jean perrot, à Grenoble, à savoir un utilitaire SPIE (entreprise qui s’engraisse en construisant des taules), une voiture d’une boîte de sécurité privée ainsi qu’un utilitaire de Schindler.
Nous avons également tenté d’incendier une Jaguar, mais pour d’obscures raisons, elle semble ne s’en être sortie qu’avec quelques traces sur la carrosserie et des pneus fondus.

Par ces gestes, nous souhaitons adresser notre solidarité à Ghespe et Paska, toujours enfermés en Italie après la vague d’arrestations d’août dernier, ainsi qu’aux deux incarceré-e-s de l’histoire de la keufmobile en feu. Nous nous réjouissons également des récentes attaques contre des keufs, à Limoges, à Clermont et en Isère, et exprimons notre soutien aux incendiaires toujours anonymes.

Italie : Attaques solidaires avec les anarchistes incarcéré.e.s

Voici deux communiqués d’attaque contre un rouage de la machine à expulser les migrants, « la poste italienne », en solidarité avec les anarchistes Salvatore Vespertino (« Ghespe ») et Pierloreto (« Paska »). Tous deux font partie des compagnons arrêtés au petit matin du jeudi 3 août lors de l’opération policière de grande ampleur qui s’est déroulée à Florence, Rome et Lecce pour, d’une part, l’attaque explosive contre une librairie fasciste ainsi que l’accident de travail qui s’en est suivi pour un flic et, d’autre part pour le jet d’un cocktail Molotov contre une caserne des carabinieri (gendarmes) à Rovezzano (Florence) le 21 avril dernier. Les deux compagnons sont toujours incarcérés. Voici l’adresse pour leur écrire :

  • Salvatore Vespertino / C.C. Sollicciano / via Minervini 2r / 50142 Firenze
  • Pierloreto Fallanca / Borgo San Nicola, 4 / 73100 Lecce

Concernant l’opération Scripta Manent, les compagnon.nes inculpé.e.s passeront en procès le 16 novembre prochain. Un appel à la solidarité active circule.

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repris d’e sans attendre demain