Archives de catégorie : General

Valence, Drôme: le 26 juin à 18h30″ rompons les rangs » discussion rompons les rangs, contre la Servitude Nationale Universelle

 © FACL

Contre le S.N.U

,Discussions  au Laboratoire anarchiste  le mercredi 26 juin à 18h30.C’est là que ça va se passer et ça va être génial !Car il faut bien continuer à ‘inventer « pour »cette lutte.
Et c’est tellement important de se rencontrer!

« Jamais peut être n’a eu plus besoin du souffle vivifiant de l’anarchisme ; jamais la nécessité de briser la règle, la discipline, la loi, n’est apparue plus grande qu’aujourd’hui « écrivait un compagnon à la veille de la deuxième guerre mondiale. Aujourd’hui, les guerres , l’autre face de la paix ensanglantée des marchés, du progrès et de la production, continuent à ravager le monde, et peut être aujourd’hui aussi, ce dont il y a besoin, c’est le crie strident de l’anarchie qui s’oppose à tous pouvoir, qui rompe les rangs des états totalitaires et démocratiques, qui scrute l’horizon pour arrêter le massacre là où il est produit.

La guerre, le contrôle , la répression, l’exploitation, la militarisation des esprits, la aine sectaire, le maelstrom technologique sont tous des aspects de cette domination en incessante restructuration, que ce cahier se propose d’analyser , en s’aventurant en même temps sur les chemins de l’action d’hier et d’aujourd’hui contre leur guerre …. et contre leur paix.

la quatrième de couverture  du livre Rompre les rangs contre la guerre , contre la paix , pour la révolution sociale . hourriya N°5

 

De quoi « Nantes Révoltée » est-il le nom ?

Nantes Révoltée et « le complot fasciste »

Depuis plusieurs mois, bon nombre de tags contre les flics, les frontières et les papiers viennent fleurissent au sommet des montagnes des Hautes-Alpes. Des bagnoles personnelles de flics de la PAF ont elles aussi été pris pour cible en mai dernier.

D’après les reporters de Nantes Révoltée, il y a de grande chance qu’il s’agisse en réalité d’un coup monté par les fascistes pour décrédibiliser les vrais anarchistes. Vous savez, ces mêmes personnes qui ont pleuré les vitres d’une institution de l’État qui soigne, brisées par quelques « égarés pavloviens » en juin 2016 à Paris ; qui ont fait le coup de poing lors de l’émeute à Rennes pour la ZAD, alors que le comité organisateur avait décrété toute attaque contre le capital interdite.

Les derniers tags en date réalisés à Névache ont eu une large couverture médiatique. Ces révoltés nantais autoritaires, qui commentent tout type d’infos des médias par avidité de cliques et de reconnaissance du monde virtuel, n’ont pas tardé à réagir lorsqu’ils ont appris qu’une stèle en hommage à un bataillon d’antifascistes ayant combattu les nazis avait été recouverte de tags contre les flics. Et, pire que tout pour nos vrais « anarchistes », une chapelle affichait des messages contre les frontières et en solidarité avec les migrants.

Merde, les anarchistes seraient en fait des blasphémateurs. Ils n’auraient même pas de parti, même imaginaire. Le comité plus du tout invisible m’aurait donc menti.

Il a suffi de quelques slogans tracés à la peinture noire sur des lieux sacrés appartenant à des institutions telles que l’église et l’État pour se lancer dans une rhétorique des plus dégueulasses : celle qui consiste à y voir un complot de l’ennemi, forcément fasciste, pour décrédibiliser La Cause.

Ce qui est défendu ici par Nantes Révoltée, ce sont les vieilles théories complotistes de la gauche et de l’extrême-gauche.

Depuis 1933 et l’incendie du Reichstag par un communiste conseilliste, Marinus Van der Lubbe, présenté par le parti communiste allemand comme « agent provocateur des nazis », les thèses de complot visant à jeter l’opprobre sur des actes de révolte individuelle sont monnaie courantes chez les gauchistes (à chaque mouvement social de révolte, on a droit à cette théorie diffusée par les staliniens, trotskistes et autres gauchistes…)

Par ailleurs, Nantes Révoltée participe à la martyrologie des personnes ayant combattu le fascisme. Ce collectif n’est pourtant pas censé ignorer que ces monuments d’hommage sont érigés et entretenus par l’État, cette Nation tricolore sanguinaire. Ce sont des sanctuaires de l’État visant à glorifier la Résistance, qui a toujours été synonyme de patriotisme : gaullistes et PCF ont construit ce mythe d’une Nation antifasciste opposée à l’occupant allemand : à partir de la rupture du pacte germano-soviétique, le Parti Communiste appellera à saboter les infrastructures et intérêts de l’Occupant allemand (pas nazi), sans jamais s’attaquer directement aux collaborationnistes du régime de Vichy. Par patriotisme justement.

On n’oublie pas non plus les antifascistes anti-autoritaires et anarchistes qui seront fusillés par ces staliniens dans divers groupes de lutte contre les fascistes.

Répandre de telles affirmations concernant des compagnons et camarades qui agissent contre les frontières depuis plusieurs années dans les Alpes est purement dégueulasse.

Cette nouvelle réaction de dissociation et de complotisme vient compléter la liste d’immondices commises depuis plusieurs années par ces autoritaires, soucieux de leur image médiatique, qui font sans cesse le tri entre les bons et les méchants révoltés.

Plus que jamais, à bas l’État, le patriotisme, les flics et les frontières !

[Publié sur indymedia nantes, 15.06.2019]

Nouvelle parution : Sabaté. Guérilla urbaine en Espagne (1945-1960) Antonio Telléz Solá

Un nouveau livre vient de paraître chez les éditions Tumult. c’est une réédition d’un livre déjà paru à l’édition         Repères – Silena en 1990 avec une nouvelle introduction et  une postface .

Antonio Telléz Solá
SABATÉ. GUERILLA URBAINE EN ESPAGNE (1945-1960)Après que l’insurrection révolutionnaire de 1936 ait été étouffée dans
une guerre civile, les troupes franquistes prennent possession de
l’ensemble du territoire espagnol en 1939. Afin d’échapper à cette
réaction meurtrière, de nombreux rebelles prennent le chemin de l’exil
forcé ou de la clandestinité. Envers et contre tout, des groupes
d’action et de guérilla décident alors de relancer la lutte subversive
contre un ennemi implacable.À travers le récit de la vie de Francisco Llopart Sabaté, un de ceux qui
empoignera les armes pour tenter d’abattre le nouveau régime, c’est le
portrait de toute une génération de combattants anarchistes qui est
dressé ici. Sabaté fut de ces hommes et femmes qui mirent leurs vies en
jeu au cours d’un long combat courageux contre la dictature de Franco,
pour la liberté et la révolution sociale.130 x 190 mm – Couverture sérigraphiée – 400 pages
10 euros
7 euros pour distros

Pour commander, il suffit de se mettre en contact via le mail
tumult_anarchie@riseup.net

D’autres livres sur:
tumult.noblogs.org

Italie : La solidarité avec les anarchistes en grève de la faim continue

L’Aquila : Des banderoles accrochées et la salle communale occupée

Round Robin / lundi 17 juin 2019
Ce matin, un groupe de personnes solidaires avec Anna, Silvia, Giova Stecco, Leo, Alfredo, Marco et Ghespe en grève de la faim est monté sur une grue haute de 60 mètres, en Piazza del Duomo, à L’Aquila. Au même temps, un autre groupe a occupé la mairie. Silvia et Anna sont à leur vingtième jour de grève de la faim. Rompre le train-traintrain quotidien c’est le minimum.

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Bologne : Occupation de la Tour Asinelli, contre la section AS2 de la prison de L’Aquila

Round Robin / lundi 17 juin 2019

Vers 19h, des compas ont occupé la tour Asinelli [une des deux tours médiévales qui se trouvent dans le centre de Bologne et en sont un peu le symbole; NdAtt.]. Ils/elles ont exposé une banderole en solidarité avec les anarchistes en grève de la faim en prison, contre la section AS2 de L’Aquila.
En dessous, il y a eu un gros rassemblement solidaire. Les flics aussi étaient au rendez-vous. Il y a eu des prises de parole et la circulation a été bloquée.

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Rendez-vous devant la prison de Terni : Un bonjour pour Juan et un cri de lutte pour les compagnonnes anarchistes emprisonnées en grève de la faim

Anarhija.info / lundi 17 juin 2019

Un bonjour pour Juan et un cri de lutte pour les compagnonnes anarchistes emprisonnées en grève de la faim.

Le 19 juin, à 18h, nous nous rassemblerons devant la prison de Terni, en Via delle Campore, 32, pour passer le bonjour à Juan, anarchiste arrêté le 22 mai dans la région de Brescia et récemment transféré dans cette prison, où il y a une section AS2 et plusieurs sections 41bis.

Nous hurlerons notre haine des prisons, en solidarité avec Juan, avec Anna et Silvia, qui sont en grève de la faim dans la prison de L’Aquila depuis le 29 mai, et avec les autres anarchistes emprisonnés en grève de la faim dans d’autres prisons.

 

 

| Une question énergique |

Aborder la question de l’énergie, ou plutôt des ressources énergétiques dont dépendent le bon fonctionnement de l’exploitation capitaliste et le pouvoir étatique, n’est pas facile. Surtout, précisons-le d’emblée, s’il ne s’agit pas de faire une énumération de données techniques sur telle ou telle source énergétique, d’énumérer les nuisances que provoque la voracité énergétique du système industriel, les ravages qu’elle implique au niveau environnemental. Ce que nous souhaitons proposer ici, est de tenter une analyse plus vaste, plus profonde, de ce que signifie l’énergie dans ce monde-ci. Que celle-ci demeure en partie lacunaire est difficilement évitable, mais l’objectif est d’arriver à une compréhension, à une appréhension générale de l’importance de cette question énergétique.

Partons d’un simple constat : depuis plusieurs décennies, avec l’imposition massive du nucléaire par l’État et la croissance exponentielle des besoins énergétiques de la production industrielle, de la guerre et du modèle sociétal de consommation de masse, de très nombreux conflits ont été liés aux ressources énergétiques, à la production et au transport d’énergie. D’un côté, on voit comment les États ont déclenché des guerres sanglantes pour conquérir certaines ressources, comme le pétrole ou les mines d’uranium, pour donner un exemple évident, ou s’en assurer l’approvisionnement continu. D’un autre côté, il y a aussi eu de nombreux conflits disons sociaux, tantôt plutôt écologiques, tantôt radicalement anti-capitalistes, tantôt de refus d’une ultérieure dévastation du territoire ou encore refus de l’imposition de certains rapports sociaux que ces projets impliquent : opposition à l’exploitation d’une mine, à la construction d’une centrale nucléaire, aux nuisances provoquées par une centrale électrique à charbon. La longue liste de luttes et de guerres nous donne déjà une idée de l’importance que revêt l’énergie, sa production et son contrôle.

Aujourd’hui, en ces temps où toute perspective révolutionnaire d’une transformation totale des rapports existants, d’une destruction de la domination, semblent avoir presque disparu, au moins dans les contrées européennes, il existe cependant pas mal de luttes et de conflits qui s’opposent aux infrastructures énergétiques. Que l’on pense à la gigantesque mine à ciel ouvert de lignite à Hambach en Allemagne, où la lutte contre son extension est ponctuée de sabotages divers et variés en-rayant le fonctionnement de la mine existante ; à la lutte contre la construction du gazoduc TAP qui se heurte à une opposition dans le sud de l’Italie ; aux luttes ici en France qui ont eu lieu contre la construction de nouvelles lignes à haute tension dans la Durance (pour augmenter la capacité d’exportation d’électricité nucléaire française) ou en Normandie (pour raccorder la nouvelle centrale nucléaire de Flamanville au réseau) ; sans oublier celles contre l’implantation de nouvelles éoliennes ou contre les permis d’exploration et d’exploitation du gaz de schiste… Certes, tous ces conflits ne relèvent pas toujours d’aspirations révolutionnaires, et on retrouve souvent en leur sein non seulement le citoyennisme, l’écologisme cogestionnaire, la recherche de dialogue (et donc de reconnaissance) avec les institutions, mais aussi une fâcheuse confusion – dans le meilleur des cas – voire d’opportunisme politique – dans le pire –, du côté des autoproclamés radicaux. A l’instar par exemple de ce que les comités invisibles et les stratèges populistes de service théorisent sous forme de stratégies de la composition, ce qui revient à réunir tout ce qui est incompatible sous la direction d’un haut commandement politique qu’ils cherchent à imposer, avec plus ou moins de succès. Mais n’entrons pas dans le vif de ce sujet qui a déjà été abordé ici.

[…]

La suite ici :

https://avisdetempetes.noblogs.org/files/2019/06/Avisdetempetes18.pdf

Grenoble : Pour dire pourquoi on a bruler des véicules de EDF

Indymedia Nantes / lundi 17 juin 2019

action directe

moi et ma soeur on en a eu diablement mare. notre père y bosse à EDF depuis plus de 30 ans, déja bien avant qu’on sois né. y nous a toujours parler de l’électricité comme le truc le plus important pour l’humanité. mais moi et ma soeur on a jamais aimer sa, on a toujours préférer jouer dehors faire les fous courir partout grimper au arbres se rouler dans l’herbe faire les indiens contre les cowboys se cacher dans la forêt pour observer tout les animaux et faire plein d’autres trucs. on a dailleurs toujours préférer les animaux au humains et au moin y peuves pas être alcolique comme notre père qu’on déteste. lui il a battu notre mère jusqu’a qu’elle parte de la maison et il nous hurle dessus quand on est ché lui mais on s’enfuis quand y veux nous fraper et on va se cacher la ou personne peux nous trouver.

moi et ma soeur on déteste l’électricité passque pour nous sa représente notre père et sa violence et son autorité puis la société et tout les trucs que les humains y doives brancher pour exister et pas s’ennuyer. moi et ma soeur on a pas besoin d’électricité pour jouer dans la nature et on adore faire du feu et alumer des bougis. on déteste voir les imence potos en fer avec les super long files électrique qui traverse les prés et les forêts puis sur les montagnes. sa nous énerve diablement. et aussi on déteste les imence élices blanche qui tourne pour faire de l’électricité. c’est trop moche et sa gache nos rêveries quand on regarde le ciel loin et qu’on les vois. sa rend laid les paysages et notre père y dis que sa sert juste pour que les gens y critique moin EDF. car lui y dis tout le temps que c’est le nucléaire qui est super et qui va sauver l’humanité et le système de la catastrophe climatique que les gens y parles souvent à la télé, alors notre père y crille sur la télé pour dire que le nucléaire sa va tout sauver.

heureusement que notre mère elle nous a tout expliquer sur l’électricité le nucléaire et la connerie des humains. c’est grace a elle qu’on adore la nature. elle nous a toujours enmener jouer dans la forêt et les prés et elle nous a appris a faire plein de trucs pour se débrouiller dans la nature et pour pas avoir besoin de l’électricité. elle a toujours dis a moi et ma soeur que les problèmes les plus grand qui ont rendu fou les humains et qui détruit tout ce qui vis, c’est les villes et tout le béton, tout les voitures camions et avions et tout les trucs qui on besoin de pétrol. et aussi le travaille que tout les gens y doives faire tout les jours pour fabriquer tout les trucs qu’on a même pas besoin. notre mère elle dis aussi que c’est les hommes qui dirige le monde et que les femmes elles sont presque tout le temps obliger d’écouter les hommes, même si ya plein de femmes comme elle qui se révolte. alors elle ma toujours appris a l’écouter elle et ma soeur. et elle dis que ya le racisme aussi et la peur des étrangés et le massacre des animaux et toute la violence, encore plus avec l’alcol.

moi et ma soeur on a voulu montrer a notre père qu’on le déteste vraiment, alors dans la nuit du 16 au 17 juin 2019 on a bruler des véicules de EDF a Grenoble, la ou il travaille. on a repenser que quand des voitures de ENEDIS avais bruler en 2017 à Grenoble, notre père il avais été tellement en colère qu’il arrètais pas d’en parler. il disais que s’était des arnarquos libère terre qui avais fait sa. pas longtemps après notre mère elle nous avais dit que des anarchistes avais bruler un batiment de ENEDIS pas très loin de Grenoble. moi et ma soeur on navet vu que sa avais fait plaisir à notre mère ces 2 grand feux contre l’électricité. alors on a fais pareille pour faire soufrir notre père et faire plaisir a notre mère. et pour se marer moi et ma soeur on c’est dis qu’on étais des

Energumènes Diablement Furax

et on c’est sauver sous la lune pleinement souriante.

Gap, Hautes-Alpes: Le18/06/19 Verdict procès du Césaï à 14h au Tribunal


Salut les ami.e.s l'été arrive à grand pas. La ville de Gap va laisser
place aux nocturnes commercial et aux flux touristiques. De notre maison
nous ressentons déjà les prémices, cette semaine nous avons reçu
plusieurs coup de pression de la police allant jusqu'à essayer de nous
voler à deux reprises notre banderole ou est inscrit nos modestes
revendications "pas d'expulsion, au CESAi on y est et on y reste".
Monsieur le Maire est pressé de nous voir dégager du paysage : c'est
vrai que montrer à des touristes qu'ici il y a des gens qui luttent
contre les frontières ça ne vends pas du rêve mais ça remet sûrement les
pieds sur terre. Mardi 18 nous allons recevoir notre verdict et plus que
jamais nous avons besoin votre présence et de tout votre soutien pour
montrer que nous sommes pas seuls et qu'aucune expulsion ne pourra
effacer le combat que nous menons.

Rendez-vous Mardi 18 à 14h devant le tribunal de Gap.

Grenoble : Huit véhicules en moins pour EDF

Le Dauphiné Libéré / lundi 17 juin 2019

Huit véhicules (voitures et utilitaires) ont été détruits ce lundi vers 3 heures par incendie survenu sur un parking de la Division technique générale d’EDF, avenue de l’Europe à Grenoble, a-t-on appris ce lundi.
Cet incendie, très probablement volontaire, fait écho à un autre sinistre qui avait provoqué la destruction d’une douzaine de véhicules techniques sur un parking d’Enedis, en mai 2017.

L’incendie avait été revendiqué par des activistes libertaires, ainsi, d’ailleurs, que de nombreux autres incendies dans la région grenobloise, parmi lesquels deux incendies de gendarmerie [la caserne Vigny-Musset à Grenoble et celle de Meylan; NdAtt.].

GAP, hautes Alpes Soutien financier au CESAI, mais pas seulement!

 

“Au Cesai, on y est et on y reste", peut-on lire sur cette banderole à proximité du tribunal. Photo Le DL/Gérald LUCAS

Bonjour,

Le CESAI, bâtiment occupé depuis octobre 2018 en plein centre-ville de
Gap accueille une 60aine de sans abris de tous pays.

Les frais du quotidien sont minimisés grâce à la récupération d’invendus
notamment.
Néanmoins, les dépenses minimales frôlent les 500€ /mois pour le gaz,
les bases alimentaires, voire quelques travaux de rénovation.

En plus de COUP DE MAINS (tout le monde est la bienvenue !), ce lieu
indépendant a besoin de SOUTIEN FINANCIER.
On a donc mis en place un pot commun sur la toile pour couvrir ces
dépenses mensuelles:
https://www.lepotcommun.fr/pot/t9rafseh

On compte sur vous tou.tes ! Parlez-en !
Une idée: donner peu mais régulièrement.

Merci à vous !

Pour plus d’informations : https://cesai.noblogs.org/

[reçu par mail]

Uta (Italie) : Maddalena aussi a fait une grève de la faim

Round Robin / samedi 15 juin 2019

Extraits d’une lettre de Maddalena, datée du 8 juin, depuis la prison de Uta (la lettre est arrivée le 14 juin à la Cassa Antirepressione delle Alpi Occidentali) :
Moi aussi j’envoie une accolade à Anna et Silvia, en faisant une grève de la faim pendant les journées du 10, 11 et 12 juin, en solidarité avec leur protestation contre les conditions de détention auxquelles elles sont soumises.
Contre les régimes différenciés et toute forme d’isolement!
Une accolade de cœur à tous les rebelles de partout, avec ceux qui essayent de garder leur dignité et ceux qui se battent pour la vraie liberté!
Une salutation à tou.te.s les compas!
Une accolade pour la liberté!

Madda


Pour lui écrire :

Maddalena Calore
Casa Circondariale di Cagliari « Ettore Scalas »
Zona Industriale Macchiareddu
Seconda Strada Ovest
09010 – Uta (Italie)